Le gouvernement Benkirane n’a pas répondu aux questions des députés sur la fuite des épreuves du bac. Le ministre de tutelle aurait même quitté la Chambre des représentants dans la précipitation. Il aurait été convoqué au Palais pour s’expliquer sur le même sujet.
La petite communauté marocaine du Yémen demande un rapatriement d'urgence. Le gouvernement n’a pas encore répondu à ces appels.
Les révélations de «Chris Coleman» s’invitent à la Chambre des représentants. Le ministre des Affaires étrangères est appelé à comparaitre sur ce sujet au parlement.
S’inspirant de mesures prises par certains pays européens, les députés marocains se prononcent en faveur de la confiscation des passeports des aspirants au djihad. C’est d’ailleurs la principale modification à un projet de loi sur le terrorisme.
La session hebdomadaire des questions orales à la Chambre basse du parlement n’accordera finalement pas de temps à Mohamed Ouzzine pour s’expliquer. La colère royale contre le ministre de la Jeunesse et des Sports doit sans doute y être pour quelque chose. En revanche, les sénateurs gardent leurs questions pour le moment.
La Chambre basse du parlement a connu, cet après-midi, une séance de questions orales très particulière. Dans l'ensemble, elle n’a duré que vingt-minutes. Les députés de la majorité gouvernementale comme ceux de l’opposition ont tous sollicité de la présidence, la levée de la séance par respect et solidarité avec leurs collègues du PJD, encore sous le choc du
A quelques mois de l’expiration du mandat de la Chambre des conseillers, les sénateurs souhaitent arracher le maximum de privilèges. Ils ont remis au goût du jour leur demande visant à léguer leurs pensions à leurs enfants.
Le coût financier des intempéries devra largement dépasser celui des inondations de 2009 dans la région du Gharb. Aziz Rebbah estime que l’ouverture des routes, juste pour assurer un retour à la normale, celle qui prévalait avant le 18 novembre, devrait nécessiter 1 milliard de dh.
Le passage de Mohamed Hassad devant les députés ne devrait pas passer inaperçu. Le ministre de l’Intérieur, endossant l’habit d’avocat du gouvernement Benkirane, a imputé la responsabilité du nombre élevé des morts dans les inondations du Sud et Sud-Est, aux chauffeurs de taxis et d’autocars.