Rassemblant le Maroc, l’Algérie et la Tunisie, la conférence de Tanger tenue en avril 1958 sous la houlette du parti de l’Istiqlal fut perçue par l’URSS comme une tentative d’isoler son nouvel allié, la République arabe unie (RAU). Cette position suscita l’étonnement du leader istiqlalien, Allal El Fassi.
Alors que les combats s’intensifient en Syrie, dans les derniers bastions de l’organisation «Etat islamique», des sources sur place signalent la présence de Marocains parmi les familles fuyant la guerre dans la région Al Baghouz (sud-est de Deir Ee-Zor). Ils se dirigent vers des camps contrôlés par les Forces démocratiques syriennes.
Après qu’Israël a exprimé son intention d’exiger 250 milliards de «remboursements» de sept pays arabes, dont le Maroc, en plus de l’Iran, des intellectuels et associatifs marocains ont lancé une pétition contre ce projet. Pour Israël, celui-ci compenserait la valeur des biens de juifs laissés dans ces pays depuis 1948.
Selon des médias hébreux, Israël a exprimé son intention d’exiger des remboursements atteignant les 250 milliards de dollars de sept pays arabes, dont le Maroc, en plus de l’Iran. Cette somme compenserait la valeur des biens de juifs ayant quitté ces pays-là depuis 1948.
Alors que la Belgique a entamé l’identification par ADN de ses ressortissants susceptibles de se trouver encore en Syrie, le gouvernement dit vouloir rapatrier les enfants mais pas les mères. La question du retour des jihadistes revient ainsi en Une, rappelant par ailleurs que le Maroc n’a pas encore concrétisé ses promesses.
Il y a sept ans et quelques semaines, le Maroc rappelait son ambassadeur en Syrie. Aujourd’hui, un nouveau contexte international semble se dessiner.