Le secrétaire général du PAM et président du conseil de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima était l’invité, mardi soir, sur Al Aoula. Ilyas El Omari a saisi l’occasion pour pointer le rôle du gouvernement Benkirane dans le retard de la réalisation du programme «Al Hoceima phare de la Méditerranée». Selon lui le cabinet Benkirane «punissait Al Hoceima».
Malgré les divergences, Abdelilah Benkirane a toujours veillé à ne jamais citer nommément Fouad Ali El Himma comme étant le représentant des «forces de contrôle» et de l’ «autoritarisme». Les relations entre les deux hommes sont loin d’être un long fleuve tranquille même si une trêve fut observée pendant quelques semaines. Une période durant laquelle l’islamiste louait les
Le PPS soutien sans concession son secrétaire général à l’encontre du conseiller royal, Fouad Ali El Himma. La formation n’a pas présenté d'excuses mais a tenté de minimiser la réaction du cabinet royal.
Le gouvernement Benkirane n’a pas encore réagi au communiqué du cabinet royal tançant les déclarations de Nabil Benabdellah. Un silence qui tranche avec la ferme réaction de l’exécutif en 2012 lorsqu’un reportage de l’AFP avait qualifié Fouad Ali El Himma, l’ancien fondateur du PAM, de «proche du roi Mohammed VI». Des propos qui avaient valu à son auteur, le journaliste Omar Brouksy, le retrait de
Une attaque de Nabil Benabdellah visant le PAM et le conseiller royal Fouad Ali El Himma, une réponse cinglante du cabinet royal, un déluge médiatique pour commenter ou prédire les répercussions politiques. Pourtant, l'enjeu n'est ni l'avenir politique du patron du PPS ni la durabilité des liens entre les deux alliés au gouvernement, mais l'analyse du sens du communiqué en lui-même.
Le grand tribun Abdelilah Benkirane se fait discrêt ces derniers jours. Après un long mutisme estival, il est revenu au devant de la scène médiatique lors de la présentation du bilan des ministres PPS pour fustiger les adversaires de l'"honnêteté". Depuis, il s'impose un silence forcé. Détails.
La responsabilité du gouvernement Benkirane dans l’ «importation» des déchets italiens est avérée. Le conseil de gouvernement du 3 juin 2015 a adopté un décret, présenté par Hakima El Haité, fixant «les modalités et les conditions relatives à l'importation, l'exportation et au transit des déchets». Pire le texte autorise même le transit par le territoire national de