En France, les hommes nés de parents immigrés du Maroc, d’Algérie ou de Tunisie sont exposés 1,7 fois plus à la surmortalité que les populations non-migrantes. Ce sont les résultats d’une étude inédite de l’Institut national d’études démographiques (INED), qui évoque notamment l’impact des disparités sociales sur la qualité de vie et la santé des personnes.
La procréation médicalement assistée, régie au Maroc par la loi 47.14, est encore peu démocratisée, notamment en raison de son coût élevé. Le président du Collège marocain de fertilité pointe également des difficultés d’accès à l’information.