En Israël, Charlie Biton a marqué l’histoire des années 1970 en devenant une figure des Black Panthers. D’une famille originaire du Maroc, il est décédé samedi dernier, laissant derrière lui un parcours de lutte contre le racisme et les disparités entre les juifs séfarades et ashkénazes.
Pendant que Nelson Mandela venait au Maroc pour rallier des soutiens afin de vaincre le régime de l’apartheid, le Che Guevara était invité par le Premier ministre Abdallah Ibrahim. Durant la même période, Fidel Castro prenait le petit-déjeuner avec le roi Hassan II à Rabat.
«Internet stimule le développement économique, social et politique et contribue au progrès de l'humanité dans son ensemble» en tant que «facilitateur» des autres droits, assurait un rapport délivré au Conseil des droits de l’Homme aux Nations Unies. Derrière les avancées qu'internet permet, son utilisation est parfois perçue, entre les mains de l'opposition, comme une menace pour le pouvoir en place.
La fête de la Révolution du roi et du peuple a été le fruit d’une négociation entre le Palais et des figures de la résistance. Rien n’a été oublié : du choix du jour de la célébration aux discours de Mohammed V et de Fqih Basri, tout avait fait l'objet d'un accord avant qu’il ne soit une page oubliée de l’Histoire du Maroc.
A travers «La Révolution n'a pas eu lieu» (La Croisée des Chemins, 2015), Sonia Terrab nous amène en plein cœur du printemps arabe marocain, parallèlement à une histoire d'amour prenant naissance dans un contexte historique vigoureux. Le roman débute en mars 2011, pendant la deuxième grande manifestation du 20 Février, et se prolonge jusqu’en juillet, lors des résultats du référendum de la
Quatre ans sont passés depuis la naissance officielle du Mouvement du 20 février, (r)évolution à la marocaine dans le sillage du Printemps arabe. Si plusieurs pays de la région ont changé pour plus d'instabilité, le Maroc fait figure de modèle de stabilité pour ne rien changer.