Difficile à croire, mais pourtant vrai. Brûlée au troisième degré sur le visage, le bras et l'avant-bras, Fatim-Zahra, 2 ans, – emmenée d’urgence dans un hôpital public de Marrakech par sa mère - a été refusée de soin. Et sans la générosité d’une inconnue, la santé de cette fillette aurait pu être encore en danger. Détails.
Le procès d’Aziz Lahlou, un médecin de la ville de Meknès poursuivi pour pratique d’avortement, suit toujours son cours. Le gynécologue condamné le 6 juin dernier par le Tribunal de première instance à dix ans de prison passe devant la Cour d’appel. Ses avocats ont soulevé le problème qui entoure la question de l’avortement hier durant l’audience au Tribunal. L’affaire risque de créer des
Au Maroc, 1400 avortements clandestins seraient pratiqués au quotidien. C’est ce qu’affirme en tous cas une association de lutte contre l’avortement clandestin au Maroc, citée aujourd’hui par le quotidien Akhbar Al Youm. Un chiffre qui semble surréaliste. Explications.
Au Maroc, 54 enfants de moins de 5 ans et 33 de moins d’un mois meurent chaque jour. Des données peu flatteuses que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) souhaite voir reculer au plus vite. Elle a ainsi lancé un plan d’accélération pour la réduction de la mortalité infantile et maternelle dans le royaume et estime qu'il est en capacité de réaliser de belles performances d’ici l’an prochain.
Les associations de défense des droits des malades et pour l’accès aux médicaments - l’ITPC et ALCS - demandent à être reçus par les négociateurs marocains de l’accord de libre échange élargi actuellement négocié par le Maroc avec l’Union européenne. Elles veulent les alerter sur les dangers que représentent plusieurs clauses cachées pour l’accès aux
Le projet de révision de la Loi 10-94 relative à l’exercice de la médecine ouvrira la voie à la libéralisation des capitaux des cliniques, aux investisseurs. En d’autres termes, c’est un nouvel acte dans le processus de privatisation de la santé au Maroc.
Salaheddine Slaoui, propriétaire d’une clinique de chirurgie plastique à Rabat, a offert de réaliser, le dernier vendredi de chaque mois des consultations et opérations de chirurgie réparatrice gratuites pour les personnes dans le besoin. L’annonce date d’une semaine et son carnet de rendez vous est déjà complet jusqu’en mai. Il explique sa démarche à Yabiladi.