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alkahina a écrit:
Ah quel dommage que l'imam Ali n'ait pas pu terminer sa phrase, à mois qu'il fût censuré !
L'imam Ali dit :"Toute interrogation, Lui fixant un lieu ou une forme est une négation de Dieu."
je me permets de prolonger, corriger ou peut-être tout simplement réécrire la partie censuré de la phrase d'Ali. Je n'en suis pas sûr, mais quand-même cela vaut le coup, car cela va dans le sens que je me fais de dieu. Donc voilà:
"Toute interrogation, lui fixant un lieu ou une forme, une parole, est une négation de dieu"
Je pense que là beaucoup seront d'accord avec moi !
Pour ce qui est de la Qaaba, ilm ne faut pas qu'elle était déjà un lieu de prière, pour des non musulmans ! Cest ce que l'on raconte. Je n'en suis pas sûr non plus, mais comme elle existait déjà avant l'islam, il y a de fortes chances que ce soit vrai, un peu comme l'idée du croissant que l'on voit sur pas mal de minaret !
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Cette parole, qu’elle soit de l’Imâm Ali ou non,
"Toute interrogation, Lui fixant un lieu ou une forme est une négation de Dieu."
reste vraie en son contenu, dans le sens qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu, car ceci serait Le limiter, et Le limiter serait Le nier.
Et quand le Coran désigne Dieu par l’élévation, dans le ciel, ou par l’istiwa, sur le trône, ou par la ma’ia, avec nous, partout où nous sommes, ou par la proximité, plus proche de nous que notre veine jugulaire, ce n’est pas pour Lui fixer un lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni lieu, ou pour Lui fixer une quelconque forme ou considération, d’élévation, d’istiwa, de ma’ia, de proximité. Ces considérations Lui sont attribuées, sans que Lui-même leur soit attribué : tout en étant en elles, Il est en dehors d’elles.
Concernant la Qa’ba, on peut remarquer que quand on se trouve loin d’elle, les priants dans leur prière se dirigent vers elle selon une même direction, alors que lorsqu’on se trouve à son voisinage, les priants forment des cercles autour d’elle, selon différentes directions, dans cette situation, toutes les directions sont possibles, la référence devient le centre et non la direction, là on perd la notion de direction, comme la boussole nous indiquant la direction Nord-Sud, alors que lorsque l’on se trouve au niveau du pôle, elle perd toute notion de direction.
La Qa’ba comme édifice, a été élevé par Abraham avec l’aide de son fils Ismail, comme symbole de l’Unicité, et Abraham est connu principalement comme père de l’Unicité. Après sa mort, les choses ont peu à peu changé avec le temps, et dans la Qa’ba on a fini par installer des idoles, et à la venue du Prophète, elle fut purifiée de ces idoles (qui comptaient 365 idoles au nombre des jours de l’année), en retrouvant ainsi sa symbolique de tawhid originelle.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
On revient une autre fois au point de départ. Je n'ai pas dit qu'on ne peut poser cette question "où est Allah", et toute la discussion qu'on avait faite c'était sur cette question, mais ce que je dis, et c'est le sens de la parole attribuée à l'Imam Ali, c'est qu'on ne peut poser une telle question dans le but de fixer un quelconque lieu à Dieu, car ce serait Le limiter, et Dieu est au-delà de toute limitation. Alors, sommes-nous d’accord sur le fait qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu ?
Si on est d’accord sur ceci, et je crois que personne ne peut le contredire, alors la désignation du Coran et du Hadith de Dieu dans le ciel ne serait pas une désignation propre de lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni rien, et on est d’accord qu’on ne peut fixer de lieu ou de forme à Dieu. Aussi, désigner Dieu dans le ciel ne signifie pas une quelconque limitation, tout en étant dans le ciel, et dans toute chose, Il est au-delà du ciel et de toute chose.
Ainsi, cette désignation dans le ciel n’est pas une désignation spécifiquement de lieu, de makâne, sans qu’elle soit de makâna, pour désigner l’élévation divine. De même pour les autres désignations, celle de l’istiwa, au-dessus du trône, celle de la proximité, de nous, celle de la ma’ia, partout avec nous, le sens de toutes ces désignations ce n’est pas fixer un lieu, ce ne sont pas des désignations spécifiquement de makâne, de lieu, même si le lieu en fait l’objet (le ciel, le trône, l’être), sans qu’elles soient pour autant de makâna, de considération, et entre toutes ces considérations attribuées à Dieu, il n’y a pas d’opposition, l’istiwa n’oppose pas la ma’ia, l’élévation n’oppose pas la proximité, Il est élevé tout en étant proche et proche tout en étant élevé.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
On revient une autre fois au point de départ. Je n'ai pas dit qu'on ne peut poser cette question "où est Allah", et toute la discussion qu'on avait faite c'était sur cette question, mais ce que je dis, et c'est le sens de la parole attribuée à l'Imam Ali, c'est qu'on ne peut poser une telle question dans le but de fixer un quelconque lieu à Dieu, car ce serait Le limiter, et Dieu est au-delà de toute limitation. Alors, sommes-nous d’accord sur le fait qu’on ne peut fixer un lieu ou une forme à Dieu ?
Si on est d’accord sur ceci, et je crois que personne ne peut le contredire, alors la désignation du Coran et du Hadith de Dieu dans le ciel ne serait pas une désignation propre de lieu, car rien ne peut Le contenir, ni ciel ni trône ni rien, et on est d’accord qu’on ne peut fixer de lieu ou de forme à Dieu. Aussi, désigner Dieu dans le ciel ne signifie pas une quelconque limitation, tout en étant dans le ciel, et dans toute chose, Il est au-delà du ciel et de toute chose.
Ainsi, cette désignation dans le ciel n’est pas une désignation spécifiquement de lieu, de makâne, sans qu’elle soit de makâna, pour désigner l’élévation divine. De même pour les autres désignations, celle de l’istiwa, au-dessus du trône, celle de la proximité, de nous, celle de la ma’ia, partout avec nous, le sens de toutes ces désignations ce n’est pas fixer un lieu, ce ne sont pas des désignations spécifiquement de makâne, de lieu, même si le lieu en fait l’objet (le ciel, le trône, l’être), sans qu’elles soient pour autant de makâna, de considération, et entre toutes ces considérations attribuées à Dieu, il n’y a pas d’opposition, l’istiwa n’oppose pas la ma’ia, l’élévation n’oppose pas la proximité, Il est élevé tout en étant proche et proche tout en étant élevé.
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faqir a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je vais essayer de m’expliquer plus.
Dans le Coran et la Sunna, il y a désignation du Divin, par l’istiwa, sur le trône, par l’élévation, dans le ciel, par la ma’ia, avec nous, par la proximité, de nous.
Si on considère par exemple la désignation par l’istiwa, cet istiwa est attribué à Dieu (de Dieu), et non au lieu (en fait, c’est le lieu, représenté ici par le trône, qui est attribué à l’istiwa, lieu de l’istiwa), et donc cette désignation n’est pas une désignation de lieu, de makâne, mais de considération, de makâna, qui est l’istiwa. Cet istiwa, cette considération, son sujet c’est Dieu, et son objet c’est le trône, c.à.d. la création, c’est l’istiwa de Dieu par rapport à Sa création.
De même, pour la désignation du Divin dans le ciel, c’est une désignation de considération, celle de l’élévation, dans le ciel , au-dessus de nous et de toute chose. De même pour les désignations par la ma’ia, par la proximité, ce sont des désignations de considération ayant pour objet l’être, par rapport à l’être, par rapport à nous. Ainsi, chaque lieu, chaque chose est une désignation d'une considération divine. Le trône est une désignation de l'istiwa divin par rapport à la création, le ciel est une désignation de l'élévation divine par rapport à nous et à toute chose, nous-mêmes, nous sommes une désignation de la ma'ia et de la proximité divine.
Ces considérations ont une réalité, l'istiwa est réel, il a toute sa considération et toute son implication par rapport à la création, de même la ma'ia est réelle, elle a toute sa considération et toute son implication par rapport à nous.
Pour résumer, la question "Où est Allah ?" est une question non de makâne, non de lieu, mais de makâna, de considération. Et la réponse : "sur le trône, dans le ciel, avec nous, proche de nous, en notre cœur, en toute chose, au-dessus de toute chose, partout, au-delà de tout" est une réponse ne concernant pas le makâne, mais la makâna, dont la réalité franchissant le makâne (l'espace) et le zamâne (le temps) et dépassant leur notion limitée.
walaikoum salam.
dit : Est-ce que cette explication existait ou était il connu par les tout premier génération ?
Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
1- Si cette explication n'est pas connue à la lettre de cette façon, mais dans son sens, oui ; on comprenait implicitement que toutes ces désignations de Dieu, sur le trône, dans le ciel, avec nous, ne sont pas de lieu, car Dieu ne peut être attribué à un lieu. Alors, je te pose la question, puisque tu as l’air d’être en objection vis-à-vis de cette explication, 2- est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?
Citation
rosiles a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Si cette explication n'est pas connue à la lettre de cette façon, mais dans son sens, oui ; on comprenait implicitement que toutes ces désignations de Dieu, sur le trône, dans le ciel, avec nous, ne sont pas de lieu, car Dieu ne peut être attribué à un lieu. Alors, je te pose la question, puisque tu as l’air d’être en objection vis-à-vis de cette explication, 2- est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?
walaikoum salam
Quant a ta question : est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?
Je suis dessole, je pensais que tu nous a compris, avec tout les sujet qui a ete poste.
L’Imam Ahmed qu’Allah Ta’ala l’agrée a dit : « On ne qualifie pas Allah sauf avec ce quoi Il S’est qualifié, ou l’a qualifié Son Messager, paix sur Lui….On ne va pas au-delà du Coran, du Hadith….. »
Mouhammad bnou Sâlah al-Outheimin rahimahullah
Règle : on doit affirmer ce qu’Allah a affirmé pour lui-même, nier ce qu’il a nier pour lui-même, et s’arrêter là où il n’y a pas d’affirmation et de négation à moins que la description de comporte une déficience avéré auquel cas elle doit être nié.
où il n’y a pas d’affirmation et de négation
on doit s’arrêté tant qu’elle ne comporte pas de déficience pur. Si elle comporte une déficience manifeste alors on doit la rejeter même s’il n’y a pas de texte que le nie.
incha Allah je posterai ici, l’explication du cheikh a ce sujet, tres interessant.
Ahlou souna jamaa ne pose pas ce genre de question . seul les gens du kalam s’y aventure. Déjà c’est une preuve contre toi ca démontre clairement que tu ne suis pas la voie des salafs.. si tu apporte la preuve du coran et de la souna. Qui confirme la (désignations de lieu, ou qui renie que ce n’est pas une designations de lieu) Je te donnerais sans aucun doute la reponse. Tu as toute une vie pour nous apporter un verset. pour qu'on puisse répondre.
Le kitab et la souna ne la pas confirmer ni infirmer, Allahouwalam. Dans ce cas la voie d’ahlou souna wajamaa,adopte la regles cite plus haut. Donc je ne la démens pas et je ne l’affirme pas
----je suis un nécessite dans la science. J’adopte la position des savants qui ont désamorcé ce genre de choubouhat
tout dépend ce qu’on veux entendre par désignation d’un lieu. Il me semble que tu ignore la subtilité de ta question. Ca ne s’apprend pas dans le kalam.
Je laisserai la place a cheikh al islam ibn Tayimia répondra a ca, et cheikh Outhaimine rahimahullah je la posterai incha Allah. Des que possible.
je me contente de la voie des salaf comme bcp d’intervenant dans cette poste c’est plus simple plus sur. Nous nous arrêtons la ou les salaf ce sont arreter,
la voie des salaf non pas du kalam. Ibn tayimia a dit : Les anciens ne s’aventuraient pas à dire qu’Allah était ou n’était pas dans une direction. Ils se contentaient d’établir qu’Il était établi sur Son Trône, au-dessus de la création, conformément aux textes qui pullulent dans ce sens. Si on comprend de leur discours qu’ils cautionnaient la « direction », c’est uniquement dans la mesure où ils n’allaient pas renier les textes pour faire plaisir aux négateurs ou pour échapper au piège des termes ambigus……
Le kalam , peu mener a l’incroyance. alkahina est un fervent du kalam mouatazilite. Regarde ou il est, il est devenue l’ennemie de l’islam.
Quant a toi tu tourne en rond en cherchant une explication la ou les salaf se sont tus. Contredisant ainsi leur voie
Qu’ Allah ouvre tes yeux.
dans le lien suivant pour celui qui veux savoir, le doute qui rongeait les cœurs des savant du kalam.
• Abû el Ma’âli el Juhaïnî (m. 478 h.),
l’un des plus grands experts du Kalâm, s’est exclamé un jour devant ses disciples : « Mes amis ! Ne vous intéressez pas au Kalâm, si j’avais su un jour qu’il allait me faire devenir ce que je suis devenu aujourd’hui, je n’y aurais jamais touché. » Il a dit également : « Si je pouvais revenir en arrière, je ne toucherais jamais au Kalâm….. voir ce lien :
[www.yabiladi.com]
Allahouwalam
Qu’ Allah nous préserve du kalam amin
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faqir a écrit:Citation
rosiles a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Si cette explication n'est pas connue à la lettre de cette façon, mais dans son sens, oui ; on comprenait implicitement que toutes ces désignations de Dieu, sur le trône, dans le ciel, avec nous, ne sont pas de lieu, car Dieu ne peut être attribué à un lieu. Alors, je te pose la question, puisque tu as l’air d’être en objection vis-à-vis de cette explication, 2- est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?
walaikoum salam
Quant a ta question : est-ce que selon toi, ces désignations sont pour Dieu des désignations de lieu ?
Je suis dessole, je pensais que tu nous a compris, avec tout les sujet qui a ete poste.
L’Imam Ahmed qu’Allah Ta’ala l’agrée a dit : « On ne qualifie pas Allah sauf avec ce quoi Il S’est qualifié, ou l’a qualifié Son Messager, paix sur Lui….On ne va pas au-delà du Coran, du Hadith….. »
Mouhammad bnou Sâlah al-Outheimin rahimahullah
Règle : on doit affirmer ce qu’Allah a affirmé pour lui-même, nier ce qu’il a nier pour lui-même, et s’arrêter là où il n’y a pas d’affirmation et de négation à moins que la description de comporte une déficience avéré auquel cas elle doit être nié.
où il n’y a pas d’affirmation et de négation
on doit s’arrêté tant qu’elle ne comporte pas de déficience pur. Si elle comporte une déficience manifeste alors on doit la rejeter même s’il n’y a pas de texte que le nie.
incha Allah je posterai ici, l’explication du cheikh a ce sujet, tres interessant.
Ahlou souna jamaa ne pose pas ce genre de question . seul les gens du kalam s’y aventure. Déjà c’est une preuve contre toi ca démontre clairement que tu ne suis pas la voie des salafs.. si tu apporte la preuve du coran et de la souna. Qui confirme la (désignations de lieu, ou qui renie que ce n’est pas une designations de lieu) Je te donnerais sans aucun doute la reponse. Tu as toute une vie pour nous apporter un verset. pour qu'on puisse répondre.
Le kitab et la souna ne la pas confirmer ni infirmer, Allahouwalam. Dans ce cas la voie d’ahlou souna wajamaa,adopte la regles cite plus haut. Donc je ne la démens pas et je ne l’affirme pas
----je suis un nécessite dans la science. J’adopte la position des savants qui ont désamorcé ce genre de choubouhat
tout dépend ce qu’on veux entendre par désignation d’un lieu. Il me semble que tu ignore la subtilité de ta question. Ca ne s’apprend pas dans le kalam.
Je laisserai la place a cheikh al islam ibn Tayimia répondra a ca, et cheikh Outhaimine rahimahullah je la posterai incha Allah. Des que possible.
je me contente de la voie des salaf comme bcp d’intervenant dans cette poste c’est plus simple plus sur. Nous nous arrêtons la ou les salaf ce sont arreter,
la voie des salaf non pas du kalam. Ibn tayimia a dit : Les anciens ne s’aventuraient pas à dire qu’Allah était ou n’était pas dans une direction. Ils se contentaient d’établir qu’Il était établi sur Son Trône, au-dessus de la création, conformément aux textes qui pullulent dans ce sens. Si on comprend de leur discours qu’ils cautionnaient la « direction », c’est uniquement dans la mesure où ils n’allaient pas renier les textes pour faire plaisir aux négateurs ou pour échapper au piège des termes ambigus……
Le kalam , peu mener a l’incroyance. alkahina est un fervent du kalam mouatazilite. Regarde ou il est, il est devenue l’ennemie de l’islam.
Quant a toi tu tourne en rond en cherchant une explication la ou les salaf se sont tus. Contredisant ainsi leur voie
Qu’ Allah ouvre tes yeux.
dans le lien suivant pour celui qui veux savoir, le doute qui rongeait les cœurs des savant du kalam.
• Abû el Ma’âli el Juhaïnî (m. 478 h.),
l’un des plus grands experts du Kalâm, s’est exclamé un jour devant ses disciples : « Mes amis ! Ne vous intéressez pas au Kalâm, si j’avais su un jour qu’il allait me faire devenir ce que je suis devenu aujourd’hui, je n’y aurais jamais touché. » Il a dit également : « Si je pouvais revenir en arrière, je ne toucherais jamais au Kalâm….. voir ce lien :
[www.yabiladi.com]
Allahouwalam
Qu’ Allah nous préserve du kalam amin
Assalam alaikoum
Je reconnais que ce genre de questions, telle : "ces désignations sont-elles des désignations de lieu ?", ne devraient pas être posées, et ceci je l’avais souligné dans le message qui suit le message où j'avais posé cette question, qui donc pour moi a été retirée.
Dans ces désignations avec lesquelles Dieu s’est désigné, on remarque qu’elles se font par rapport à un lieu, par rapport à un makâne, c’est une chose qu’on doit affirmer dans la mesure où Dieu l'a affirmé pour Lui-même. C’est comme si Dieu s’attribue pour Lui un makâne, une direction, en tant que makâne, en tant que direction, qui Lui sont attribués, sans que Lui leur soit attribué, car ceci serait une déficience qu’il faudrait nier, comme le stipule la règle mentionnée.
Ainsi, le makâne, le lieu fait partie de ces désignations, toutefois il y a aussi la makâna, la considération qui en fait partie, et entre le makâne et la makâna il y a une correspondance. Par exemple, quand Dieu s’est désigné par l’istiwa sur le trône, le trône, ainsi la création, est le makâne, l’isiwa est la makâna, c’est l’istiwa divin par rapport à la création. Quand Dieu s’est désigné dans le ciel, la makâna correspondant à ce makâne, qui est le ciel, c’est l’élévation divine. Quand Dieu s’est désigné avec nous, où que nous soyons, ou plus près de nous, que notre veine jugulaire, le makâne ou la direction ici c’est l’être (nous), et la makâna, dont fait objet l’être, c’est la ma’ia, de même la proximité divine.
Aussi, on peut dire qu’il y a le makâne et la makâna, le makâne étant l’objet de la makâna, et la makâna l’objet de la désignation ; c’est une désignation de la makâna ayant le makâne comme objet et comme direction. Ainsi, quand on désigne Dieu par l’istiwa sur le trône, on comprend que la création toute entière fait objet de cette makâna, qui est l’istiwa divin. Quand on désigne Dieu dans le ciel, on comprend que toute chose fait objet de cette makâna, qui est l’élévation divine, au-dessus de toute chose. Quand on désigne Dieu avec nous où que nous soyons, ou plus près de nous que notre veine jugulaire, on comprend que nous faisons objet de cette makâna, qui est la ma’ia divine, de même la proximité divine, c’est à travers nous qu’elles se manifestent.
Ainsi on peut dire que Dieu s'est attribué Son trône, et donc Sa création, comme support de manifestation de l'istiwa divin, le ciel comme support de manifestation de l'élévation divine, l'être comme support de manifestation de la ma'ia et de la proximité divine, en d'autres termes, de la présence divine.
Modifié 2 fois. Dernière modification le 03/04/11 22:54 par faqir.
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je reconnais que ce genre de questions, telle : "ces désignations sont-elles des désignations de lieu ?", ne devraient pas être posées, et ceci je l’avais souligné dans le message qui suit le message où j'avais posé cette question, qui donc pour moi a été retirée.
Dans ces désignations avec lesquelles Dieu s’est désigné, on remarque qu’elles se font par rapport à un lieu, par rapport à un makâne, c’est une chose qu’on doit affirmer dans la mesure où Dieu l'a affirmé pour Lui-même. C’est comme si Dieu s’attribue pour Lui un makâne, une direction, en tant que makâne, en tant que direction, qui Lui sont attribués, sans que Lui leur soit attribué, car ceci serait une déficience qu’il faudrait nier, comme le stipule la règle mentionnée.
Ainsi, le makâne, le lieu fait partie de ces désignations, toutefois il y a aussi la makâna, la considération qui en fait partie, et entre le makâne et la makâna il y a une correspondance. Par exemple, quand Dieu s’est désigné par l’istiwa sur le trône, le trône, ainsi la création, est le makâne, l’isiwa est la makâna, c’est l’istiwa divin par rapport à la création. Quand Dieu s’est désigné dans le ciel, la makâna correspondant à ce makâne, qui est le ciel, c’est l’élévation divine. Quand Dieu s’est désigné avec nous, où que nous soyons, ou plus près de nous, que notre veine jugulaire, le makâne ou la direction ici c’est l’être (nous), et la makâna, dont fait objet l’être, c’est la ma’ia, de même la proximité divine.
Aussi, on peut dire qu’il y a le makâne et la makâna, le makâne étant l’objet de la makâna, et la makâna l’objet de la désignation ; c’est une désignation de la makâna ayant le makâne comme objet et comme direction. Ainsi, quand on désigne Dieu par l’istiwa sur le trône, on comprend que la création toute entière fait objet de cette makâna, qui est l’istiwa divin. Quand on désigne Dieu dans le ciel, on comprend que toute chose fait objet de cette makâna, qui est l’élévation divine, au-dessus de toute chose. Quand on désigne Dieu avec nous où que nous soyons, ou plus près de nous que notre veine jugulaire, on comprend que nous faisons objet de cette makâna, qui est la ma’ia divine, de même la proximité divine, c’est à travers nous qu’elles se manifestent.
Ainsi on peut dire que Dieu s'est attribué Son trône, et donc Sa création, comme support de manifestation de l'istiwa divin, le ciel comme support de manifestation de l'élévation divine, l'être comme support de manifestation de la ma'ia et de la proximité divine, en d'autres termes, de la présence divine.
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rosiles a écrit:Citation
faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je reconnais que ce genre de questions, telle : "ces désignations sont-elles des désignations de lieu ?", ne devraient pas être posées, et ceci je l’avais souligné dans le message qui suit le message où j'avais posé cette question, qui donc pour moi a été retirée.
Dans ces désignations avec lesquelles Dieu s’est désigné, on remarque qu’elles se font par rapport à un lieu, par rapport à un makâne, c’est une chose qu’on doit affirmer dans la mesure où Dieu l'a affirmé pour Lui-même. C’est comme si Dieu s’attribue pour Lui un makâne, une direction, en tant que makâne, en tant que direction, qui Lui sont attribués, sans que Lui leur soit attribué, car ceci serait une déficience qu’il faudrait nier, comme le stipule la règle mentionnée.
Ainsi, le makâne, le lieu fait partie de ces désignations, toutefois il y a aussi la makâna, la considération qui en fait partie, et entre le makâne et la makâna il y a une correspondance. Par exemple, quand Dieu s’est désigné par l’istiwa sur le trône, le trône, ainsi la création, est le makâne, l’isiwa est la makâna, c’est l’istiwa divin par rapport à la création. Quand Dieu s’est désigné dans le ciel, la makâna correspondant à ce makâne, qui est le ciel, c’est l’élévation divine. Quand Dieu s’est désigné avec nous, où que nous soyons, ou plus près de nous, que notre veine jugulaire, le makâne ou la direction ici c’est l’être (nous), et la makâna, dont fait objet l’être, c’est la ma’ia, de même la proximité divine.
Aussi, on peut dire qu’il y a le makâne et la makâna, le makâne étant l’objet de la makâna, et la makâna l’objet de la désignation ; c’est une désignation de la makâna ayant le makâne comme objet et comme direction. Ainsi, quand on désigne Dieu par l’istiwa sur le trône, on comprend que la création toute entière fait objet de cette makâna, qui est l’istiwa divin. Quand on désigne Dieu dans le ciel, on comprend que toute chose fait objet de cette makâna, qui est l’élévation divine, au-dessus de toute chose. Quand on désigne Dieu avec nous où que nous soyons, ou plus près de nous que notre veine jugulaire, on comprend que nous faisons objet de cette makâna, qui est la ma’ia divine, de même la proximité divine, c’est à travers nous qu’elles se manifestent.
Ainsi on peut dire que Dieu s'est attribué Son trône, et donc Sa création, comme support de manifestation de l'istiwa divin, le ciel comme support de manifestation de l'élévation divine, l'être comme support de manifestation de la ma'ia et de la proximité divine, en d'autres termes, de la présence divine.
walaikoum salam,
wallah tu complique trop une croyance qui est pourtant tres simple akhy, j'ai vraiment peur pour toi,
un conseil:
un musulmans choisi toujours ce qui est plus simple pour lui, il n y a pas plus simple et plus sur que minhaj des salafs . délaisse ce circuit infinie, akhy, sinon il te détruira. wallah c'est un approche ténébreux , ce n'est pas notre voie,ce n'est pas ta voie,tu le sais tres bien. si ça aurai été un bien, l'islam l'aurai légiféré. ce n'est pas parce que tu a admiration pour une personne que tu doit lui suivre dans son égarement, non. la balance est le coran et la souna, et avoir une maitrise d'une langue n'ai pas une preuve de la bonne guidance. que ce soit l'arabe ou autre. bcp des gens non pas l'arabe , et qui suis la voie des salafs et il le connait très bien, mieux que certain qui ont l'arabe. mais avoir l'arabe en plus d’être sur la voie des salafs c'est le top. c'est qu'on nous demande Allah ta donne certain dons, ne la gache pas dans le kalam.
--- je posterai quant meme demain ou ce soir les propos des savant incha Allah,
qui sera tres benefique pour ceux qui suis la voie des salaf, et il sera une barrière contre les choubouhat incha Allah
car le cheikh al islam: désamorce les ambiguïté sur les 4 terme: La jiha, le makân, le haïyiz, et le hadd
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faqir a écrit:
Assalam alaikoum
Je reconnais que ce genre de questions, telle : "ces désignations sont-elles des désignations de lieu ?", ne devraient pas être posées, et ceci je l’avais souligné dans le message qui suit le message où j'avais posé cette question, qui donc pour moi a été retirée.
Dans ces désignations avec lesquelles Dieu s’est désigné, on remarque qu’elles se font par rapport à un lieu, par rapport à un makâne, c’est une chose qu’on doit affirmer dans la mesure où Dieu l'a affirmé pour Lui-même. C’est comme si Dieu s’attribue pour Lui un makâne, une direction, en tant que makâne, en tant que direction, qui Lui sont attribués, sans que Lui leur soit attribué, car ceci serait une déficience qu’il faudrait nier, comme le stipule la règle mentionnée.
Ainsi, le makâne, le lieu fait partie de ces désignations, toutefois il y a aussi la makâna, la considération qui en fait partie, et entre le makâne et la makâna il y a une correspondance. Par exemple, quand Dieu s’est désigné par l’istiwa sur le trône, le trône, ainsi la création, est le makâne, l’isiwa est la makâna, c’est l’istiwa divin par rapport à la création. Quand Dieu s’est désigné dans le ciel, la makâna correspondant à ce makâne, qui est le ciel, c’est l’élévation divine. Quand Dieu s’est désigné avec nous, où que nous soyons, ou plus près de nous, que notre veine jugulaire, le makâne ou la direction ici c’est l’être (nous), et la makâna, dont fait objet l’être, c’est la ma’ia, de même la proximité divine.
Aussi, on peut dire qu’il y a le makâne et la makâna, le makâne étant l’objet de la makâna, et la makâna l’objet de la désignation ; c’est une désignation de la makâna ayant le makâne comme objet et comme direction. Ainsi, quand on désigne Dieu par l’istiwa sur le trône, on comprend que la création toute entière fait objet de cette makâna, qui est l’istiwa divin. Quand on désigne Dieu dans le ciel, on comprend que toute chose fait objet de cette makâna, qui est l’élévation divine, au-dessus de toute chose. Quand on désigne Dieu avec nous où que nous soyons, ou plus près de nous que notre veine jugulaire, on comprend que nous faisons objet de cette makâna, qui est la ma’ia divine, de même la proximité divine, c’est à travers nous qu’elles se manifestent.
Ainsi on peut dire que Dieu s'est attribué Son trône, et donc Sa création, comme support de manifestation de l'istiwa divin, le ciel comme support de manifestation de l'élévation divine, l'être comme support de manifestation de la ma'ia et de la proximité divine, en d'autres termes, de la présence divine.