Dans ce dernier épisode d’entretien avec Bachir Dkhil, ancien membre fondateur du Front Polisario, notre invité revient sur l’évolution du mouvement séparatiste, depuis la Marche verte jusqu’à aujourd’hui, en passant par le bras-de-fer armé avec le Maroc.
Yabiladi publie chaque semaine un épisode du long entretien que nous a accordé Bachir Dkhil, ancien membre fondateur du Front Polisario, revenu au Maroc au début des années 1990.
Dans cet entretien en épisodes, Yabiladi publie chaque semaine une partie de sa rencontre avec Bachir Dkhil, ancien membre fondateur du Front Polisario qui est revenu au Maroc au début des années 1990.
Par un jour comme celui-ci, en 1976, le Front Polisario proclama unilatéralement la «République arabe sahraouie démocratique» depuis Tindouf. En pleine Guerre froide, plusieurs Etats du bloc de l’Est s’empressèrent de la reconnaître. Mais plus de quarante ans plus tard, le rêve de l’édification de la «RASD» resta sur papier.
Dans cet entretien en épisodes, Yabiladi publie chaque semaine une partie de sa rencontre avec Bachir Dkhil, ancien membre-fondateur du Front Polisario et revenant au Maroc au début des années 1990.
Le 6 novembre de chaque année marque la commémoration de la Marche verte au Maroc, ayant précipité la décolonisation du Sahara, alors sous occupation espagnole. Cet évènement a également marqué un tournant pour le Front Polisario et la géopolitique régionale.
Bachir Dkhil, ancien membre fondateur du Front Polisario, analyse dans cette interview accordée à Yabiladi, la «réconciliation» proposée par Brahim Ghali aux Sahraouis des camps de Tindouf.
L’ancien chef du Front Polisario, Mustafa Ould Salma Sidi Mouloud, a déclaré que le Maroc était le principal gagnant de la résolution 2440 des Nations Unies. De son côté, Bachir Dkhil, l’un des fondateurs du front séparatiste, souligne l’importance de cette nouvelle résolution qui met fin au mythe du «référendum sur l’autodétermination».
Dans sa nouvelle résolution sur le Sahara occidental, le Conseil de sécurité rompt avec le passé, prorogeant de seulement six mois le mandat de la MINURSO. Bachir Dkhil et Abdelfattah El Fatihi reviennent sur les défis de la diplomatie marocaine face à ce changement.
La réunion du secrétariat national du Polisario, samedi à Bir Lahlou, s’est terminée sur une note négative. Les membres de la plus haute instance au Front ne sont pas parvenus à se mettre d’accord sur le nom d'une seule personnalité pour succéder à Mohamed Abdelaziz. Le prochain congrès extraordinaire du mouvement s’annonce houleux. Si aucun compromis n’est trouvé, le Mauritanien Khatri Addouh