Depuis 2017, elle fait l’objet d’une décision de démolition non exécutée par les autorités de la ville. La maison appartenant à la famille du président algérien Abdelaziz Bouteflika n’a pas été démolie comme l’affirment certains médias. Les autorités viennent à peine de mettre en place une commission pour la préparation de cette procédure.
Pour le pouvoir algérien, la question du Sahara occidental est centrale malgré les dénégations. En témoigne des extraits du livre de Bernard Bajolet, ancien ambassadeur français en Algérie entre 2006 à 2008.
Le fils du président algérien assassiné Mohamed Boudiaf est un habitué du Maroc. Nacer, ayant vécu près de trois décennies dans le royaume, a exprimé cette semaine son intention de se présenter à l’élection présidentielle algérienne, prévue en avril 2019.
Dans un article retraçant la dégradation de l’état de santé d’Abdelaziz Bouteflika, un média proche du Front Polisario s’est posé la question dimanche sur l’identité de celui qui gouverne l’Algérie évoquant le nom du frère du président algérien. Détails.
Le député est revenu sur ses propos au sujet de la «maladie à évolution lente» du roi Mohammed VI, qu’il a tenu à nuancer.
Dans une interview accordée au magazine français Le Point, Ali Benflis, ancien Premier ministre et ex-candidat à la présidentielle algérienne, a évoqué hier les relations entre son pays et le Maroc. Il reprend presque les grandes lignes évoquées, il y a quelques semaines, par l’actuel Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal. Les responsables algériens appellent, entre autres, à un «dialogue
En prévision de sa prochaine visite à Ryad, le chef du gouvernement algérien a accordé une interview au quotidien saoudien «Achark Al Awsat». Sur le Maroc, Abdelmalek Sellal a voulu minimiser la gravité du conflit avec Rabat, préférant le résumer à de simples «points de divergences».