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Soukayna concevait l’amour comme un sentiment universel qui n’a ni couleur, ni religion. Incapable de saisir l’intolérance de son père, elle décida de reprendre son sort entre ses mains et accepta sans discussion l'athéisme de son futur mari qui lui prônait le respect de la diversité et celui de l’individualité. D’autre part, l’attachement à son identité culturelle lui a toujours été comme un symbole de fragmentation raciale et sociale. Selon son idéologie, la personne ne se définit pas selon son historique, sa confession, sa langue ou ses racines ancestrales mais bien selon son caractère, ses optiques et ses valeurs ajoutées dans sa propre société. La cohabitation avec son héros ne lui exigeait qu’une entente morale, une entraide financière et une reconnaissance du soutien, fut sa conviction. Croire ensemble en une existence divine n’était pas une nécessité pour elle et l’entrée au paradis était le dernier souci qui la préoccupait.

Son souci était plutôt d’inciter sa banque à lui octroyer le crédit demandé. Elle avait besoin d’un capital important pour la création de son projet en Etranger. Une évidence qui la poussa à rédiger un présentable business plan où elle projetait sa vision sur l’entreprenariat, sa passion pour la restauration, son ambition de réussir son affaire et transformer ses chiffres à une rentabilité efficace sur plan avec une mise en relief sur la compétence de son associé en la matière.

Son souhait exaucé, elle quitta le territoire toute ravie de retrouver son chéri. Les premières semaines passèrent en merveille. Elle s’occupait de la rénovation de l’endroit d’implantation, et son futur mari du choix des fournisseurs, des démarches administratives et de l’embauche du personnel avant l’ouverture du local.

Avant même l’officialisation de leur union et l’adaptation à son nouveau mode de vie, Soukayna commençait à regretter sa décision à la vue de son ami qui devenait de plus en plus distant. Tourmenté par le rendement insuffisant des premiers mois, il trouvait refuge dans l’oubli et ce, par se défouler entre amis dans ses bars où il figurait le client fidèle. Comme il rentrait souvent tard, elle l’emmerdait à cause de ses ivresses continues.

Les querelles débutèrent. Les menaces s’explosèrent. Elle lui en voulait son insouciance, son indifférence et sa négligence tandis qu’il lui reprochait ses colères, son incompréhension et ses tentatives de le mettre sous contrôle. Il s’abstenait à ne lui rendre aucun rapport sur ses activités dehors. Il lui fut le rappel que c’était sa coutume depuis longtemps et le pacte de stabilité auquel ils s'étaient mis d’accord avant leur liaison. Il se sentait étouffé sous ses accrochages et ses dérapages au point qu’il en avait assez de leur concubinage. À la longue, leurs conflits l’agacèrent jusqu’au jour il lui ordonna de tenter sa chance avec quelqu’un d’autre et de vomir ailleurs sa rage. Il insulta sa culture et religion croyant qu’elles étaient la cause de son absurde comportement.

Soukayna s'aperçut que le couple de ses parents était plus solide et plus équilibré que le leur. L’hédonisme de son ami, son je m’en foutisme et son égoïsme ne coïncidaient aucunement avec son optique sur une vie à deux. C’est ainsi qu’elle reconnut sa grande erreur, celle d'avoir suivi un jouisseur dans la croyance lui procurer le vrai bonheur. Quelqu’un chez qui la recherche du plaisir est l’unique libération de toute contrainte ne peut que la succomber dans plus de craintes. La rupture et le retour à ses racines furent la seule issue à cette labyrinthe.

Avant de le quitter pour de bon, elle lui réclama son argent. Chose qu’il lui refusa catégoriquement étant donné que son capital eut été investi sur la fourniture et la garniture du resto. Ignorant ses manigances avant le lancement de leur affaire et les engagements signés avec les assurances et maison d'impôts, elle se trouva abusée par l'homme en qui elle avait grande confiance. De cette déception, elle tomba en dépression.

À son regret, elle retourna chez ses parents qui l’accueillirent à bras ouverts. Ils souffraient énormément de la voir matériellement ruinée. La banque la menaçait de prison. Comme incapable de travailler vu extrêmement désaxée, elle trouvait lumière dans son mariage blanc.

Pour désorienter son voisin de son ultimatum et par peur qu'il dévoile sa grossesse à ses parents, elle lui demanda sans scrupule:

- T'as vu le crapule ?

La suite par la suite (sourire)…



Modifié 3 fois. Dernière modification le 26/03/10 18:53 par Matrix Gamma.

Quelle désillusion.....Partie vivre sa vie, elle n'a fait que déchanter...Une énorme erreur, quel gâchis pour une ambition dévorante.....

Les masques tombent, l'illusion n'est plus et l'atterissage est forcé pour Soukayna..(.

L'édifice qu'elle a construit s'écroule comme un château de sable....Une ruine....Professionnelle et privée....

Leurrée...Bernée...Prise au piège à cause de son envol....Une cage grise, terne, intérieure....La vraie cage lui pend au nez....

La famille, toujours présente, toujours accueillante, malgré ses erreurs...

Un contrat professionnel, voilà qui la sauvera de la vrai cage....Elle l'a trouvé, elle a signé....Elle s'est sauvé....Elle s'est perdue.....

Mais elle ne perd pas le nord.....

Attendons la suite de ce curieux ménage.....

Salam alaykoum,


Je viens de lire 40 pages... Pfffiouuuu c'etait long lol

C'est la première fois que je Post sur ce forum rien que pour te dire que j'aime beaucoup ton histoire.

C'est très beau, c'est une bouffée d'air frais sur ce forum de brute

Bonne continuation.

Salam,

Avec les problèmes de soukyana on a oublié bouchra dansl attente d une suite je remonte le post pour que notre chère Matrix ne nous oublie pas lol.

La féminité reste subjective et d’où la diversité de sa définition selons l'éducation acquise et les cultures. Ahmed apprécie la femme qui sait sauvegarder son mystère dans une grande pudeur, qui sait non seulement incarner de la fermeté mais aussi de la tendresse dans ses attitudes, de l’amour et de la compassion dans ses relations, de la délicatesse et de la sagesse dans ses comportements, de la grandeur d’âme et de la force morale dans ses actions. Face au langage d’une femme qui se permet d’insulter son mari à son voisin, il jugea Soukayna d’incorrecte et d'impolie.

"Il ne suffit pas de savoir penser mais aussi de savoir parler tout en exprimant la pensée", fut souvent son axiome pour une communication admissible. Visiblement agacé par la maladresse de leur voisine, Ahmed demanda à son épouse de le suivre à leur chambre à coucher. S’apprêtant à l’obéir après son éclipse du grand salon, Bouchra entendit Soukayna le critiquer :

- Son excellence ne prend même pas la peine de me répondre ! Quel hautain !

- Soukayna, je t’accompagne à la salle de bain. Essayes de te rafraichir un peu avant mon retour. Je pars voir ce qu’il veut.

- Tu te foues de ma gueule ou quoi? Je dégage, répliqua t-elle sur un ton ferme. Ton mari me regarde comme si j’étais une ordure.

- Soukayna, tu exagères. Suis moi Allah irdi 3lik et attendons de savoir ce qu’il en est avec ton mari.

Bouchra lui montra la serviette à utiliser, le savon dermatologique à appliquer sur son visage pour redonner à son épiderme plus d’hydratation après ses pleurs du soir, une crème contour des yeux, eau de parfum et des déodorants anti transpirants. Elle quitta ensuite leur douche direction leur chambre royale où son Ahmed l’attendait avec impatience. Elle ferma la porte et lui demanda :

- Oui chéri, qu’est ce qu’il ya ?

- C’est horrible que les humains se compliquent la vie pour rien…

- Mon amour, chacun d’eux se bat pour son propre objectif. Azar pour ses papiers et Soukayna pour son droit d’épouse.

- Bouchra, je t’ai toujours conseillé d’éviter cette femme désagréable. Elle n'apporte que tracas. Je commence à en avoir marre moi.

- Mon amour, j’étais incapable d’être indifférente à ses pleurs. Elle n’avait personne en plus et tu le savais.

- Bouchra, je voulais d’une vie calme, avec toi et avec nos familles, pas plus. Je ne voulais de personne d’autre chez moi. Maintenant que ses lamentations commnencent à nous perturber les soirées outre tes journées , il est temps que je mette fin à cela.

- Qu’as tu décidé ? lui demanda t-elle toute assoiffée d’entendre sa réponse.

- J’ai demandé à Azar de monter pour régler le problème chez nous.

- Ohhh mais il n’a jamais été chez nous son mari.

- Justement. Il s’est toujours comporté respectueusement à notre égard tandis que sa femme ne se dérangeait point de venir nous crier ses colères et te dévoiler leurs secrets.

- Et pourquoi la discussion de leur conflit en notre présence alors?

- Parce que je l’ai trouvé en dépression lui aussi. Il buvait ses bières, l’appartement était en désordre, des verres cassés, des oreillers par terre, des vêtements ici et là, des valises à l’entrée, je pense qu’ils n’arrivent plus à cohabiter ensemble. Alerter la police serait maléfique pour les deux et c’est certain qu’ils le regretteront par la suite…

- Il vient quand alors ?

- Dans des minutes, le temps qu’il change son pyjama et prenne une douche. Je n’aime pas l’odeur de l’alcool et c’était ma condition pour l’accueillir chez moi.

- Ok mon amour. Je pars préparer du thé pour détendre l’ambiance. Il parait que cette nuit sera longue Allah ij3al salama.

- Chérie j’ai un souhait encore, dit il sur une voix douce tout en lui tenant chaleureusement la main

- Lequel mon amour ?

- J’aimerais que tu restes observatrice durant leur confrontation, que tu gardes distance. Qu’ils s’arrangent à s’expliquer en tant que personnes mûres.

Bouchra ne s’empêchait de sourire à l’écoute de son mari. Elle lui dit toute taquineuse :

- Et si tu m’expliques le pourquoi yassi laf9ih

- Ce n’était aucunement une tentative de familiarisation ma proposition. Et puis ton silence pousserait peut être son épouse à se retenir si jamais elle m’adresse la parole. Je n’aime pas sa vulgarité, non plus son impulsivité. Par respect, j’évite de l'offenser.

Bouchra s’approcha amoureusement de son mari et posa tendrement son index sur ses lèvres qu'elle aimait tant caresser. Ses grands yeux dirigés vers le fond de ses siens, elle lui dit sur une voix rassurante:

- C’était mon intention cher bébé. Je préfère ne pas assister d’ailleurs mais puisque la situation est très délicate, je serai présente et me contenterai d’observer uniquement. Azar je ne le connais pas et par respect moi aussi, il vaut mieux m’abstenir de commenter ou critiquer comme je le fais avec sa femme...Inchaa Allah khir et que leur nuage se dissipe bi idhni'Llah.

La suite par la suite (sourire)

Citation
3achiqalmaghrib a écrit:
(Soukayna le regarda d’un air méprisant)
il ya qq chose que je n'ai pas compris!!! mais pourquoi le regarde -t-elle d'un air méprisant?

Rires... Concentré dans tes lectures à ce qu'il parait...j'aime (sourire)...

"d'un air méprisant" veut dire "d'un dégoût". Pourquoi? Parce que tout simplement, il a été sec avec elle malgré qu'elle son état et les larmes dans ses yeux. Ensuite il lui a empêché de se servir de leur téléphone pour appeler la police et dénoncer son mari et d'où son mépris. Elle n'apprécie pas l'attitude d'Ahmed qui ne compatissait pas avec elle (rires)...

Merci pour ton commentaire (sourire)...

HIHIHIIH YAOUUU
trop bien ewwaaa ils vont se dire quoii

j'aime bien leur réconciliation a eux deux

la souiiiittte a médame

lolll

ça fait un moment que j'ai plus lu... et quand je reviens, il y a une autre femme chez bouchra "Soukayna" mdrrrr. l'avantage, avec face aux problèmes des autres, ils en ont oublié les leur (l'histoire de msn) façon de relativiser et de se rapprocher amoureusement (comme quoi le couple bouchra et ahmed va bien ^^)


c'est compliqué la vie de couple, une vrai hrira



Modifié 3 fois. Dernière modification le 30/03/10 15:45 par Darla.

Citation
Darla a écrit:
lolll

ça fait un moment que j'ai plus lu... et quand je reviens, il y a une autre femme chez bouchra "Soukayna" mdrrrr. l'avantage, avec face aux problèmes des autres, ils en ont oublié les leur (l'histoire de msn) façon de relativiser et de se rapprocher amoureusement (comme quoi le couple bouchra et ahmed va bien ^^)


c'est compliqué la vie de couple, une vrai hrira

Grand éclat de rire... mais qui je vois ???!!! Mon grand amour est là !!! mmmmm mmmm mmmmm (grand rire)...chaque fois que je te vois yalfaracha, je me vois sourire avant que je lise ton premier mot...

Ecoutes, je sais que tu ressembles à l'amoureuse des antennes (rires). Toutes les deux fainéantes à feuilleter le roman...Ce n'est pas votre truc, je le sais (sourire)...Donc patientez jusqu'à la fin de la story et je vous enverrai l'Erreur fatale vide d'erreurs pour la lire selon votre tempo et en calme(sourire)...

Sinon tu as raison mignone Darla...le couple Soukayna/Azar est justement là pour le comparer avec celui de Bouchra/Ahmed...En plus, y a un fil entre les deux histoires, vous le saurez à la fin (rires)...Et puis mafkhbarekch que les deux se sont reconciliés durant leurs dialogues avant la venue de leur voisine? (rires). Arrêtes de sauter les pages yalkassoula (sourire)...

Je t'envoie un bisou sur ta joue yal'bijou (rires)

Citation
lella-assma a écrit:
HIHIHIIH YAOUUU
trop bien ewwaaa ils vont se dire quoii

j'aime bien leur réconciliation a eux deux

la souiiiittte a médame

3addada, dahaktini comme toujours....

Ils se sont reconciliés oui mais tu sais bien qu'il y a d'autres incidents qui n'ont pas été éclairci donc il y aura d'autres confrontations dans mes suites prochaines....(rires)...

Bonne journée Assmatouna

Ahmed qui se propose comme intermédiaire, négociateur, pour réconcilier le couple.

Essayer de sauver ce qui reste? Avant que les rouages de la justice ne se mettent en marche?

On verra bien par la suite....

Citation
ghaliya bent sidi a écrit:
hummmm du nouveau
merciiiiiiii matrix c'est chouette, ça pimenté l'histoire.... on s'affronte au monde cruel de soukaina et azar et on oublie le romantisme de notre couple bouchra et ahmed. au fait azar c'est un prénom marocain??pika beau résumé très piquant bien pimenté mais tu as parfaitement raison dans ton analyse...

vivement la suite et bonne nuit

Sourire...

je te cite du Coran: Sourate Al'An3ame (les bestiaux) (6:74)

(Rappelle le moment) où Abraham dit à Azar son père: " Prends tu des idoles comme divinités? Je te vois, toi et ton peuple, dans un égarement évident!"

Bismillahi Rahmane Arrahime: " wa idh 9ala Ibrahimou li abîhi Azara atattakhidou asnâmane ilâhatane innî arâka wa 9awmaka fi dalâline moubîne" .

Le prénom Azar se dit parfois être juif marocain comme pour Sara (féminin) mais il y a des familles musulmanes qui nomment leurs jumeaux Azar et Nizar si c'est garçons (rires) et d'où mon idée. L'époux de Soukayna diffère Ahmed et ne s'attache pas trop à la religion et donc c'était exprés l'usage de ce prénom "moderne". Pour mon héros, j'ai voulu garder du traditionnel et j'ai pensé au prénom de notre prophète Mohamed (saw). Ahmed c'est typiquement marocain...

Merci pour tes commentaires Ghaliyatouna (sourire)

P.S:Le prénom est "machkoul" dans le Coran en arabe puisqu'il y a une fat'ha sur le "r" (sourire)...Sinon c'est AZAR tout court



Modifié 1 fois. Dernière modification le 30/03/10 16:38 par Matrix Gamma.

Citation
marocainedu93 a écrit:
Salam

3la slamtek!! tu m'avais manqué ma chère Matrix Gamma..

toujours autant d'imagination et une belle plume..

merci à toi

Rires...

Allah isalmek khti...ces derniers temps, je respire un peu puisqu'avant j'écrivais sans pause mais apparemment, l'envie de le faire chaque jour n'est plus là et donc je ne m'impose rien. J'attends jusqu'à ce que mon fond me le demande avec douceur et déclenche avec intelligence mon plaisir (rires)...

Merci à toi aussi pour ton soutien et tes commentaires...ça me chauffe vraiment le coeur (sourire)...

Citation
Oum El kheir a écrit:
aaaah enfin j avais presque oublier ou on en été :p !!! j attend la suite avec impatience et te remercie de nous faire part de ton histoire salam aleyki

Grands éclats de rire...oui je te comprends...

Merci pour ton mot Oum El kheir (très beau pseudo qui dit tant) wassalam ou3alaykoum (sourire)

Citation
kinder85 a écrit:
salam bravo matrix gamma continue prend ton temps on sera toujours la pour te lire ,sa fait toujours plaisir

Rires...merci ya choklata (je t'ai déjà dit que tu me fais penser à la Kinder allemande)....ça fait aussi plaisir de te savoir me lire (sourire).

Citation
Balquiss_ a écrit:
Salam alaykoum,


Je viens de lire 40 pages... Pfffiouuuu c'etait long lol

C'est la première fois que je Post sur ce forum rien que pour te dire que j'aime beaucoup ton histoire.

C'est très beau, c'est une bouffée d'air frais sur ce forum de brute

Bonne continuation.

Morte de rire...

Tant que j'y surfe, logiquement je suis aussi une brute (rires). Welcome parmi les brutes alors et merci d'avoir visité mon p'tit salon dans ce grand cosmos...ça fait plaisir (sourire). Thanks (sourire).

Citation
Pika11 a écrit:
Ahmed qui se propose comme intermédiaire, négociateur, pour réconcilier le couple.

Essayer de sauver ce qui reste? Avant que les rouages de la justice ne se mettent en marche ?

On verra bien par la suite....

Belle expression (sourire)...

Pika,dis moi, tu vas bien?

Tu sais Matrix depuis tout à l'heure (enfin pas si longtemps que ça) je te regarde faire, la patience que tu as et surtout les mots que tu places pour chaque intervenant c'est vraiment tout à ton honneur.

Non seulement tu écris une histoire, mais en plus tu veilles sur les lecteurs qui signalent leur présence : chapeau! Pas d'autres mots.

Ca va el hamdoulillah. Continues à nous transporter à travers ton histoire. Merci je ne te l'ai jamais dis je crois, mais merci.

Citation
Pika11 a écrit:
Tu sais Matrix depuis tout à l'heure (enfin pas si longtemps que ça) je te regarde faire, la patience que tu as et surtout les mots que tu places pour chaque intervenant c'est vraiment tout à ton honneur.

Non seulement tu écris une histoire, mais en plus tu veilles sur les lecteurs qui signalent leur présence : chapeau! Pas d'autres mots.

Ca va el hamdoulillah. Continues à nous transporter à travers ton histoire. Merci je ne te l'ai jamais dis je crois, mais merci.

Pika, tu as peut être remarqué que je ne t'ai pas taquiné ce jour avec le surnom que je te donne. Tu sais pourquoi? Parce que j'ai cru que tu n'allais pas bien ou peut être que ta mine n'était pas si ok, chose que je n'ai pas aimé...ça se reflète vite sur mon langage. Oui t'as laissé ton empreinte comme d'habitude mais je me sentais un peu mal...je me faisais des soucis sur ton compte et d'où ma question. J'espère que tu vas bien comme tu dis. Tu n'as pas besoin de me dire quoi que ce soit mais juste m'assurer que t'es vraiment OK...

Et puis Pika, je n'attends pas ton merci. Tu sais pourquoi? Car je connais ton caractère (rires). Tu n'es pas le genre qui le dit toujours. Ta présence, ta fidèlité au poste et tes smiyles disaient tant pour moi (sourire). Donc gardes ton naturel. J'apprécie. Ce n'est pas la douceur, laklame lahlou et les choukrane qui me font flipper mais bien plus: la simplicité et surtout l'authenticité outre autre chose que je garde pour moi (clin d'oeil)...

P.S: T'es sérieuse aujourd'hui et c'est encore un signe que ma Pikotchino ressent un p'tit malaise quelque part (sourire)....

Bonne soirée la mamamiya...je suis plus ou moins tranquille après ta réponse (sourire).

salam

matrix je viens chez toi te faire un petit coucou et un grand .

continue a etre comme tu es et thallay.

a bientot nchallah.