Le nouvel ambassadeur marocain à Alger commence sa mission par un acte qu'il aurait pu éviter. Hassan Abdelkhalek a assisté à la session extraordinaire du conseil national de l’Istiqlal. Les autorités algériennes ont mis des mois à donner leur accord pour sa nomination. En cause, son appartenance au parti de la Balance. Une formation qui revendique la récupération du Sahara oriental. Détails.
Il y a cinq ans, l’USFP rejetait l’offre de Benkirane d’entrer dans son gouvernement. Désormais, la Rose se rapproche davantage d'une participation au gouvernement Benkirane III. Le parti ne peut qu’être du côté «des partis nationaux démocratiques en vue de servir les masses populaires», a affirmé son bureau politique.
Ilyas El Omari souhaite une «réconciliation». Une main tendue à l’Istiqlal et à l’USFP alors que les deux partis s’apprêtent à entrer dans une coalition avec le PJD en vue de la formation du prochain gouvernement. Détails.
Un gouvernement entre le PJD et les partis de la Koutla (PI, USFP et PPS) est envisageable mathématiquement et politiquement. Un bloc démocratique augmenté du PJD pourrait donner du sens au paysage partisan. Détails.
La carte salafiste n’a pas fait long feu. Les candidats de la mouvance radicale engagés dans les élections législatives ont tous échoué. L’Istiqlal qui comptait sur ces islamistes d’une autre tendance pour remporter davantage de sièges à subi un revers. Un échec qui n’est pas sans rappeler ceux du parti Annahda wal Fadila aux élections de 2007 et 2011. Explications.