Bonne nouvelle pour le Maroc. Le royaume continue exceptionnellement d’attirer les investissements directs étrangers, alors que pour une bonne partie des pays de la région méditerranéenne, ces investissements sont en baisse, à cause notamment du printemps arabe.
Le World Economic Forum (WEF) vient de publier son rapport 2011-2012 sur la compétitivité mondiale. Le Maroc s’y classe 73e sur 142 pays, gagnant ainsi deux places par rapport au précédent classement. Les problèmes d’accès au financement et la corruption, entre autres facteurs, entravent la compétitivité du royaume, surclassé par de nombreux pays arabes.
Le Maroc attire les entreprises andalouses. Plus de 400 d’entre elles ont pris part, cette année, aux deux rencontres stratégiques qui se sont tenues à Tanger et à Malaga sous l’égide de l’Agence Andalouse de Promotion Extérieure. Les entreprises de la Junta de Andalucía sont surtout attirées par les secteurs du logement, de l’industrie agro-alimentaire et des énergies renouvelables.
Aux yeux des acteurs économiques espagnols, le Maroc représente une excellente opportunité d’investissement. Les chantiers structurants lancés dans le royaume séduisent les investisseurs ibériques, qui comptent déjà quelque 800 entreprises au Maroc.
Depuis le milieu des années 2000, la présence d’Alstom au Maroc s’intensifie. Contrats très médiatisés, le tramway de Casablanca et la ligne à grande vitesse (LGV) Tanger-Casablanca sont loin d’être ses seuls projets. L’entreprise française, plus discrète sur son volet énergétique, a aussi vendu plusieurs centrales au Royaume.
Malgré des annonces en baisse, les investissements directs étrangers (IDE) étaient en légère hausse fin 2010. Une année charnière pour la région, indique le dernier rapport «Invest In Med», entre crise économique en 2009 et crise politique en 2011, avec ses conséquences positives et négatives. Cette nouvelle année pourrait néanmoins voir les IDE augmenter au Maroc de manière
Le gouvernement envisage d’encourager davantage, l’ouverture à l'international des entreprises marocaines, notamment vers les pays africains. Certaines mesures ont été incluses dans le projet de loi de finances 2011 pour promouvoir les investissements marocains à l’étranger, selon le ministre de l’Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar.
Le Maroc est un pays attractif en matière d’investissements. Cette année, le montant des investissements directs étrangers (IDE) dans le Royaume devrait atteindre 3 milliards d’euros comme en 2009. C’est ce qu’a confié Ahmed Réda Chami, ministre de l’Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, à Reuters, en marge du Forum de l’alliance économique internationale à New York (à ne pas
Le Maroc est la première destination des investissements directs étrangers (IDE) français dans la région Afrique du Nord et Moyen-Orient (MENA) et sur le continent africain. C’est ce qui ressort des résultats de l’enquête sur les investissements directs français dans le monde, présentée mardi à Casablanca par,Dominique Bocquet, chef du service économique à l'ambassade de France à Rabat.
Malgré une conjoncture difficile, les investissements continuent à tirer vers le haut le secteur touristique national. Depuis 2007, plus de 50 milliards de dirhams de conventions d’investissement ont été signées entre l’Etat et les investisseurs. Ils ont permis la création de plus de 48 000 lits supplémentaires et créés plusieurs dizaines de milliers d’emplois.