Le ministre de la Communication a profité de son intervention lors d’une réunion du «Collectif national pour la langue arabe», lundi soir, pour dénoncer les feuilletons doublés en dialecte que diffusent quotidiennement les chaînes marocaines. En prenant les telenovelas pour cible, El Khalfi évite soigneusement d’alimenter la polémique avec les francophones.
HRW se défend de ternir l’image du Maroc. L’ONG, malgré la lettre incendiaire de Mustapha El Khalfi, souhaite que la crise avec Rabat ne soit que passagère.
Les négociations entre le gouvernement et le Saoudien Mohamed El Amoudi, le propriétaire de la SAMIR, seraient dans l’impasse. C’est du moins ce que laisse entendre des déclarations de Mustapha El Khalfi en début d'après-midi.
Le Maroc a réagi aux accusations proférées par le Premier ministre algérien et le directeur de cabinet de Bouteflika. Mustapha El Khalfi qualifie d’ «allégations mensongères» les déclarations de ces responsables faisant état d'un rôle présumé du royaume dans les événements de Ghardaïa.
A en croire un député de l’opposition, le gouvernement serait prêt à poursuivre en justice Nabil Ayouch pour un contrat qui remonte à 2007. Du côté du ministère de la Communication c’est le silence absolu sur ces révélations
Le ministre de la Communication marocain a qualifié d’ «inacceptable» un article de l’agence de presse iranienne Fars News Agency accusant le Maroc d’être un exécutant de la politique israélienne dans le monde musulman. Mustapha El Khalfi a promis que le gouvernement Benkirane examinera la question et prendra les mesures qui s’imposent.
Alors que le Maroc vient de passer à la TNT non sans accuser un certain retard, des marocains se retrouvent confrontés à un manque de récepteurs dans les magasins. Dans un petit échange avec un membre de Twitter, le ministre de la Communication a apporté quelques précisions.
Interpellé au parlement sur la question de l'image de la femme dans les médias marocains, le ministre de la Communication a expliqué qu'il fallait un politique rigoureuse pour combattre les stéréotypes véhiculés.
Si Mustapha El Khalfi a interdit la diffusion du film «Much loved» dans les salles de cinéma au Maroc, Nabil Ayouch contourne la censure en diffusant via des écoles. Le ministre juge la manœuvre illégale et constituerait même «un défi à l’Etat de droit».
Aujourd'hui, c'est J-Lo qui a animé le débat à la Chambre des représentants. Malgré les divergences entre députés du PJD et ceux de l’opposition, ils se sont au moins mis d’accord sur un point : éviter de mentionner le festival Mawazine.