L’informel - cette part de l’activité économique, qui échappe au fisc et aux règles - continue d’augmenter, selon le HCP, mais beaucoup moins fortement que par le passé. Faut-il voir dans cette augmentation, les conséquences du relâchement règlementaire consenti au moment des révolutions arabes ?
Le Fonds monétaire international vient de mettre à jour son rapport sur les perspectives de l’économie mondiale. L’institution de Bretton Woods a revu à la baisse presque toutes ses prévisions de croissance en raison d’un ralentissement généralisé dans tous les pays. Mais pour le cas du Maroc, le Fonds reste moins pessimiste que les instances nationales.
Le Maroc commence à ressentir les conséquences du manque de pluies sur son économie. Dans une note sur la conjoncture de l'économie, le HCP a établi le taux de croissance du royaume au premier trimestre 2016 à 1,7% contre 5,2% une année plus tôt. Une chute qui est la conséquence de la baisse de la valeur ajoutée agricole et d'un léger repli des activités non agricoles. Selon les prévisions du HCP, les
Une nouvelle année commence et rebelote ! Les prévisions de croissances par les institutions nationales et internationales s’enchainent, parfois proches, souvent disparates. Ces dernières années, les institutions se livrent à une véritable bataille de chiffres.
La révision de la prévision de croissance du HCP a fait l’effet d’une bombe cette semaine. Alors que le Haut-Commissariat avait initialement tablé sur une croissance du PIB de 3,6% en 2016, il l’a ramené à 1,3% en raison de la faible pluviométrie et de la faible contribution de la valeur ajoutée non agricole. Et les économistes lui donnent raison.