L’acteur mythique Charlie Chaplin se rendit au Maroc dans les années 50 pour rencontrer le puissant pacha, Thami El Glaoui. À Tanger, l’acteur comique assista également à une performance burlesque.
Melilla fête ses 521 ans en tant que ville espagnole, un statut que le Maroc ne reconnait pas. Retour sur l’histoire d’un des derniers vestiges du colonialisme.
Ancêtre des instances et associations chargées d’organiser l’islam de France, le «consistoire musulman» en Algérie, s’il n’a en réalité jamais vu le jour, traduit la volonté des autorités coloniales de l’époque de tirer profit des richesses générées par la gestion du culte musulman.
Le 5 août 1979 à Alger, le numéro 2 du Conseil militaire du salut national en Mauritanie signait un accord de paix avec le Polisario, officialisant son retrait de la province d’Oued Eddahab.
Le «Fondouk Américain» est une clinique dédiée aux animaux malades de la ville de Fès. Elle a été construite en 1929, suite à un voyage dans le royaume de touristes américains qui ont remarqué la manière dont étaient traités les animaux.
Peintre de renommée internationale, Hassan El Glaoui s’est éteint à l’âge de 94 ans, léguant au Maroc et aux férus de la peinture figurative un riche patrimoine. Avant son décès, il est revenu auprès du Figaro sur son début de carrière, où Churchill a eu un grand rôle.
A Nîmes, une construction inspirée de l’architecture mauresque a récemment été découverte. Pourtant, son existence remonterait au moins au XIXe siècle. Elle révèle au grand jour une histoire de famille passionnée par la culture arabo-musulmane.
Dans les années 1930, la presse française était particulièrement encline à parler islam et ramadan, notamment en Algérie, alors département français, dans les pays placés sous protectorat ainsi que dans les autres Etats du monde musulman.
Le soulèvement du Rif a duré 157 jours, entre le 7 octobre 1958 et le 13 mars 1959. Abdelkrim Khattabi, leader de la résistance rifaine avant son exil en Egypte, avait appelé l’ancien président égyptien Gamal Abdel Nasser à soutenir la population.
Le businessman Ion Perdicaris, kidnappé par des hommes de Moulay Ahmed Raissouni, était impressionné par le courage et la bravoure du leader des Jbalas. Après une crise entre Theodore Roosevelt et Moulay Abdelaziz, il a confié avoir apprécié la compagnie de Raissouni.