La décision du Conseil constitutionnel d'invalider l'élection de plusieurs élus istiqlaliens à la chambre des Conseillers à du mal à passer à quelques semaines des élections législatives du 7 octobre prochain.
Après Abdelilah Benkirane et Ilyas El Omari, Hamid Chabat s’invite à la course pour la présidence du gouvernement. Le secrétaire général de l’Istiqlal se voit déjà en haut de l’affiche, affirmant que son parti était capable d’arracher 80 sièges à la Chambre des représentants.
A six mois des législatives du 7 octobre, la légalisation de la culture du cannabis (kif) est devenue plus que jamais un enjeu électoral. En témoigne ce qui s’est passé cet après-midi à la Chambre des représentants entre l'Istiqlal et le PJD. Détails.
L’immolation par le feu d’une vendeuse ambulante à Kenitra se politise. Le PJD et le PAM demandent l’ouverture d’une enquête en vue d’élucider les circonstances ayant conduit «Moui Fatiha» à commettre son acte. De son côté, le groupe des députés de l’Istiqlal porte également un intérêt particulier à cette affaire.
Conscient de l'importance du vote salafiste, l’Istiqlal de Chabat a organisé une conférence à Fès sur «le salafisme nationaliste» et son rôle dans la lutte contre le protectorat français. Mais le PI n’est pas le seul à courtiser cet électorat. Détails.
A la Chambre des représentants, un député de l’Istiqlal a soulevé les «zones d’ombres» qui entourent les grâces royales accordées à certains détenus. Cette question n’est bien entendu pas dénuée de calcul politicien.
L’Istiqlal souhaite absolument endosser de nouveau l’habit gouvernemental. Pour cela, les amis de Hamid Chabat multiplient les appels du pied au PJD. Le dernier en date est un réquisitoire virulent présenté hier par le président du groupe du PI à la Chambre haute du parlement contre la presse électronique accusée de «perturber» le travail des responsables et d’«atteinte à l’intégrité