Le groupe demande, dans une proposition non-contraignante, de suspendre tous les programmes de coopération financés par le gouvernement andalou à Al Hoceima et Nador, en attendant la rédaction d’un rapport d’évaluation sur l’impact de ces projets sur la population.
Le séparatisme en Espagne est certes plus prononcé en Catalogne et au Pays-Basque, mais une petite formation d’extrême gauche promeut «une république de l’Andalousie». Un territoire qui intègre le nord marocain.