Mohamed Laamarie, un Marocain de 65 ans en séjour à Bruxelles souffre d’une maladie du cœur et doit être opéré. Vu la cherté de l’opération, le roi Mohammed VI a décidé de prendre en charge une partie des frais hospitaliers. Un élan de générosité qui a particulièrement touché ceux qui se sont mobilisés pour venir en aide au malade.
Tomber malade au Maroc représente un risque moyen pour International SOS, organisme spécialisé dans les services de soins de santé et d'urgence pour les clients en voyage d'affaires à l'étranger. Les seuls pays qui ont été considérés comme présentant un «risque moyen» pour les voyageurs à destination de l’Afrique, sont outre le royaume, la Tunisie et l’Afrique du Sud.
Le petit Yahya est né sans visage. Une malformation, dont la provenance n’est toujours pas déterminée qui touche ses yeux, son nez et sa bouche. Pour se faire soigner, il devra aller en Australie la semaine prochaine.
Une fois de plus, au Maroc, une femme a dû accoucher ailleurs que dans une chambre d'hôpital. La scène s'est déroulée à Elkbab, près de Khénifra, devant les yeux des passants. L'hôpital local n'aurait pas le matériel requis pour les accouchements. Détails.
Ce jeudi matin, le Dr Chraïbi et le ministre de la Santé, El Ouardi, ont eu l’occasion de confronter leurs points de vue sur Radio 2M. Malgré l’insistance des journalistes, le ministre ne donne toujours pas de date de débat national, ni d’engagement, de sa part, quant à une loi légalisant l’avortement.
Le Dr Chraïbi qui avait témoigné lors d’un reportage sur France2, a été suspendu de ses fonctions. Militant pour la légalisation de l’avortement au Maroc, ses paroles n’ont pas fait que des heureux. Un mouvement d’internautes s’élève sur les réseaux sociaux pour le soutenir. Il réagit sur Chaîne Inter.
Le ministre de la Santé aurait suspendu le gynécologue Chraïbi de ses fonctions, suite au reportage de France 2 concernant l’avortement au Maroc. Cause ? Pas d’autorisation de tournage au sein de l’hôpital.
Les demandes de brevets déposées en Europe pourront être simultanément émises au Maroc, selon l’accord conclu le 19 janvier par le Maroc et l’UE. Le Maroc n’a cependant pas encore les moyens de les étudier de façon indépendante. Une occasion ratée, pour plusieurs associations, d’améliorer l’accès des Marocains aux médicaments.