Le 13 avril, Benkirane se retire des obsèques de Ahmed Ben Bella. Un retrait qui n’a pas fait grand bruit dans la classe politique marocaine. Le 3 mai, Mohamed El Yazghi, critique la décision du chef du gouvernement.
Les résultats définitifs des élections législatives anticipées du 25 novembre viennent de tomber. Ils confirment la très large victoire du PJD devant les autres fomations qui étaient en lice dans ce scrutin. Le parti de Benkirane remporte 26% des sièges au parlement, loin devant l'Istiqlal, 15%. Le RNI se place troisème avec 13% des sièges.
Après l’annonce des résultats partiels donnant une nette avance au PJD, l’heure est aux tractations pour la formation d’un gouvernement de coalition. Le secrétaire général du parti de la lampe, conscient qu’il est «obligé de s’allier avec les autres partis» exclut tout de même cette éventualité avec le PAM. Les partis de la Koutla pour leur part, comptent faire front commun pour
Les principaux partis politiques marocains sont contre le système de vote par procuration mais la plupart a voté pour. Leurs programmes se concentrent sur les mêmes questions générales attachées à la diaspora.
L’affaire de l’Audi A8 de Moncef belkhayat continue de faire beaucoup parler sur la toile, mais également au sein de la classe politique. Si certains acteurs s’indignent et parlent de dilapidation des deniers publics, d’autres semblent rester indifférents car estiment-ils, «ce n’est pas un cas isolé». Cette affaire, selon eux, si elle est avérée «n’est que l’arbre qui cache la forêt».
Après le référendum constitutionnel, le Maroc s’apprête pour les législatives. La date du 7 octobre, si elle est confirmée convient déjà à l’ensemble de la classe politique, à l’exception du PJD et de l’USFP. Ces deux partis estiment très court, les deux mois et demi restant pour l’adoption du Code électoral ainsi que de nombreux autres textes, comme la loi organique sur le vote et
Lundi 25 avril, à Paris, s’est tenu un large débat politique sur l’avenir du Maroc et de sa constitution. À l'invitation de l'Association Maroc développement les représentants des principaux partis politiques marocains, ainsi qu’un membre du Mouvement du 20 février ont débattu pendant plus de 4 heures devant un public composé essentiellement de jeunes. Compte rendu.
La Commission consultative de révision de la constitution débute ses travaux aujourd’hui. Première étape : écouter les doléances de chacun. Les partis politiques seront les premiers à être auditionnés. Entre débats internes est cahiers de revendications, les autres acteurs de la vie politique marocaine s’activent.