Trois jours après l’article-analyse du journaliste, universitaire et historien Mâati Monjib, faisant le lien entre le Hirak et la démission d’Ilyas El Omari de la tête du PAM, ce dernier rompt le silence. Dans un long article paru dimanche, l’ancien parton du Tracteur critique à sa manière la sortie médiatique de l’universitaire.
Un média marocain avance que Fouad Ali El Himma ferait l’objet d’une «colère royale». Apparemment, le «Hirak» en serait la cause.
Le PPS soutien sans concession son secrétaire général à l’encontre du conseiller royal, Fouad Ali El Himma. La formation n’a pas présenté d'excuses mais a tenté de minimiser la réaction du cabinet royal.
Une attaque de Nabil Benabdellah visant le PAM et le conseiller royal Fouad Ali El Himma, une réponse cinglante du cabinet royal, un déluge médiatique pour commenter ou prédire les répercussions politiques. Pourtant, l'enjeu n'est ni l'avenir politique du patron du PPS ni la durabilité des liens entre les deux alliés au gouvernement, mais l'analyse du sens du communiqué en lui-même.
La parenthèse au cabinet royal pour Ahmed Akhchichine est sur le point de se fermer. Ce proche de Fouad Ali Himma lorgne désormais la présidence de la région Marrakech-Safi. En face de lui, il aura l’oncle de son mentor.
Fouad Ali El Himma réclame 5 millions de dh à Abdellah Kadiri. Le premier accuse le second de diffamation. La publication de l’information de la plainte par le quotidien de l’USFP, Itihad Ichtiraki, embarrasse certains socialistes, hostiles au rapprochement entre leur premier secrétaire, Driss Lachgar, et El Himma.
Après une période de calme précaire sur le front PJD-El Himma, les hostilités reprennent de nouveau. C’est le président du groupe parlementaire des islamistes qui mène le combat. Benkirane, tenu par ses obligations gouvernementales, lui a cédé cette mission.