Qu’il s’agisse du tatouage ou du laser, l’inoffensivité des procédés chirurgicaux auxquels recourent les spécialistes pour modifier la couleur de l’iris reste encore à prouver.
Mehdi Echafiî, pédiatre et chirurgien au centre hospitalier provincial de Tiznit, alerte souvent sur les dysfonctionnements de son secteur professionnel. Au même moment, il fait l’objet de harcèlements de la part de son administration, qui lui reproche, entre autres, de ne pas faire opérer des patients.