L’émission spéciale MRE, présentée par Mohamed Ezzouak, est le fruit d’un partenariat entre Radio 2M et Yabiladi.com.
Dans cette série, Yabiladi revient sur les grands lieux de pèlerinage juif au Maroc, visités annuellement par des milliers de fidèles et de curieux. Dans ce premier épisode, l’histoire de Khalifa Ben Malka, l’une des personnalités rabbiniques ayant marqué les esprits à Agadir, au Sud du Maroc et même à l’échelle internationale.
Le pape François sera le deuxième pape à se rendre au Maroc après le déplacement, dans le royaume, de Jean Paul II en 1985. Une visite de haut niveau qui fait écho aux relations pluricentenaires entretenues entres les hauts représentants de l’Eglise catholique et les sultans marocains.
D’après de récentes recherches scientifiques, certains membres de l’équipage du Mary Rose étaient originaires d’Afrique du Nord, en l’occurrence du Maroc et d’Algérie.
Le 3 mars 1973, un groupe de jeunes idéalistes de l’Union nationale des forces populaires (UNFP), manipulés par d’autres parties, voulaient lancer un mouvement armé. Même avec ses promoteurs marocains et algériens, l’opération fut un échec.
Rassemblant le Maroc, l’Algérie et la Tunisie, la conférence de Tanger tenue en avril 1958 sous la houlette du parti de l’Istiqlal fut perçue par l’URSS comme une tentative d’isoler son nouvel allié, la République arabe unie (RAU). Cette position suscita l’étonnement du leader istiqlalien, Allal El Fassi.
Ce documentaire produit par Yabiladi revient sur l’histoire de l’Union nationale des étudiants du Maroc (UNEM), fondée en 1956 au lendemain de l’indépendance et restée aux mains du parti de l’Istiqlal, jusqu’à une scission ayant donné lieu à un virage à gauche. Des faits sanglants entre mouvements estudiants rivaux ont ensuite plongé les universités dans une violence sans fin.
L’autobiographie d’Omar ibn Saïd, un érudit africain conduit de force en Amérique au XIXe siècle, est la seule rédigée en arabe par un homme confiné dans sa condition d’esclave.
Eric Arthur Blair, connu sous la plume de George Orwell, a dressé un portrait macabre sur la ville de Marrakech. En réalité, il s’agit plus du colonialisme que du Maroc.