Le Maroc tente de convaincre l’Arabie saoudite, les Emirats et le Bahreïn que le Qatar n’est pas leur ennemi. Un deuxième communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la coopération internationale pointe l’Iran comme la véritable menace dans la région qui vise à «porter atteinte aux intérêts suprêmes de ces pays».
Le roi Mohammed VI devrait se rendre en Arabie saoudite pour prendre part à une réunion avec Donald Trump. Ryad a convaincu le président américain de bénir la création d’une alliance militaire contre l’Iran et les groupes terroristes.
De plus en plus de femmes musulmanes se jettent à l'eau pour surfer, bravant les interdits qui s'imposent parfois à elles.
Malgré le rétablissement de ses relations diplomatiques avec l’Iran, il y a presque 18 mois, le Maroc continue toujours de privilégier les intérêts de ses alliés stratégiques au sein du Conseil de Coopération du Golfe. Le ralliement marocain à une initiative accusant Téhéran de soutenir le terrorisme en est une nouvelle preuve.
Après la réaction du Conseil de coopération des Etats du Golfe, le Maroc exprime son soutien à la gestion saoudienne du Hajj. Rabat riposte ainsi aux positions exprimées par le «guide suprême» iranien et le président Hassan Rohani.
Déjà fragile, la trêve au Yémen a finalement volé en éclat. Hier, l’aviation de la Coalition arabe a repris ses raids sur les positions des forces hostiles au président Abd Rabbo Mansour Hadi. Une reprise décidée à Tanger.
Après cinq semaines de détention, le président de l’association chiite «Ressalis progressistes» verra son procès débuter ce mardi 5 juillet. Il encourt jusqu’à 5 ans de prison. De son côté, l’Iran, auto-proclamée protectrice des minorités chiites dans les pays sunnites, a choisi d'observer le silence jusqu’à présent.