Si le Maroc commence à se faire un nom dans le e-commerce en Afrique, il est aussi connu pour les copies ou plagiats. Un nouveau venu, vente-privee.ma en voulant profiter du boom du e-commerce, ne s’est pas embarrassé des règles de la propriété intellectuelle. Explications.
Antonio Lopez, camionneur espagnol de 56 ans, a retrouvé sa liberté le 28 mai dernier après avoir passé sept long mois en prison à Tanger. Il raconte le calvaire qu’il a vécu au Maroc et livre sa réalité de la corruption au sein des tribunaux et de la police marocaine. Détails.
La révocation de quelques juges ou la suspension provisoire sont-elles le prélude à une véritable réforme de la justice ? En tout cas, les sanctions du Conseil supérieur de la magistrature ne recueillent pas l’adhésion de toute la profession. Le Club des magistrats les considèrent «inconstitutionnelles». Mais s’il y a une personne qui devrait se sentir heureux du verdict du CSM, c’est bien entendu
Au lendemain de la publication, dimanche, des sanctions contre des juges, un magistrat s’est donné la mort d’une balle dans la tête, à l'aide d’un fusil de chasse. Sans prendre le soin de s’assurer si le défunt figurait sur la liste noire du Conseil supérieur de la magistrature, des sites d’actualité ont vite fait le lien entre la décision du CSM et ce suicide. Le ministère de la Justice
Le pédophile espagnol Daniel Galvàn a rejeté les accusations à son encontre au tribunal de Torrevieja en Espagne samedi. Son avocat, Manuel Maza, parle d’une histoire «inventée» et estime que les déclarations des parents de la jeune fille qui aurait été abusée sont «contradictoires». Pire, les accusations au Maroc seraient sur le point d’être balayées. Le département de la
Le Conseil supérieur de la Magistrature qui s’est réuni dimanche a fait grincer beaucoup de dents. Si certains magistrats ont eu droit à des promotions, d’autres, par contre ont été lourdement sanctionnées. Dans la même foulée, de nouvelles dispositions viennent d’être adoptées concernant les cas de détournement et corruption au sein de la profession, avec des peines d’emprisonnement et des
Le Parti populaire espagnol a indiqué hier que le Maroc était entièrement responsable de la libération par «erreur» de Daniel Galvàn. La formation de droite estime que le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, José Manuel García-Margallo, et celui de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardón, n’ont pas à s’expliquer devant le Congrès sur cette