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ou est Allah
f
31 mars 2011 14:30
Citation
alkahina a écrit:
Ah quel dommage que l'imam Ali n'ait pas pu terminer sa phrase, à mois qu'il fût censuré !
L'imam Ali dit :"Toute interrogation, Lui fixant un lieu ou une forme est une négation de Dieu."
je me permets de prolonger, corriger ou peut-être tout simplement réécrire la partie censuré de la phrase d'Ali. Je n'en suis pas sûr, mais quand-même cela vaut le coup, car cela va dans le sens que je me fais de dieu. Donc voilà:
"Toute interrogation, lui fixant un lieu ou une forme, une parole, est une négation de dieu"
Je pense que là beaucoup seront d'accord avec moi !
Pour ce qui est de la Qaaba, ilm ne faut pas qu'elle était déjà un lieu de prière, pour des non musulmans ! Cest ce que l'on raconte. Je n'en suis pas sûr non plus, mais comme elle existait déjà avant l'islam, il y a de fortes chances que ce soit vrai, un peu comme l'idée du croissant que l'on voit sur pas mal de minaret !

dis donc tu pourrais etre chiite toi en changeant les hadith comme sa...
f
31 mars 2011 15:21
Assalam alaikoum

Cette parole, qu’elle soit de l’Imâm Ali ou non,
"Toute interrogation, Lui fixant un lieu ou une forme est une négation de Dieu."
reste vraie en son contenu, dans le sens qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu, car ceci serait Le limiter, et Le limiter serait Le nier.
Et quand le Coran désigne Dieu par l’élévation, dans le ciel, ou par l’istiwa, sur le trône, ou par la ma’ia, avec nous, partout où nous sommes, ou par la proximité, plus proche de nous que notre veine jugulaire, ce n’est pas pour Lui fixer un lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni lieu, ou pour Lui fixer une quelconque forme ou considération, d’élévation, d’istiwa, de ma’ia, de proximité. Ces considérations Lui sont attribuées, sans que Lui-même leur soit attribué : tout en étant en elles, Il est en dehors d’elles.

Concernant la Qa’ba, on peut remarquer que quand on se trouve loin d’elle, les priants dans leur prière se dirigent vers elle selon une même direction, alors que lorsqu’on se trouve à son voisinage, les priants forment des cercles autour d’elle, selon différentes directions, dans cette situation, toutes les directions sont possibles, la référence devient le centre et non la direction, là on perd la notion de direction, comme la boussole nous indiquant la direction Nord-Sud, alors que lorsque l’on se trouve au niveau du pôle, elle perd toute notion de direction.
La Qa’ba comme édifice, a été élevé par Abraham avec l’aide de son fils Ismail, comme symbole de l’Unicité, et Abraham est connu principalement comme père de l’Unicité. Après sa mort, les choses ont peu à peu changé avec le temps, et dans la Qa’ba on a fini par installer des idoles, et à la venue du Prophète, elle fut purifiée de ces idoles (qui comptaient 365 idoles au nombre des jours de l’année), en retrouvant ainsi sa symbolique de tawhid originelle.
f
31 mars 2011 17:25
je ne dis pas que cette phrase est vraie ou fausse mais je dis que la phrase est la sans la source une phrase qui se ballade sans source ne vaux rien pour moi...FAQIR j'aimerais te demander qu'est qu'il y a au dessus du 7 eme ciel ???
et si Allah dis qu'il est au dessus du trone dans le coran pourquoi le nier???

Votre Seigneur, c’est Allâh, qui a créé les cieux et la terre en six jours, puis S’est élevé « Istiwâ » sur le Trône (sourate Al-A’râf verset 54)

la phrase est tous se qu'il y a de facile a comprendre pourquoi compliquer les chose
31 mars 2011 21:03
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Cette parole, qu’elle soit de l’Imâm Ali ou non,
"Toute interrogation, Lui fixant un lieu ou une forme est une négation de Dieu."
reste vraie en son contenu, dans le sens qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu, car ceci serait Le limiter, et Le limiter serait Le nier.
Et quand le Coran désigne Dieu par l’élévation, dans le ciel, ou par l’istiwa, sur le trône, ou par la ma’ia, avec nous, partout où nous sommes, ou par la proximité, plus proche de nous que notre veine jugulaire, ce n’est pas pour Lui fixer un lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni lieu, ou pour Lui fixer une quelconque forme ou considération, d’élévation, d’istiwa, de ma’ia, de proximité. Ces considérations Lui sont attribuées, sans que Lui-même leur soit attribué : tout en étant en elles, Il est en dehors d’elles.

Concernant la Qa’ba, on peut remarquer que quand on se trouve loin d’elle, les priants dans leur prière se dirigent vers elle selon une même direction, alors que lorsqu’on se trouve à son voisinage, les priants forment des cercles autour d’elle, selon différentes directions, dans cette situation, toutes les directions sont possibles, la référence devient le centre et non la direction, là on perd la notion de direction, comme la boussole nous indiquant la direction Nord-Sud, alors que lorsque l’on se trouve au niveau du pôle, elle perd toute notion de direction.
La Qa’ba comme édifice, a été élevé par Abraham avec l’aide de son fils Ismail, comme symbole de l’Unicité, et Abraham est connu principalement comme père de l’Unicité. Après sa mort, les choses ont peu à peu changé avec le temps, et dans la Qa’ba on a fini par installer des idoles, et à la venue du Prophète, elle fut purifiée de ces idoles (qui comptaient 365 idoles au nombre des jours de l’année), en retrouvant ainsi sa symbolique de tawhid originelle.


assalam alaikoum

hadith de la jeune esclave est pourtant clair et sahih il est contre toi.
question:
------ est ce que selon toi le messager d Allah que la paix et la benediction d Allah sois sur lui n’aurai pas du interroger la jeune esclave, Ou est Allah?
------As t-il ATTRIBUE UNE FORMEou une LIMITE a son SEIGEUR en interrogeant de cette maniere?

de meme le hadith de pelerinage d’Adieu. Est contre toi

…..Nous attestons - ont-ils répondu - que tu as transmis (le message), rempli (ta mission) et averti (les hommes). C’est alors qu’il a levé son doigt en direction du ciel pour le pointer ensuite sur la foule, tout en s’exclamant : Ô Allah ! Sois Témoin ! Il le répéta à trois reprises... »
question:
-------A-t-il eu tort d’avoir leve son doigt en direction du ciel pour le pointer ensuite sur la foule, tout en s’exclamant : Ô Allah ! Sois Témoin ?
------ pretend tu connaître mieux Allah que son messager paix et benediction d Allah sur lui ?
-------selon toi la charia d’Allah na pas place parmi nous AI-JE TORT ?

Nous aimerons avoir une reponse a ses question baraka Allahoufika akhy
f
31 mars 2011 23:14
Assalam alaikoum

On revient une autre fois au point de départ. Je n'ai pas dit qu'on ne peut poser cette question "où est Allah", et toute la discussion qu'on avait faite c'était sur cette question, mais ce que je dis, et c'est le sens de la parole attribuée à l'Imam Ali, c'est qu'on ne peut poser une telle question dans le but de fixer un quelconque lieu à Dieu, car ce serait Le limiter, et Dieu est au-delà de toute limitation. Alors, sommes-nous d’accord sur le fait qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu ?
Si on est d’accord sur ceci, et je crois que personne ne peut le contredire, alors la désignation du Coran et du Hadith de Dieu dans le ciel ne serait pas une désignation propre de lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni rien, et on est d’accord qu’on ne peut fixer de lieu ou de forme à Dieu. Aussi, désigner Dieu dans le ciel ne signifie pas une quelconque limitation, tout en étant dans le ciel, et dans toute chose, Il est au-delà du ciel et de toute chose.
Ainsi, cette désignation dans le ciel n’est pas une désignation spécifiquement de lieu, de makâne, sans qu’elle soit de makâna, pour désigner l’élévation divine. De même pour les autres désignations, celle de l’istiwa, au-dessus du trône, celle de la proximité, de nous, celle de la ma’ia, partout avec nous, le sens de toutes ces désignations ce n’est pas fixer un lieu, ce ne sont pas des désignations spécifiquement de makâne, de lieu, même si le lieu en fait l’objet (le ciel, le trône, l’être), sans qu’elles soient pour autant de makâna, de considération, et entre toutes ces considérations attribuées à Dieu, il n’y a pas d’opposition, l’istiwa n’oppose pas la ma’ia, l’élévation n’oppose pas la proximité, Il est élevé tout en étant proche et proche tout en étant élevé.
31 mars 2011 23:52
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

On revient une autre fois au point de départ. Je n'ai pas dit qu'on ne peut poser cette question "où est Allah", et toute la discussion qu'on avait faite c'était sur cette question, mais ce que je dis, et c'est le sens de la parole attribuée à l'Imam Ali, c'est qu'on ne peut poser une telle question dans le but de fixer un quelconque lieu à Dieu, car ce serait Le limiter, et Dieu est au-delà de toute limitation. Alors, sommes-nous d’accord sur le fait qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu ?
Si on est d’accord sur ceci, et je crois que personne ne peut le contredire, alors la désignation du Coran et du Hadith de Dieu dans le ciel ne serait pas une désignation propre de lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni rien, et on est d’accord qu’on ne peut fixer de lieu ou de forme à Dieu. Aussi, désigner Dieu dans le ciel ne signifie pas une quelconque limitation, tout en étant dans le ciel, et dans toute chose, Il est au-delà du ciel et de toute chose.
Ainsi, cette désignation dans le ciel n’est pas une désignation spécifiquement de lieu, de makâne, sans qu’elle soit de makâna, pour désigner l’élévation divine. De même pour les autres désignations, celle de l’istiwa, au-dessus du trône, celle de la proximité, de nous, celle de la ma’ia, partout avec nous, le sens de toutes ces désignations ce n’est pas fixer un lieu, ce ne sont pas des désignations spécifiquement de makâne, de lieu, même si le lieu en fait l’objet (le ciel, le trône, l’être), sans qu’elles soient pour autant de makâna, de considération, et entre toutes ces considérations attribuées à Dieu, il n’y a pas d’opposition, l’istiwa n’oppose pas la ma’ia, l’élévation n’oppose pas la proximité, Il est élevé tout en étant proche et proche tout en étant élevé.

ON TE DEMANDE DE REPONDRE Aux QUESTION NON PAS DE FUIRE Les QUESTION.
repondre aux question clairement , est ce si difficile pour toi d'y repondre.
S.T.P repond. baraka Allahoufik



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/04/11 00:00 par rosiles.
f
1 avril 2011 00:06
Assalam alaikoum

Citation
faqir
Assalam alaikoum

On revient une autre fois au point de départ. Je n'ai pas dit qu'on ne peut poser cette question "où est Allah", et toute la discussion qu'on avait faite c'était sur cette question, mais ce que je dis, et c'est le sens de la parole attribuée à l'Imam Ali, c'est qu'on ne peut poser une telle question dans le but de fixer un quelconque lieu à Dieu, car ce serait Le limiter, et Dieu est au-delà de toute limitation. Alors, sommes-nous d’accord sur le fait qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu ?
Si on est d’accord sur ceci, et je crois que personne ne peut le contredire, alors la désignation du Coran et du Hadith de Dieu dans le ciel ne serait pas une désignation propre de lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni rien, et on est d’accord qu’on ne peut fixer de lieu ou de forme à Dieu. Aussi, désigner Dieu dans le ciel ne signifie pas une quelconque limitation, tout en étant dans le ciel, et dans toute chose, Il est au-delà du ciel et de toute chose.
Ainsi, cette désignation dans le ciel n’est pas une désignation spécifiquement de lieu, de makâne, sans qu’elle soit de makâna, pour désigner l’élévation divine. De même pour les autres désignations, celle de l’istiwa, au-dessus du trône, celle de la proximité, de nous, celle de la ma’ia, partout avec nous, le sens de toutes ces désignations ce n’est pas fixer un lieu, ce ne sont pas des désignations spécifiquement de makâne, de lieu, même si le lieu en fait l’objet (le ciel, le trône, l’être), sans qu’elles soient pour autant de makâna, de considération, et entre toutes ces considérations attribuées à Dieu, il n’y a pas d’opposition, l’istiwa n’oppose pas la ma’ia, l’élévation n’oppose pas la proximité, Il est élevé tout en étant proche et proche tout en étant élevé.

Citation r
osiles
ON TE DEMANDE DE REPONDRE Aux QUESTION NON PAS DE FUIRE Les QUESTION.
repondre aux question clairement , est ce si difficile pour toi d'y repondre.
S.T.P repond. baraka Allahoufik





Quelles questions? Les questions exigeant une réponse, j'y ai répondu, et je ne vais pas répéter, tu n'as qu'à relire mon intervention, tu y trouveras les réponses. Par contre c'est toi qui n'a pas répondu à ma question.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/04/11 00:16 par faqir.
f
1 avril 2011 13:26
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

On revient une autre fois au point de départ. Je n'ai pas dit qu'on ne peut poser cette question "où est Allah", et toute la discussion qu'on avait faite c'était sur cette question, mais ce que je dis, et c'est le sens de la parole attribuée à l'Imam Ali, c'est qu'on ne peut poser une telle question dans le but de fixer un quelconque lieu à Dieu, car ce serait Le limiter, et Dieu est au-delà de toute limitation. Alors, sommes-nous d’accord sur le fait qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu ?
Si on est d’accord sur ceci, et je crois que personne ne peut le contredire, alors la désignation du Coran et du Hadith de Dieu dans le ciel ne serait pas une désignation propre de lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni rien, et on est d’accord qu’on ne peut fixer de lieu ou de forme à Dieu. Aussi, désigner Dieu dans le ciel ne signifie pas une quelconque limitation, tout en étant dans le ciel, et dans toute chose, Il est au-delà du ciel et de toute chose.
Ainsi, cette désignation dans le ciel n’est pas une désignation spécifiquement de lieu, de makâne, sans qu’elle soit de makâna, pour désigner l’élévation divine. De même pour les autres désignations, celle de l’istiwa, au-dessus du trône, celle de la proximité, de nous, celle de la ma’ia, partout avec nous, le sens de toutes ces désignations ce n’est pas fixer un lieu, ce ne sont pas des désignations spécifiquement de makâne, de lieu, même si le lieu en fait l’objet (le ciel, le trône, l’être), sans qu’elles soient pour autant de makâna, de considération, et entre toutes ces considérations attribuées à Dieu, il n’y a pas d’opposition, l’istiwa n’oppose pas la ma’ia, l’élévation n’oppose pas la proximité, Il est élevé tout en étant proche et proche tout en étant élevé.


Assalam alaikoum

Je vais essayer de m’expliquer plus.
Dans le Coran et la Sunna, il y a désignation du Divin, par l’istiwa, sur le trône, par l’élévation, dans le ciel, par la ma’ia, avec nous, par la proximité, de nous.
Si on considère par exemple la désignation par l’istiwa, cet istiwa est attribué à Dieu (de Dieu), et non au lieu (en fait, c’est le lieu, représenté ici par le trône, qui est attribué à l’istiwa, lieu de l’istiwa), et donc cette désignation n’est pas une désignation de lieu, de makâne, mais de considération, de makâna, qui est l’istiwa. Cet istiwa, cette considération, son sujet c’est Dieu, et son objet c’est le trône, c.à.d. la création, c’est l’istiwa de Dieu par rapport à Sa création.
De même, pour la désignation du Divin dans le ciel, c’est une désignation de considération, celle de l’élévation, dans le ciel , au-dessus de nous et de toute chose. De même pour les désignations par la ma’ia, par la proximité, ce sont des désignations de considération ayant pour objet l’être, par rapport à l’être, par rapport à nous. Ainsi, chaque lieu, chaque chose est une désignation d'une considération divine. Le trône est une désignation de l'istiwa divin par rapport à la création, le ciel est une désignation de l'élévation divine par rapport à nous et à toute chose, nous-mêmes, nous sommes une désignation de la ma'ia et de la proximité divine.
Ces considérations ont une réalité, l'istiwa est réel, il a toute sa considération et toute son implication par rapport à la création, de même la ma'ia est réelle, elle a toute sa considération et toute son implication par rapport à nous.
Pour résumer, la question "Où est Allah ?" est une question non de makâne, non de lieu, mais de makâna, de considération. Et la réponse : "sur le trône, dans le ciel, avec nous, proche de nous, en notre cœur, en toute chose, au-dessus de toute chose, partout, au-delà de tout" est une réponse ne concernant pas le makâne, mais la makâna, dont la réalité franchissant le makâne (l'espace) et le zamâne (le temps) et dépassant leur notion limitée.



Modifié 3 fois. Dernière modification le 01/04/11 19:44 par faqir.
1 avril 2011 20:55
Citation
faqir a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Je vais essayer de m’expliquer plus.
Dans le Coran et la Sunna, il y a désignation du Divin, par l’istiwa, sur le trône, par l’élévation, dans le ciel, par la ma’ia, avec nous, par la proximité, de nous.
Si on considère par exemple la désignation par l’istiwa, cet istiwa est attribué à Dieu (de Dieu), et non au lieu (en fait, c’est le lieu, représenté ici par le trône, qui est attribué à l’istiwa, lieu de l’istiwa), et donc cette désignation n’est pas une désignation de lieu, de makâne, mais de considération, de makâna, qui est l’istiwa. Cet istiwa, cette considération, son sujet c’est Dieu, et son objet c’est le trône, c.à.d. la création, c’est l’istiwa de Dieu par rapport à Sa création.
De même, pour la désignation du Divin dans le ciel, c’est une désignation de considération, celle de l’élévation, dans le ciel , au-dessus de nous et de toute chose. De même pour les désignations par la ma’ia, par la proximité, ce sont des désignations de considération ayant pour objet l’être, par rapport à l’être, par rapport à nous. Ainsi, chaque lieu, chaque chose est une désignation d'une considération divine. Le trône est une désignation de l'istiwa divin par rapport à la création, le ciel est une désignation de l'élévation divine par rapport à nous et à toute chose, nous-mêmes, nous sommes une désignation de la ma'ia et de la proximité divine.
Ces considérations ont une réalité, l'istiwa est réel, il a toute sa considération et toute son implication par rapport à la création, de même la ma'ia est réelle, elle a toute sa considération et toute son implication par rapport à nous.
Pour résumer, la question "Où est Allah ?" est une question non de makâne, non de lieu, mais de makâna, de considération. Et la réponse : "sur le trône, dans le ciel, avec nous, proche de nous, en notre cœur, en toute chose, au-dessus de toute chose, partout, au-delà de tout" est une réponse ne concernant pas le makâne, mais la makâna, dont la réalité franchissant le makâne (l'espace) et le zamâne (le temps) et dépassant leur notion limitée.

walaikoum salam.

dit : Est-ce que cette explication existait ou était il connu par les tout premier génération ?
f
1 avril 2011 21:37
Assalam alaikoum

Si cette explication n'est pas connue à la lettre de cette façon, mais dans son sens, oui ; on comprenait implicitement que toutes ces désignations de Dieu, sur le trône, dans le ciel, avec nous, ne sont pas de lieu, car Dieu ne peut être attribué à un lieu. Alors, je te pose la question, puisque tu as l’air d’être en objection vis-à-vis de cette explication, est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/04/11 21:40 par faqir.
f
1 avril 2011 23:00
Assalam alaikoum

Je sais que ce genre de questions ne devraient pas être posées, car tous nous croyons que Dieu ne peut être attribué à un lieu, et si on pose la question "Où est Allah ?", ce n’est pas dans le but de Lui fixer un lieu.
Tous nous sommes d’accord sur le fait que ces désignations du Divin, telles sont mentionnées dans le Coran et dans la Sunna, sont faites par rapport à un lieu, par rapport à un support : trône, ciel, nous-mêmes, sans qu’elles soient pour autant des désignations de lieu. C’est ça l’essentiel. Après, on peut essayer de donner un sens à ces désignations, qui tout en étant faites par rapport à un lieu, ne sont pas des désignations de lieu, ne sont pas des désignations de makâne, et là on peut parler de makâna, de considération, où le makâne joue le rôle de support (madhhar) de la makâna, le trône, ainsi la création, comme support de l’istiwa, le ciel comme support de l’élévation, l’être comme support de la ma’ia et de la proximité.
X
1 avril 2011 23:14
La question est juste de savoir s'il y a, au dessus des cieux, un Seigneur qui est adoré.
Le langage des philosophes, ce n'est pas le langage des Compagnons ni celui du Prophète (saws).
f
2 avril 2011 12:38
Assalam alaikoum

Les désignations peuvent différer et le désigné est un. Aussi, notre Seigneur adoré est au-dessus des cieux et de toute chose, comme Il est plus près de nous que notre veine jugulaire, avec nous, partout où que nous soyons. Le désigner par l’élévation c’est Le désigner par la proximité, et Le désigner par la proximité c'est Le désigner par l'élévation. Le désigner par rapport aux cieux; au-dessus des cieux, c'est Le désigner par rapport à la veine jugulaire; plus près que notre veine jugulaire.Toute désignation - au-dessus des cieux et de toute chose, en toute chose, avec nous, partout, au-delà de tout - Le désigne, sans pour autant Le contenir ou Le cerner.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 02/04/11 13:37 par faqir.
3 avril 2011 15:58
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

1- Si cette explication n'est pas connue à la lettre de cette façon, mais dans son sens, oui ; on comprenait implicitement que toutes ces désignations de Dieu, sur le trône, dans le ciel, avec nous, ne sont pas de lieu, car Dieu ne peut être attribué à un lieu. Alors, je te pose la question, puisque tu as l’air d’être en objection vis-à-vis de cette explication, 2- est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?

Donc tu reconnais que le kalam auquel tu te refere etait inconnu a l’epoque des sahaba. il ne peu y existe une approche dans la connaissance d Allah en dehors de ce que les sahaba nous ont léguer.ils ont vécu la révélation, et connaissait ce qui convient a Allah mieux que n’importe qui d’entre nous. Celui qui prétend le contraire est un menteur.

Dar Al Hijra dit clairement : Ce qui n'était pas une religion à l'époque (de la révélation) ne peut pas être une religion aujourd'hui

Cheikh albany rahimahullah disait:
il est impossible qu'il existe un bien que le Messager –que la prière et le salut d'Allah soient sur lui– ignorait.

Nous avons connu tout le bien par le biais du Messager –que la prière et le salut d'Allah soient sur lui– et il n’y a pas de divergence sur cela. Quant à moi, je crois que celui qui doute à ce sujet n'est pas musulman. Et parmi les hadiths du Messager d'Allah qui soutiennent ces propos, Sa parole –que la prière et le salut d'Allah soient sur lui–
: {Je n'ai pas laissé une chose qui vous rapproche d'Allah sans vous l’avoir ordonnée.}

Les sahaba nous a depasse dans tout les domaine.donc n’essaye pas de te ridiculise en nous faisant croire ce : (n'est pas connue à la lettre de cette façon, mais dans son sens, oui) c’est faux, honte a toi. Tu mens. Je te defie de nous apporter la preuve. Le kalam a été islamise par tes anciens,
- Si le kalam aurai été un bien, l’islam l’aurai ete le1er a la légiférer.

Tu es un soufi , tes référence son le cheikh Al Alawii, Cheikh Al Bouzidi ibn Arabi Al Hallaj ect,,, ou on trouve dans leur ouvrage.
La théorie de Wahdat al-Wujûd (Unicité de l'Être) Croyance soufisme
Certain soufi croient qu’Allah S’est installé dans chacune de ses créatures,
Leur chef Ibn Arabi qui est enterré à Damas a composé ces vers :

Le serviteur est Seigneur, et le Seigneur est serviteur
Que je désire connaître qui est le redevable
Si je dis: c'est le serviteur, ce sera la vérité
Et si je dis le Seigneur, pourquoi devrai-je être redevable?


Ce kalam te pousse a spéculer sur Allah.sans crainte comme tes ancien.. Jahm IBN Safwan un de fondateur de la sectes jahmite avait le meme approche que toi,qui fut exécute par les salafs les sectes acharia, mouatazila, chiaa, soufi, et les ahbache ont heriter de lui .
Il n y a pas de doute que tu manipule bien le kalam. Pleine d’ ambiguïté. Et il n y a pas de doute aussi que C’est le bidaa en personne

l'imam Malik ibn Anas qui a dit :
Celui qui innove une chose en islam (note bien qu'il dit une seule innovation et pas de nombreuses d'innovations) et la voit bonne, alors il a prétendu que Muhammad –que la prière et le salut d'Allah soient sur lui– a trahi le message.
3 avril 2011 16:46
Citation
rosiles a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Si cette explication n'est pas connue à la lettre de cette façon, mais dans son sens, oui ; on comprenait implicitement que toutes ces désignations de Dieu, sur le trône, dans le ciel, avec nous, ne sont pas de lieu, car Dieu ne peut être attribué à un lieu. Alors, je te pose la question, puisque tu as l’air d’être en objection vis-à-vis de cette explication, 2- est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?


walaikoum salam
Quant a ta question : est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?
Je suis dessole, je pensais que tu nous a compris, avec tout les sujet qui a ete poste.
L’Imam Ahmed qu’Allah Ta’ala l’agrée a dit : « On ne qualifie pas Allah sauf avec ce quoi Il S’est qualifié, ou l’a qualifié Son Messager, paix sur Lui….On ne va pas au-delà du Coran, du Hadith….. »

Mouhammad bnou Sâlah al-Outheimin rahimahullah
Règle : on doit affirmer ce qu’Allah a affirmé pour lui-même, nier ce qu’il a nier pour lui-même, et s’arrêter là où il n’y a pas d’affirmation et de négation à moins que la description de comporte une déficience avéré auquel cas elle doit être nié.

où il n’y a pas d’affirmation et de négation
on doit s’arrêté tant qu’elle ne comporte pas de déficience pur. Si elle comporte une déficience manifeste alors on doit la rejeter même s’il n’y a pas de texte que le nie.

incha Allah je posterai ici, l’explication du cheikh a ce sujet, tres interessant.

Ahlou souna jamaa ne pose pas ce genre de question . seul les gens du kalam s’y aventure. Déjà c’est une preuve contre toi ca démontre clairement que tu ne suis pas la voie des salafs.. si tu apporte la preuve du coran et de la souna. Qui confirme la (désignations de lieu, ou qui renie que ce n’est pas une designations de lieu) Je te donnerais sans aucun doute la reponse. Tu as toute une vie pour nous apporter un verset. pour qu'on puisse répondre.

Le kitab et la souna ne la pas confirmer ni infirmer, Allahouwalam. Dans ce cas la voie d’ahlou souna wajamaa,adopte la regles cite plus haut. Donc je ne la démens pas et je ne l’affirme pas
----je suis un nécessite dans la science. J’adopte la position des savants qui ont désamorcé ce genre de choubouhat
tout dépend ce qu’on veux entendre par désignation d’un lieu. Il me semble que tu ignore la subtilité de ta question. Ca ne s’apprend pas dans le kalam.
Je laisserai la place a cheikh al islam ibn Tayimia répondra a ca, et cheikh Outhaimine rahimahullah je la posterai incha Allah. Des que possible.

je me contente de la voie des salaf comme bcp d’intervenant dans cette poste c’est plus simple plus sur. Nous nous arrêtons la ou les salaf ce sont arreter,
la voie des salaf non pas du kalam. Ibn tayimia a dit : Les anciens ne s’aventuraient pas à dire qu’Allah était ou n’était pas dans une direction. Ils se contentaient d’établir qu’Il était établi sur Son Trône, au-dessus de la création, conformément aux textes qui pullulent dans ce sens. Si on comprend de leur discours qu’ils cautionnaient la « direction », c’est uniquement dans la mesure où ils n’allaient pas renier les textes pour faire plaisir aux négateurs ou pour échapper au piège des termes ambigus……

Le kalam , peu mener a l’incroyance. alkahina est un fervent du kalam mouatazilite. Regarde ou il est, il est devenue l’ennemie de l’islam.
Quant a toi tu tourne en rond en cherchant une explication la ou les salaf se sont tus. Contredisant ainsi leur voie
Qu’ Allah ouvre tes yeux.

dans le lien suivant pour celui qui veux savoir, le doute qui rongeait les cœurs des savant du kalam.
• Abû el Ma’âli el Juhaïnî (m. 478 h.),
l’un des plus grands experts du Kalâm, s’est exclamé un jour devant ses disciples : « Mes amis ! Ne vous intéressez pas au Kalâm, si j’avais su un jour qu’il allait me faire devenir ce que je suis devenu aujourd’hui, je n’y aurais jamais touché. » Il a dit également : « Si je pouvais revenir en arrière, je ne toucherais jamais au Kalâm….. voir ce lien :
[www.yabiladi.com]

Allahouwalam
Qu’ Allah nous préserve du kalam amin
f
3 avril 2011 22:08
Citation
faqir a écrit:
Citation
rosiles a écrit:
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum

Si cette explication n'est pas connue à la lettre de cette façon, mais dans son sens, oui ; on comprenait implicitement que toutes ces désignations de Dieu, sur le trône, dans le ciel, avec nous, ne sont pas de lieu, car Dieu ne peut être attribué à un lieu. Alors, je te pose la question, puisque tu as l’air d’être en objection vis-à-vis de cette explication, 2- est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?


walaikoum salam
Quant a ta question : est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?
Je suis dessole, je pensais que tu nous a compris, avec tout les sujet qui a ete poste.
L’Imam Ahmed qu’Allah Ta’ala l’agrée a dit : « On ne qualifie pas Allah sauf avec ce quoi Il S’est qualifié, ou l’a qualifié Son Messager, paix sur Lui….On ne va pas au-delà du Coran, du Hadith….. »

Mouhammad bnou Sâlah al-Outheimin rahimahullah
Règle : on doit affirmer ce qu’Allah a affirmé pour lui-même, nier ce qu’il a nier pour lui-même, et s’arrêter là où il n’y a pas d’affirmation et de négation à moins que la description de comporte une déficience avéré auquel cas elle doit être nié.

où il n’y a pas d’affirmation et de négation
on doit s’arrêté tant qu’elle ne comporte pas de déficience pur. Si elle comporte une déficience manifeste alors on doit la rejeter même s’il n’y a pas de texte que le nie.

incha Allah je posterai ici, l’explication du cheikh a ce sujet, tres interessant.

Ahlou souna jamaa ne pose pas ce genre de question . seul les gens du kalam s’y aventure. Déjà c’est une preuve contre toi ca démontre clairement que tu ne suis pas la voie des salafs.. si tu apporte la preuve du coran et de la souna. Qui confirme la (désignations de lieu, ou qui renie que ce n’est pas une designations de lieu) Je te donnerais sans aucun doute la reponse. Tu as toute une vie pour nous apporter un verset. pour qu'on puisse répondre.

Le kitab et la souna ne la pas confirmer ni infirmer, Allahouwalam. Dans ce cas la voie d’ahlou souna wajamaa,adopte la regles cite plus haut. Donc je ne la démens pas et je ne l’affirme pas
----je suis un nécessite dans la science. J’adopte la position des savants qui ont désamorcé ce genre de choubouhat
tout dépend ce qu’on veux entendre par désignation d’un lieu. Il me semble que tu ignore la subtilité de ta question. Ca ne s’apprend pas dans le kalam.
Je laisserai la place a cheikh al islam ibn Tayimia répondra a ca, et cheikh Outhaimine rahimahullah je la posterai incha Allah. Des que possible.

je me contente de la voie des salaf comme bcp d’intervenant dans cette poste c’est plus simple plus sur. Nous nous arrêtons la ou les salaf ce sont arreter,
la voie des salaf non pas du kalam. Ibn tayimia a dit : Les anciens ne s’aventuraient pas à dire qu’Allah était ou n’était pas dans une direction. Ils se contentaient d’établir qu’Il était établi sur Son Trône, au-dessus de la création, conformément aux textes qui pullulent dans ce sens. Si on comprend de leur discours qu’ils cautionnaient la « direction », c’est uniquement dans la mesure où ils n’allaient pas renier les textes pour faire plaisir aux négateurs ou pour échapper au piège des termes ambigus……

Le kalam , peu mener a l’incroyance. alkahina est un fervent du kalam mouatazilite. Regarde ou il est, il est devenue l’ennemie de l’islam.
Quant a toi tu tourne en rond en cherchant une explication la ou les salaf se sont tus. Contredisant ainsi leur voie
Qu’ Allah ouvre tes yeux.

dans le lien suivant pour celui qui veux savoir, le doute qui rongeait les cœurs des savant du kalam.
• Abû el Ma’âli el Juhaïnî (m. 478 h.),
l’un des plus grands experts du Kalâm, s’est exclamé un jour devant ses disciples : « Mes amis ! Ne vous intéressez pas au Kalâm, si j’avais su un jour qu’il allait me faire devenir ce que je suis devenu aujourd’hui, je n’y aurais jamais touché. » Il a dit également : « Si je pouvais revenir en arrière, je ne toucherais jamais au Kalâm….. voir ce lien :
[www.yabiladi.com]

Allahouwalam
Qu’ Allah nous préserve du kalam amin


Assalam alaikoum

Je reconnais que ce genre de questions, telle : "ces désignations sont-elles des désignations de lieu ?", ne devraient pas être posées, et ceci je l’avais souligné dans le message qui suit le message où j'avais posé cette question, qui donc pour moi a été retirée.
Dans ces désignations avec lesquelles Dieu s’est désigné, on remarque qu’elles se font par rapport à un lieu, par rapport à un makâne, c’est une chose qu’on doit affirmer dans la mesure où Dieu l'a affirmé pour Lui-même. C’est comme si Dieu s’attribue pour Lui un makâne, une direction, en tant que makâne, en tant que direction, qui Lui sont attribués, sans que Lui leur soit attribué, car ceci serait une déficience qu’il faudrait nier, comme le stipule la règle mentionnée.
Ainsi, le makâne, le lieu fait partie de ces désignations, toutefois il y a aussi la makâna, la considération qui en fait partie, et entre le makâne et la makâna il y a une correspondance. Par exemple, quand Dieu s’est désigné par l’istiwa sur le trône, le trône, ainsi la création, est le makâne, l’isiwa est la makâna, c’est l’istiwa divin par rapport à la création. Quand Dieu s’est désigné dans le ciel, la makâna correspondant à ce makâne, qui est le ciel, c’est l’élévation divine. Quand Dieu s’est désigné avec nous, où que nous soyons, ou plus près de nous, que notre veine jugulaire, le makâne ou la direction ici c’est l’être (nous), et la makâna, dont fait objet l’être, c’est la ma’ia, de même la proximité divine.
Aussi, on peut dire qu’il y a le makâne et la makâna, le makâne étant l’objet de la makâna, et la makâna l’objet de la désignation ; c’est une désignation de la makâna ayant le makâne comme objet et comme direction. Ainsi, quand on désigne Dieu par l’istiwa sur le trône, on comprend que la création toute entière fait objet de cette makâna, qui est l’istiwa divin. Quand on désigne Dieu dans le ciel, on comprend que toute chose fait objet de cette makâna, qui est l’élévation divine, au-dessus de toute chose. Quand on désigne Dieu avec nous où que nous soyons, ou plus près de nous que notre veine jugulaire, on comprend que nous faisons objet de cette makâna, qui est la ma’ia divine, de même la proximité divine, c’est à travers nous qu’elles se manifestent.
Ainsi on peut dire que Dieu s'est attribué Son trône, et donc Sa création, comme support de manifestation de l'istiwa divin, le ciel comme support de manifestation de l'élévation divine, l'être comme support de manifestation de la ma'ia et de la proximité divine, en d'autres termes, de la présence divine.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 03/04/11 22:54 par faqir.
3 avril 2011 23:58
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faqir a écrit:

Assalam alaikoum

Je reconnais que ce genre de questions, telle : "ces désignations sont-elles des désignations de lieu ?", ne devraient pas être posées, et ceci je l’avais souligné dans le message qui suit le message où j'avais posé cette question, qui donc pour moi a été retirée.
Dans ces désignations avec lesquelles Dieu s’est désigné, on remarque qu’elles se font par rapport à un lieu, par rapport à un makâne, c’est une chose qu’on doit affirmer dans la mesure où Dieu l'a affirmé pour Lui-même. C’est comme si Dieu s’attribue pour Lui un makâne, une direction, en tant que makâne, en tant que direction, qui Lui sont attribués, sans que Lui leur soit attribué, car ceci serait une déficience qu’il faudrait nier, comme le stipule la règle mentionnée.
Ainsi, le makâne, le lieu fait partie de ces désignations, toutefois il y a aussi la makâna, la considération qui en fait partie, et entre le makâne et la makâna il y a une correspondance. Par exemple, quand Dieu s’est désigné par l’istiwa sur le trône, le trône, ainsi la création, est le makâne, l’isiwa est la makâna, c’est l’istiwa divin par rapport à la création. Quand Dieu s’est désigné dans le ciel, la makâna correspondant à ce makâne, qui est le ciel, c’est l’élévation divine. Quand Dieu s’est désigné avec nous, où que nous soyons, ou plus près de nous, que notre veine jugulaire, le makâne ou la direction ici c’est l’être (nous), et la makâna, dont fait objet l’être, c’est la ma’ia, de même la proximité divine.
Aussi, on peut dire qu’il y a le makâne et la makâna, le makâne étant l’objet de la makâna, et la makâna l’objet de la désignation ; c’est une désignation de la makâna ayant le makâne comme objet et comme direction. Ainsi, quand on désigne Dieu par l’istiwa sur le trône, on comprend que la création toute entière fait objet de cette makâna, qui est l’istiwa divin. Quand on désigne Dieu dans le ciel, on comprend que toute chose fait objet de cette makâna, qui est l’élévation divine, au-dessus de toute chose. Quand on désigne Dieu avec nous où que nous soyons, ou plus près de nous que notre veine jugulaire, on comprend que nous faisons objet de cette makâna, qui est la ma’ia divine, de même la proximité divine, c’est à travers nous qu’elles se manifestent.
Ainsi on peut dire que Dieu s'est attribué Son trône, et donc Sa création, comme support de manifestation de l'istiwa divin, le ciel comme support de manifestation de l'élévation divine, l'être comme support de manifestation de la ma'ia et de la proximité divine, en d'autres termes, de la présence divine.


walaikoum salam,

wallah tu complique trop une croyance qui est pourtant tres simple akhy, j'ai vraiment peur pour toi,

un conseil:
un musulmans choisi toujours ce qui est plus simple pour lui, il n y a pas plus simple et plus sur que minhaj des salafs . délaisse ce circuit infinie, akhy, sinon il te détruira. wallah c'est un approche ténébreux , ce n'est pas notre voie,ce n'est pas ta voie,tu le sais tres bien. si ça aurai été un bien, l'islam l'aurai légiféré. ce n'est pas parce que tu a admiration pour une personne que tu doit lui suivre dans son égarement, non. la balance est le coran et la souna, et avoir une maitrise d'une langue n'ai pas une preuve de la bonne guidance. que ce soit l'arabe ou autre. bcp des gens non pas l'arabe , et qui suis la voie des salafs et il le connait très bien, mieux que certain qui ont l'arabe. mais avoir l'arabe en plus d’être sur la voie des salafs c'est le top. c'est qu'on nous demande Allah ta donne certain dons, ne la gache pas dans le kalam.

--- je posterai quant meme demain ou ce soir les propos des savant incha Allah,
qui sera tres benefique pour ceux qui suis la voie des salaf, et il sera une barrière contre les choubouhat incha Allah
car le cheikh al islam: désamorce les ambiguïté sur les 4 terme: La jiha, le makân, le haïyiz, et le hadd
f
4 avril 2011 01:43
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rosiles a écrit:
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faqir a écrit:

Assalam alaikoum

Je reconnais que ce genre de questions, telle : "ces désignations sont-elles des désignations de lieu ?", ne devraient pas être posées, et ceci je l’avais souligné dans le message qui suit le message où j'avais posé cette question, qui donc pour moi a été retirée.
Dans ces désignations avec lesquelles Dieu s’est désigné, on remarque qu’elles se font par rapport à un lieu, par rapport à un makâne, c’est une chose qu’on doit affirmer dans la mesure où Dieu l'a affirmé pour Lui-même. C’est comme si Dieu s’attribue pour Lui un makâne, une direction, en tant que makâne, en tant que direction, qui Lui sont attribués, sans que Lui leur soit attribué, car ceci serait une déficience qu’il faudrait nier, comme le stipule la règle mentionnée.
Ainsi, le makâne, le lieu fait partie de ces désignations, toutefois il y a aussi la makâna, la considération qui en fait partie, et entre le makâne et la makâna il y a une correspondance. Par exemple, quand Dieu s’est désigné par l’istiwa sur le trône, le trône, ainsi la création, est le makâne, l’isiwa est la makâna, c’est l’istiwa divin par rapport à la création. Quand Dieu s’est désigné dans le ciel, la makâna correspondant à ce makâne, qui est le ciel, c’est l’élévation divine. Quand Dieu s’est désigné avec nous, où que nous soyons, ou plus près de nous, que notre veine jugulaire, le makâne ou la direction ici c’est l’être (nous), et la makâna, dont fait objet l’être, c’est la ma’ia, de même la proximité divine.
Aussi, on peut dire qu’il y a le makâne et la makâna, le makâne étant l’objet de la makâna, et la makâna l’objet de la désignation ; c’est une désignation de la makâna ayant le makâne comme objet et comme direction. Ainsi, quand on désigne Dieu par l’istiwa sur le trône, on comprend que la création toute entière fait objet de cette makâna, qui est l’istiwa divin. Quand on désigne Dieu dans le ciel, on comprend que toute chose fait objet de cette makâna, qui est l’élévation divine, au-dessus de toute chose. Quand on désigne Dieu avec nous où que nous soyons, ou plus près de nous que notre veine jugulaire, on comprend que nous faisons objet de cette makâna, qui est la ma’ia divine, de même la proximité divine, c’est à travers nous qu’elles se manifestent.
Ainsi on peut dire que Dieu s'est attribué Son trône, et donc Sa création, comme support de manifestation de l'istiwa divin, le ciel comme support de manifestation de l'élévation divine, l'être comme support de manifestation de la ma'ia et de la proximité divine, en d'autres termes, de la présence divine.


walaikoum salam,

wallah tu complique trop une croyance qui est pourtant tres simple akhy, j'ai vraiment peur pour toi,

un conseil:
un musulmans choisi toujours ce qui est plus simple pour lui, il n y a pas plus simple et plus sur que minhaj des salafs . délaisse ce circuit infinie, akhy, sinon il te détruira. wallah c'est un approche ténébreux , ce n'est pas notre voie,ce n'est pas ta voie,tu le sais tres bien. si ça aurai été un bien, l'islam l'aurai légiféré. ce n'est pas parce que tu a admiration pour une personne que tu doit lui suivre dans son égarement, non. la balance est le coran et la souna, et avoir une maitrise d'une langue n'ai pas une preuve de la bonne guidance. que ce soit l'arabe ou autre. bcp des gens non pas l'arabe , et qui suis la voie des salafs et il le connait très bien, mieux que certain qui ont l'arabe. mais avoir l'arabe en plus d’être sur la voie des salafs c'est le top. c'est qu'on nous demande Allah ta donne certain dons, ne la gache pas dans le kalam.

--- je posterai quant meme demain ou ce soir les propos des savant incha Allah,
qui sera tres benefique pour ceux qui suis la voie des salaf, et il sera une barrière contre les choubouhat incha Allah
car le cheikh al islam: désamorce les ambiguïté sur les 4 terme: La jiha, le makân, le haïyiz, et le hadd


Assalam alaikoum

Akhy, ma croyance est très simple, et même je n'aime pas les complications de ahl al-kalâm, et ce que je dis ici est très simple et très clair, si tu essaies de le comprendre, et ce n'est pas le résultat d'un suivi de quiconque, seulement ce que je dis ici, peut-être pour toi que c'est un langage nouveau, qui ne se réfère pas à la lettre au langage utilisé par les anciens, soit des fuqahas ou des ahl al-kalam, mais il va dans le même sens, car comme j'avais dit, l'expression peut différer, mais l'exprimé est un, et on n'est pas obligé de nous figer sur un même langage, tant que notre référence c'est le Coran et la Sunna. Mais ceci ne veut pas dire qu'on n'a pas besoin de ce qu'ont dit les anciens, et si tu as quelque chose d'utile à ce propos, il est le bien venu.
f
4 avril 2011 13:26
Citation
faqir a écrit:

Assalam alaikoum

Je reconnais que ce genre de questions, telle : "ces désignations sont-elles des désignations de lieu ?", ne devraient pas être posées, et ceci je l’avais souligné dans le message qui suit le message où j'avais posé cette question, qui donc pour moi a été retirée.
Dans ces désignations avec lesquelles Dieu s’est désigné, on remarque qu’elles se font par rapport à un lieu, par rapport à un makâne, c’est une chose qu’on doit affirmer dans la mesure où Dieu l'a affirmé pour Lui-même. C’est comme si Dieu s’attribue pour Lui un makâne, une direction, en tant que makâne, en tant que direction, qui Lui sont attribués, sans que Lui leur soit attribué, car ceci serait une déficience qu’il faudrait nier, comme le stipule la règle mentionnée.
Ainsi, le makâne, le lieu fait partie de ces désignations, toutefois il y a aussi la makâna, la considération qui en fait partie, et entre le makâne et la makâna il y a une correspondance. Par exemple, quand Dieu s’est désigné par l’istiwa sur le trône, le trône, ainsi la création, est le makâne, l’isiwa est la makâna, c’est l’istiwa divin par rapport à la création. Quand Dieu s’est désigné dans le ciel, la makâna correspondant à ce makâne, qui est le ciel, c’est l’élévation divine. Quand Dieu s’est désigné avec nous, où que nous soyons, ou plus près de nous, que notre veine jugulaire, le makâne ou la direction ici c’est l’être (nous), et la makâna, dont fait objet l’être, c’est la ma’ia, de même la proximité divine.
Aussi, on peut dire qu’il y a le makâne et la makâna, le makâne étant l’objet de la makâna, et la makâna l’objet de la désignation ; c’est une désignation de la makâna ayant le makâne comme objet et comme direction. Ainsi, quand on désigne Dieu par l’istiwa sur le trône, on comprend que la création toute entière fait objet de cette makâna, qui est l’istiwa divin. Quand on désigne Dieu dans le ciel, on comprend que toute chose fait objet de cette makâna, qui est l’élévation divine, au-dessus de toute chose. Quand on désigne Dieu avec nous où que nous soyons, ou plus près de nous que notre veine jugulaire, on comprend que nous faisons objet de cette makâna, qui est la ma’ia divine, de même la proximité divine, c’est à travers nous qu’elles se manifestent.
Ainsi on peut dire que Dieu s'est attribué Son trône, et donc Sa création, comme support de manifestation de l'istiwa divin, le ciel comme support de manifestation de l'élévation divine, l'être comme support de manifestation de la ma'ia et de la proximité divine, en d'autres termes, de la présence divine.



Assalam alaikoum

Je voudrais ajouter, suite à ce qui a été dit auparavant, que dans ces désignations, Dieu s’est attribué un lieu (makâne) ou un support de la considération (makâna) divine (le trône, ainsi la création, comme support de l’istiwa divin, le ciel comme support de l’élévation divine, l’être comme support de la ma’ia et de la proximité divine), et c’est par l’intermédiaire de cette considération que s’exprime cette attribution, aussi l’on peut dire que la considération exprime l’attribution.
Par exemple, l’istiwa divin sur le trône, et donc sur la création, exprime l’attribution et l’appartenance totale de cette création à Dieu, comme l’exprime ces versets :
« La royauté des cieux et de la terre Lui appartient. Il fait vivre et Il fait mourir, Il est puissant sur toute chose. Il est la Premier et le Dernier. Celui qui est apparent et Celui qui est caché. Il connaît parfaitement toute chose. C’est Lui qui a crée les cieux et la terre en six jours. Il s’est ensuite établi en majesté sur le trône. Il connaît ce qui pénètre dans la terre et ce qui en sort ; ce qui descend du ciel et ce qui y monte. »
Dieu connait les innombrables éléments qui entrent et qui sortent de la terre, Il a le contrôle total de tout ce qui se réalise, rien ne se fait sans Son ordre et Son décret.
4 avril 2011 16:28
mouhammad bnou Sâlah al-Outheimin


les pages en arabes :
[membres.lycos.fr]
[membres.lycos.fr]
[membres.lycos.fr]
[membres.lycos.fr]

Traduction:
Citation:


Règle : on doit affirmer ce qu’Allah a affirmé pour lui-même, nier ce qu’il a nier pour lui-même, et s’arrêter là où il n’y a pas d’affirmation et de négation à moins que la description de comporte une déficience avéré auquel cas elle doit être nié.

Donc notre croyance se divise en trois parties :

1) affirmer ce qu’Allah a affirmé pour lui-même.
2) nier ce qu’il a nier pour lui-même
3) s’arrêter là où il n’y a pas d’affirmation et de négation à moins que la description de comporte une déficience avéré auquel cas elle doit être nié.

A) Affirmer ce qu’il a affirmé pour lui-même
Comme par exemple la vie, la science, la puissance, l’ouie, la vue, le visage, les yeux, la main, le pied, les doigts etc…

nier ce qu’il a nier pour lui-même
comme l’injustice, l’ignorance, la distraction, l’oublie etc…

C) où il n’y a pas d’affirmation et de négation
on doit s’arrêté tant qu’elle ne comporte pas de déficience pur. Si elle comporte une déficience manifeste alors on doit la rejeter même s’il n’y a pas de texte que le nie.

Exemple de ce qui n’a pas été affirmé et infirmé et qui n’est pas une déficience pur :

« Le corps » (Jism)

Si quelqu’un nous dit : « est ce que Allah est un corps ?»

La réponse sera : « Nous ne disons pas que c’est un corps »

Observez bien la formulation !

Entre l’expression « il n’est pas un corps » et l’expression « Nous ne disons pas que c’est un corps » , laquelle des deux formulations est correcte ?

C’est la deuxième formulation qui est correcte : c’est à dire : « Nous ne disons pas que c’est un corps ». Parce que si tu dis : « il n’est pas un corp » tu as alors nié qu’il est un corps. Mais si tu dis « Nous ne disons pas que c’est un corps » tu as alors rejeté la parole : « il est un corps » . Il y a une différence entre les deux négations.

Le premier : « il n’est pas un corps » est un avis qui nie l’attribut « corps » à Allah, or nous n’avons pas de science là dessus.

Le deuxième : « Nous ne disons pas que c’est un corps » est une négation de la parole (le terme) qui affirme l’attribut parce que nous n’avons pas de science dessus. Donc, le « corps » nous ne l’affirmons pas et nous ne l’infirmons pas. Pourquoi ? Parce qu’Allah ne l’a pas affirmé pour lui-même et ne l’a pas nié. Comme il ne l’a ni nié ni affirmé nous n’avons pas à nous en occuper ! Nous nous arrêtons là où s’arrête le texte.

Mais nous demandons à la personne le sens qu’elle vise par « corps ». Pour ce qui est du terme nous ne l’utilisons pas (nous nous arrêtons) mais pour ce qui est du sens nous interrogeons : « que veux-tu dire par « corps » ?».

Si par corps tu vise une entité indépendante possédant des qualités qui lui sont propres : il s’élève, il vient, il descend, il se réjoui, il se met en colère et il agrée, et bien nous y croyons !

Mais si par corps tu vise une entité composée de parties dépendantes les unes des autres capable de se détacher au même titre que les corps des créatures, alors ceci est faux.



« La direction »

Idem pour la direction : est-ce qu’Allah est dans une direction ?

Nous répondons : Nous n’employons pas le terme, nous nous arrêtons au texte !

Quant au sens, nous demandons les détails : que veux -tu signifier par « direction » ?

Si par « Allah est dans une direction » tu veus dire qu’il est enfermé dans l’espace temps, alors sache que ceci est impossible et faux.

Si tu veux dire par-là qu’il est en bas et mélangé à sa création, alors ceci est faux également. Allah ta’ala n’est pas dans la direction du bas et n’est pas enveloppé par l’espace- temps.

Mais si tu veut dire qu’il est dans une direction élevée nihiliste qui ne l’enveloppe pas, Il n’y a qu’Allah, et bien alors ceci est vrai.

Le prophète sallallahou ‘alayhi wa sallam est celui des créatures qui connaît le mieux Allah ‘azza wa jall. Il a demandé à la servante : « Où est Allah ?» Elle a répondu : « aux cieux (Fî samâ)». Il l’a interrogé au moyen du terme « Où » qui s’utilise pour interroger sur un lieu.. Elle a répondu avec le terme « Fî » qui introduit un circonstanciel de lieu. Mais ce circonstanciel de lieu est nihiliste. Je veux dire par-là qu’il n’enveloppe pas Allah. Il n’y a au dessus de la création qu’Allah seul. […]

Nous ne disons donc pas de manière absolu qu’Allah est , ou n’est pas, dans une direction. Il faut d’abord étayer les choses selon le découpage précédent.

« Le cloisonnement »

Idem pour le « cloisonnement » (Hayyiz), nous ne prononçons pas le terme et nous demandons le sens à celui qui le cite :

Si tu veux signifier qu’Allah est dans un espace qui l’enveloppe, le cloisonne, alors ceci est impossible est faux car aucune de ses créature ne peut l’envelopper.

Mais si tu veux dire par là qu’il est séparé de sa création et non pas mélangé avec elle et que elle n’est pas dissoute en lui, et bien alors ceci est vrai.

Exemple de ce qui n’a pas été affirmé et infirmé, et qui est une déficience pur :

Nous avons dis dans le (3) : « s’arrêter là où il n’y a pas d’affirmation et de négation à moins que la description de comporte une déficience avéré auquel cas elle doit être nié. »


« les intestins »

Comme par exemple lorsque quelqu’un te demande : « Est-ce qu’Allah a des intestin ? »

Nous répondons : « Non ! Parce que les intestins servent seulement à ceux qui mangent. Allah nourrit ses créatures, et personne ne le nourrit, et il ne mange pas. »

Il se peut qu’une personne dise : « Il y a un Dalîl dans le Coran qui prouve qu’Allah n’a pas d’intestin. C’est le mot « Samad » ! »

« l’appareil génital »

Mais si une personne nous demande : « Est-ce qu’Allah possède un appareil génital ? ». Nous demandons à Allah de nous préserver, parce que les négateurs se précipitent sur les gens de la Sounnah avec des exemples semblables à celui-ci.

Nous répondons alors : « Non ! car seul ceux qui ont besoin d’enfanter possèdent cette chose. Allah ‘azza wa jall « n’enfante point et n’a pas été enfanté et rien ne lui ressemble ».

Une négation comporte une affirmation implicite :

Nous avions dit que la parole de l ‘auteur : « notre croyance c’est l’affirmation » était incomplète car notre croyance est l’affirmation, la négation et l’arrêt.

Mais en ce qui concerne la négation, est-ce une négation pur ?

Réponse : Non ! Les attributs d’Allah qui sont niés renferment l’affirmation d’un [contraire] parfait (complet). Et nous devons croire qu’il renferme un [contraire] parfait. En effet, le but de cette négation est d’affirmer la perfection de son contraire.

Allah ne lèse personne : « Allah ne lèse aucun homme » [younous 44] parce qu’il est juste. Cette négation est évoquée afin d’affirmer la perfection de son contraire.

Chez l’homme il peut y avoir de la justice, mais il y a aussi de l’injustice. On dira : untel est juste mais sur cette affaire il à commis une injustice. L’injustice n’est pas complètement absente. Mais Allah est totalement exempt d’injustice, parce que sa justice est complète (parfaite). Il est impossible de lui attribuer une injustice, que se soit sur un petit nombres ou un grand nombres de choses.

Il est donc exempt d’injustice en raison de sa justice parfaite.

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