Après la colère du président du Collectif pour la langue arabe, c’est au tour du bras estudiantin du PJD de monter au créneau pour dénoncer la décision du ministre de l’Education nationale d’enseigner le français dès la première année du primaire à l’école publique. L’organisation parle d’une mesure «portant atteinte à l’identité du peuple
Depuis le début de cette semaine, les enseignants du secteur public marquent un nouveau chapitre dans le bras de fer qui les oppose au ministère de l’Education nationale. Des sit-in et des manifestations sont organisés devant plusieurs Académies régionales d'éducation et de formation. La pomme de discorde : les résultats du mouvement de mutation. Détails.
Contrairement aux projets des milieux arabophones, la langue française gagne du terrain dans l’école publique. La dernière décision de la tutelle d’enseigner la langue de Molière dès la première année du primaire a fait sortir de ses gonds Fouad Abou Ali, le président du Collectif national de la langue arabe. Il dénonce une manœuvre pour imposer aux Marocains la langue de «l’ancienne et nouvelle
Les parlementaires du PJD prennent la défense d’Al Adl Wal Ihsane, alors qu’ils n’avaient manifesté aucun intérêt pour les restrictions subies par les disciples d'AWI durant tout le mandat de Benkirane à la tête du gouvernement.
Le groupe parlementaire du PJD a abordé hier la «purge» des fonctionnaires d’Al Adl Wal Ihsane. La réponse formulée par l’ancien ministre de l’Intérieur, Mohamed Hassad, les a laissés sur leur faim.