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L'Erreur fatale
f
12 novembre 2010 21:28
Salam,

Big up pour ton histoire que je trouves interessente et riche en références ! thumbs up
J'espere que tu reviendras bientot pour nous poster la suite...

barakALLAH o fik

wa salam Bye
f
16 novembre 2010 19:15
Salam...

NON Matrix tu peux pas me faire ca!!! :-)
J'attendais la fin av impatiente, j'espère que tu reviendras trés prochainement av la fin :-)

Salam...
w
16 novembre 2010 21:27
j'ai pas lu dèes que c'est bizarre ou trop long je lis pas ;arrete tes conneries
O
17 novembre 2010 11:54
Citation
rifi64 a écrit:
j'ai pas lu dèes que c'est bizarre ou trop long je lis pas ;arrete tes conneries


C'est une histoire, pas la réalité smoking smiley
[color=#FF0000][center][b]:foot:One Two Three, Viva L'Algérie !!!:foot:[/b][/center][/color] [center][b][color=#0000FF]:danse: Secouez Moi, Sinon La Pulpe, Elle Reste En Bas!! :danse:[/color][/b]:danse:[b][color=#00FF00]Faites Peter Les Klaxons[/color][/b] :danse:[/center]
M
18 novembre 2010 14:29
Je me souviens m’avoir mise en 2009 sous le couteau du modérateur comme oud’hiya virtuelle à la veille de l’Aid lekbir défendant de la sorte une cause digne d’un tel « sacrifice ». Waw c’était par amour envers une âme injustement condamnée par les hautes autorités à l’époque…mmm un bon souvenir, un bon souvenir !!!

Je vis encore après ma mort ! Le monde virtuel est bien immortel (sourire).

Après ma résurrection, je me suis construite ce salon. Un salon assez confortable, que j'ai réservé à moi et à mon imagination only. Ahhhh ce qu’elle était d’une bonne compagnie mon imagination ! Généreuse et fertile de blablas !!! Je passais de bons moments avec elle!

Aujourd’hui, je suis là pour deux choses :

a) Vous faire un p’tit aveu : Je me rends compte que je suis une tout p’tite sadique au fond. Pourquoi me diriez vous ?

Attendez, je vais vous confesser le pourquoi :

Figurez vous que cette année, j’ai réagi de la même manière que l’année antécédente !
Figurez vous que j’ai pensé mettre mon imagination (par coïncidence le fameux nouveau-né après mon dernier sacrifice) sous mon couteau comme mouton à égorger pour ma fête de l’aid lekbir 2010.

Meskina, je la torturais de m’en débarrasser pour toujours si jamais elle ne me pond pas des pavés sur Ahmed et Bouchra AVANT la fête. J'ai décidé de la tuer puisque devenue stérile (= ne plus surfer dedans si stagnation à vie). J’étais affreuse, horrible avec elle! Elle a cédé. Elle s’est mise à l’action ! Terreur oblige !

Veut dire quoi ?

Elle a accouché, par force, des SUITES (rires). Fertile de nouveau mon imagination, eh oui (rires).

b) Comme j’ai promis le retour une fois réconciliée avec, I’m here pour vous poster 3 suites uniquement. Trois suites uniquement, je vous dis et c’est ma portion de brochettes virtuelles que je vous dédis en 3 ces jours de fête, une par jour quoi (sourire).

Veut dire encore : C’est juste une p'tite détente sur ce salon surtout que je me suis connectée ces deux jours pour souhaiter et recevoir en même temps des vœux de bonne fête.

Bonne lecture les fantômes et aid moubarak said à tous les musulmans aynama kanou fi bi9a3i l’ard.




Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/11/10 14:31 par Matrix Gamma.
Modos typiquement maghrébins...Ils ne peuvent faire un job de pro...La démocratie leur est inconnue mais la dictature, ils y sont forts. Pffff. Bannie
M
18 novembre 2010 14:40
Suite 1 après des mois de page blanche (rires). A l'occasion, je vais encore chiffrer mes suites en 2011 inchaa Allah. Daba, aucune envie pour.

.................................................................................. .................................................................................................... .......................


La vraie bataille pour une femme ne commence qu’après avoir conquis le cœur de son homme. Ce grand rêve que Soukayna tenait coûte que coûte à réaliser ne pouvait voir le jour. Ce fut enfin sa conviction après le cruel aveu de son Azar devant leurs voisins.

Son indifférence la faisait souffrir mais qu’il abusait jusqu’à lui lancer à la figure et devant des esprits de haute allure, que jamais elle ne pourrait l’éblouir tant qu’elle n’imageait aucunement la femme idéale l’avait totalement découragée, malencontreusement surchargée.

Malgré toutes les méthodes de séduction qu’elle avait déployées, en passant par ses talents sexuels, ses tenues coquines, son maquillage spécial, ses scènes de jalousie visant de susciter son intérêt à la garder pour lui, furent en vain : Le séquestrer à vie dans leur nid se limitaient à des envies qu’elle devait classer dans le tiroir oubli.

Elle voulait le fuir, les fuir, se fuir. Elle ne pouvait plus supporter son malheur, celui d’être tombée éperdument amoureuse d’un ingrat, d’un futur père n’ayant aucun scrupule de respecter, au moins humainement, la mère de son enfant.

Ayant tenté de quitter la pièce avec un geste brusque qui attrista Bouchra, celle ci ressentit le grand besoin de la prendre dans ses bras. Chagrinée de la voir aussi abattue, Bouchra se devait pourtant coincée dans son coin puisqu’elle l’avait promis à son conjoint.
Par reflexe, elle se tourna vers son Ahmed le priant à travers un regard compatissant de sauver la situation.

Elle l’entendit soudain prononcer :

- Quiconque reste patient, Dieu le rendra patient. Personne ne peut avoir une meilleure et plus grande bénédiction que la patience. La patience est un des chemins qui mène de l’obscurité vers la lumière. La vraie patience, celle qu’on s’octroie aux moments difficiles, est une des plus grandes vertus. Le Coran nous invite à l’acquérir. Bismillahi arrahmani arrahime : «… L’homme est certes en perdition, sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres, s’enjoignent mutuellement la vérité et s’enjoignent mutuellement l’endurance », sadaka Allahou al’3adime.

Avec ces paroles divines, Ahmed crut l’inciter à revoir sa décision de fuir son amertume.

- Mais je rêve ou quoi ? Tu me conseilles la patience en telle circonstance !! Je n’ai pas cette force moi ! Mais c’est vrai, j’avoue que je devais m’acquérir cette vertu lorsque je me suis retrouvée seule devant les menaces de la banque. Il vaut mieux supporter mes crédits que le venin de ce maudit.

- Wassi H’med, mais à qui tu parles ? Cette femme ne sait même pas où se trouve l’kabla. De la foi, elle n’en a pas et n’en aura pas. En tout cas, j’ai fait preuve d’une grande patience en endurant assez longuement sa mauvaise compagnie. L’avoir épousé uniquement pour me procurer une vie aisée a été une erreur fatale. Qu’Allah me pardonne ce péché

Bouchra ne croyait pas ses yeux. Ça devenait de plus en plus pire entre les deux. Devant un mari aussi déterminé et convaincu de la gravité de sa sottise, celle d’avoir accepté le pacte conclu, leur acte sous forme d’un mariage de complaisance, ne pouvait que troubler le fond de son amoureuse.

Azar se montrait imperturbable et inaccessible. Combien même, ils ont partagé une ardente intimité ensemble, ses sentiments n’étaient point pincés.
Combien même Soukayna se tolérait de la vulgarité, Bouchra saisissait le moteur l’ayant déclenchée, celui de ne pouvoir goûter le bonheur avec celui qu’elle prétendait être le prince de son cœur.

Azar et Soukayna laissaient libre cours à leur conscience de se manifester. Ils s’accusaient mutuellement leurs bêtises. Il ne s’agissait plus d’un souvenir désagréable qu’on se confessait, non plus d’un regret d’avoir manqué une opportunité mais plutôt d’un remord qui les rongeait sur ce qui a été fait et non pas sur ce qui pourrait être fait.

En effet, Soukayna supposait le tracas des dettes plus supportable qu’une vie commune avec son mari et celui- ci préférait son célibat sans permis de séjour que la compagnie d’une femme chez qui il n’appréciait rien de particulier.
Modos typiquement maghrébins...Ils ne peuvent faire un job de pro...La démocratie leur est inconnue mais la dictature, ils y sont forts. Pffff. Bannie
M
18 novembre 2010 14:52
Suite 2

Soukayna était à bout de ses nerfs. Le déchirement intérieur des humiliations subies, son passé exécrable qui la poursuivait et les vallées de larmes sur son existence depuis son enfance la poussaient vers une déprime incontournable, vers un mal-être déplorable, celui de se sentir vide, en permanence anxieuse du futur.

Si seulement son mal n’était que physique, fut subitement la pensée de Bouchra. Si seulement sa voisine souffrait d’une douleur corporelle, d’une blessure dont la cicatrice s’atténuerait avec le temps. Soukayna se trouvait face à d’autres genres de maux : Le mal moral qui lui faisait ressentir le fardeau de la honte, celui de la peur et son mal métaphysique qui résultait de l’imperfection de ses hommes et de leurs actes injustes à son égard. Son père, son ex et son mari actuel ont ravagé son être qu’elle a fini par perdre toute notion d’espoir pour une vie meilleure.

Une future mère qui portait une vie en elle devait ressentir de l’attention pour aimer sa vie et la faire aimer à son nouveau-né. Toutefois les expériences de Soukayna nuisaient jusque là cette conception.

Bouchra pensa tout d’un coup à ses impulsions du jour au vécu des incidents.
Comment aurait elle réagi si elle était à la place de sa voisine qui faisait preuve d’une grande persévérance à la suite de tout ce qu’elle a dû soutenir comme choc et infidélité de la part de son mari ?

Elle se vit subitement impatiente durant ses petites épreuves surclassées en comparaison avec celles de sa voisine si offusquée. Elle même s’est succombée dans son doute ayant entraîné ses incontrôlables impulsivités, s’avoua t-elle au fond d’elle.

Bouchra réalisa que ses conseils à Soukayna étaient d’une grande sagesse, néamoins à grand-peinepour les mettre en œuvre devant la lourdeur des faits.
Heureusement que les malentendus avec son Ahmed ont été dissipés, se confessa t-elle soudainement. Heureusement que son mari fit preuve de cette grande vertu évoquée : Il a été très patient face à ses condamnations insensées.

Contrairement à Azar, l’insolent qui contrattaquait impitoyablement son épouse, Ahmed était plutôt conciliant, veillait avec finesse de disséquer la source de leur problème, l'ayant victorieusement et pertinemment expliqué à son avantage.
Bouchra remercia Dieu d’avoir rencontré son homme distingué de qualités éminentes. Elle le jugea par l’usage qu’il en savait faire à la vue de ses comportements du jour. Son merveilleux Ahmed mettait ses conseils en pratique, une preuve vivable qu’elle venait de persuader.

Un cri d’indignation interrompit brusquement le cours de ses pensées. Soukayna menaça Azar en retour :

- Sal...o...pard. Ton erreur est plutôt de croire que tu m’as eue. Je m’étais fanée dans cette vie de merde en te proposant le mariage blanc. J’étais bourrée de dettes et je ne pouvais autrement. Maintenant qu’une grosse somme a été remboursée, je suis capable de verser le peu qui reste sans ton appui. Tu finiras tes jours en cellule sale andouille. Tu pues d’égocentrisme. Ne prétends jamais, t’as plus de valeur.

- Nul besoin de le prétendre. Je l’aie. Je suis le plus intéressant et le plus cultivé. Un informaticien est plus respectueux qu’une ex barmaid chargée d’accueillir les pochards de la ville. Je ne peux apprécier une de ton genre, je ne peux considérer une femme maudite par son propre père et maitresse chassée par son ex lover athée.

Soukayna s’effondra en sanglots à l’écoute de ses injures continues. Avec détermination, Bouchra la vit tout de même répliquer :

- De grands mots comme toujours!! C’est plus fort que toi mais quoi que tu dises, tu n’arrives même pas à la cheville de cet homme. Au moins, il assume son athéisme. Toi qui te nommes musulman n’a rien de musulman en fait. Un minable, un pochard à l’occasion, qui se donne lâchement pour des papiers!!! Pathétique.

- Détrompes toi. Rappelles toi que c’est moi qui payais tes crédits et consommais ta chair en contre partie. C’est bien toi qui se donnait comme une prostituée. Tu n’as pas été professionnelle dans l’affaire. Trop sentimentale que ça me dégouttait à fond. Je regrette à mort de m’y être lancé.
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C
18 novembre 2010 15:07
Tu sais qu'à partir de 2011 le webmaster te facturera la 1/2 de l'hébergement web grinning smiley

yawning smiley masmouma
☠ chti'sem ☠
M
18 novembre 2010 15:08
Suite 3

Ahmed et Bouchra se sentaient extrêmement gênés devant le langage abject du couple voisin. Leurs regards se croisèrent instinctivement. Sur un ton assez consternant, Ahmed leur lança :

- Stop. Je ne veux plus rien entendre. Je me rends compte que la fissure est bien profonde et les dommages bien énormes. Nous avons cru vous apporter soutien pour le bien de votre enfant. Impossible apparemment. Retirez vous, je vous en prie et que Dieu nous pardonne.

- Tu fais bien de l’invoquer, t’as besoin de Son Pardon néanmoins. Que tu négliges les larmes d’une femme qui s’est fait jeter de sa maison, humiliée verbalement et agressée physiquement sous prétexte qu’il faut d’abord en parler avec le tyran est un geste abominable, ô que abominable !

À l’écoute de ses accusations, Ahmed se trouva dans l’obligation de se défendre :

- Tu voulais alerter la police de chez moi pour dénoncer le père de ton enfant, chose que je ne peux tolérer sans m’assurer de l’incrimination.

- Et qu’en est il maintenant que tu l’aies invité à un kass de thé ? S’avère t-il coupable ? Non coupable ? Il t’a aidé à quoi ce fichu protocole ? Fallait il que tu assistes au direct? Continua t-elle sous provocation.

- Je suis conscient que nous pouvons échouer en essayant de faire du bien. Je suis conscient que nous pouvons être mal compris tout en ayant de bonnes intentions. Le devoir suppose malgré tout de la bonne volonté. Cette bonne volonté repose justement sur la pureté de ces intentions et mes intentions étaient de servir honnêtement, d’aider équitablement. Dieu en est Témoin. Agir par devoir c’est ne pas agir sous l’influence de la sensibilité. C’est ce que j’ai fait et c’est ce que tu n’arrives pas à mécaniser.

Ironiquement, elle contesta avec un proverbe :

- C’est le ton qui fait la chanson, mon grand. C’est la manière dont on dit les choses qui marque la véritable intention. Depuis ton accueil à l’entrée, je n’ai rien vu de bon. Au contraire, tu n’as fait qu’empirer les choses. Je venais presque chaque jour pleurer chez ta femme. Elle était au courant de toutes mes souffrances. Je parie qu’elle t’en faisait part. Je patientais dans l’espoir de voir ma vie en rose, je supportais cet ivrogne dans l’espoir qu’il change après mon accouchement. Il m’insultait, il me frappait, tout ça je l’ai digéré même si avec difficulté mais qu’il me jette dehors! Ça, c’est hors de question. Je n'ai demandé que votre téléphone. Je ne voulais ni appui moral, ni hébergement local. Hélas ! Je n’ai eu qu’indifférence. Encore pire, lui offrir cette occasion de me mater en votre présence ! pas facile à vous le pardonner.

Bouchra sentit son cœur qui allait s’exploser. Ses yeux s’embuaient en regardant Soukayna les critiquer. Leur voisine n’écoutait que ses propres besoins. Cruellement outragée, elle adoptait le comportement d’une combattante qui cherchait vengeance dans les paroles avant son application dans l’action. En revanche, elle persistait à garder silence laissant Ahmed poursuivre le débat.

- Et connais tu ce proverbe « Charbonnier est maître de soi » ? Je peux agir comme je l’entends dans ma demeure tant que j’y suis le maître. Tu ne peux m’imposer quoi que ce soit. Et connais tu cet autre qui dit « Fais ce que dois, advienne que pourra » ? Il faut faire son devoir sans s’inquiéter de ce qui pourra en résulter. Je me permets de terminer avec un dernier espérant que tu puisses raisonner sous l'effet de ton désarroi. On dit encore si tu feignes l’ignorer : « Deux avis valent mieux qu’un ». Veut dire qu’il est conseillé de chercher avis de plusieurs personnes avant d’agir. Je devais consulter ton mari pour mieux encadrer votre situation que de me baser uniquement sur tes diffamations.

À son avantage, Azar profita de cet échange pour dénigrer encore plus sa femme:

- J’ai encore un meilleur yassi H’med. « Quand on veut noyer son chien, on dit qu’il a la rage ». Cette femme m’en veut, c’est pourquoi elle m’accuse faussement derrière mon dos. Wallah que des mensonges tout ce qu’elle prononce.

- Quelle monstruosité ! riposta agressivement Soukayna. Mais qui de nous est menteur dans ses relations ? Qui de nous est coureur de jupons prétendant vivre le calvaire sous prétexte je m’enrichis à ses dépends? Je suis ta femme au nom de la religion. Je suis ta femme au nom de la loi. Ton argent est bien le mien crétin.

- Idiote! Jamais je ne t’ai vue comme ma femme et jamais je ne te verrai comme une. D’ailleurs, on ne s’est pas mis d’accord là dessus. Nous avons signé un contrat d’affaire, pas plus. Il fallait respecter les règles.

- Et tu les as respectées toi ? Ce bébé en est une preuve. C’est le tien pauvre cinglé.

- Ben dis donc ! Tu t’en sers à ta guise! Quelle niaiserie ! Tu venais de le dénier tout à l’heure ! L’as tu oublié ?

- Tu me traitais de putasse bien avant. L’as tu oublié?

- Ecoutes, ne tournons pas autour du pot. Moi et toi, c’est de l’impossible. Ne crois pas que l’enfant que tu portes en toi changera quelque chose. Qu’il soit de moi ou d’un autre, peu importe. J’attends juste le bon moment pour déposer la demande du divorce. Ce moment, nous l’attendrons ensemble. Que tu le veuilles ou non, c’est dans le contrat. Faut que tu appliques. Point.

Ce qui fut étrange pour Bouchra et Ahmed, c’est l’exploitation du mariage pour des fins matérielles. Qu’il existe des gens qui acceptent à se consommer, condamnés à s’épuiser sentimentalement à travers un marchandage leur resta invraisemblable.

Le mariage renferme des bienfaits d’ordre religieux. Lorsqu’on se marie, on se voit récompensé pour avoir mis en pratique une sounna. Ses bienfaits dépassent le cadre personnel puisque cette union permet parallèlement l’union de deux grandes familles qui se doivent être rapprochées par un lien de solidarité. Chose de surcroit qui fut absente dans ce couple . Sans soutien parental, Soukayna se démerdait seule face à ses embarras quotidiens, Azar encaissait en solo les méfaits du marché l’ayant mis en pétrin.

La suite par la suite (sourire)
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M
18 novembre 2010 15:12
Citation
chti'sem a écrit:
Tu sais qu'à partir de 2011 le webmaster te facturera la 1/2 de l'hébergement web grinning smiley

yawning smiley masmouma

Morte de rire...waw!!!
Mon Dieu ce que je te hais!!! Dégages, vite foues moi la paix. Un ordre (rires)
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C
18 novembre 2010 15:14
Citation
Matrix Gamma a écrit:
Citation
chti'sem a écrit:
Tu sais qu'à partir de 2011 le webmaster te facturera la 1/2 de l'hébergement web grinning smiley

yawning smiley masmouma

Morte de rire...waw!!!
Mon Dieu ce que je te hais!!! Dégages, vite foues moi la paix. Un ordre (rires)

Tu connais Ras el khase7 ou pas?
☠ chti'sem ☠
M
18 novembre 2010 15:22
Citation
rifi64 a écrit:
j'ai pas lu dèes que c'est bizarre ou trop long je lis pas ;arrete tes conneries

Je t'ai lu 3 ou 4 fois...j'éclatais de rire...Pourquoi? T'aimes reprocher, en vouloir pour un rien, lancer des délires. Tu y trouves ton grand plaisir!

Et pourtant: Premier avertissement: Arrêtes de m'ordonner d'arrêter avec mes conneries. Changes de ton. Je te l'ordonne.
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M
18 novembre 2010 15:36
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chti'sem a écrit:
Citation
Matrix Gamma a écrit:
Citation
chti'sem a écrit:
Tu sais qu'à partir de 2011 le webmaster te facturera la 1/2 de l'hébergement web grinning smiley

yawning smiley masmouma

Morte de rire...waw!!!
Mon Dieu ce que je te hais!!! Dégages, vite foues moi la paix. Un ordre (rires)

Tu connais Ras el khase7 ou pas?

Morte de rire...
Ahhhh j'en suis bigrement amoureuse!!! Tu le connais toi ? (rires + clin d'oeil)

Pimentée comme toujours la chti'sem...Tu excites mon côté sauvage mais je te résiste (rires)....L'Eyjafjöll reste passif (clin d'oeil)...

Les filles (OrAnGiNa, Salame, Farah), votre voeu est exaucé...sourire)
A la prochaine inchaa Allah wassalam
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M
18 novembre 2010 16:39
Salam,

En ces jours de fête, on déguste de très bons mets, ton écit en fait partie winking smiley

Aid moubarak said et tous mes voeux de bonheur pour les années à venir.
s
7 décembre 2010 00:45
salam,

Matrix Gamma j'ai rejoint les fans de l'erreur fatale , j'adore!!!!! j'ai hâte de lire la suite, reviens nous vite!winking smiley
w
7 décembre 2010 18:10
non je dis ce que je pense ;jsui pas que ici pour plaindre les gens ;tu voulais quoi un compliment ou je repond pas carrement ;moué le sit est un peu faire pour tchatcher ;si tou les gens serai pareil croi moi que sa serai ennuyant alors détend toi ;
S
8 décembre 2010 01:01
Wa Salammmmmmmmmmm troppp raviiii de te revoir Matrix!!! et l'histoire revient ahlalalala ce que je l'ai attendu!!(joies) que du bonheur!!
Encore une fois je suis rentrée dans l'histoire c'est comme si j'étais dans le salon en tant que narrateur (rires)..

Encore merci pour ces moments de suspens et pleins de bon sens! (sourires)...Welcome
F
9 décembre 2010 12:45
Bonjour Matrix,
je me suis inscrite sur ce forum il y a quelques mois seulement, et ce n'est qu'hier que j'ai lu ton premier post /"chapitre" qui date du 23/12/2009.
j'ai lu le 1/4 au bureau, 1/4 chez moi.
j'étais impassiante de rentrer au bureau pour lire la suite, me voilà addicted.
je trouve l'idée géniale de publier une histoire de la sorte mais ce serait plus agréable de l'avoir en roman et le lire le soir dans son lit, en train....
je ss devenue fan, et j'attends donc la suite avec impassiance comme les autres.
bon courage!
f
11 décembre 2010 17:17
Matrix où es tu ?
s
13 décembre 2010 18:50
Matrix Gamma que te dire ?

t'as du talent pour l'écriture !! ça se voit thumbs up

j'étais beaucoup fascinée par les détails contrairement à certains qui trouvaient ça long, j'aime pas trop lire et franchement tu

m'as donné gout à la lecture smiling smiley c'est magique c'est mieux qu'un film je trouve puisqu'on voyage a travers notre imagination,

je vois que tu l'as commencé depuis 1 an et c'est pas encore fini grinning smiley c'est pas grave ...j'adore le suspense,

en plus on apprend beaucoup de choses sur la vie de couple basée sur le respect, l'amour, la clarté ( sans cachoteries), l'honnêteté et surtout le DIALOGUE ET LA COMMUNICATION, être a l'écoute de l'autre

Pour les femmes qui n'ont jamais vécue en couple c'est une leçon pour dire qu'il y a des hauts et des bas dans une vie de couple que l'histoire commence toujours par l'entente et qu'un seul malentendu on voit l'autre différemment en une seule seconde et on voudra tout planter et penser au DIVORCE et dans ce cas la faut être patient (ouuuuuuui patient parce que c'est la chose la plus dure ) à faire mais faut se forcer pour ne pas envenimer les choses et déprimer pour rien

Merci Matrix Gamma d'avoir mis cette lumière dans une rubrique très sombre comme "relations familiales et sociales"

On attend la suite winking smiley

bisous à toi yawning smiley
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