En 1975, les autorités algériennes procèdent à l’expulsion de quelques 45 000 familles marocaines d’un seul coup, le jour de l’Aïd Al Adha, fête religieuse célébrée par les musulmans du monde. Plus de quarante ans après, les plaies de ces Marocains sont restées ouvertes.
Le feuilleton de la viande putréfiée n'en fini pas. Après les accusations des citoyens marocains qui ont découvert la teinte verdâtre sur leurs ovins sacrifiés pour l'aïd al-Adha, la communication approximative de l'ONSSA, voilà le tour des vétérinaires et des pharmaciens du Maroc de s'opposer sur l'origine de ce que certains qualifient de scandale sanitaire. Détails.
Les analyses sur les carcasses et de la viande putréfiée effectuées, l’ONSSA publie un deuxième communiqué de presse mercredi pour réexpliquer la teinte verdâtre de la carcasse ou sa putréfaction, signalée par plusieurs Marocains. Cette fois, ce n’est plus «le non-respect des règles d’hygiène et des conditions de conservation» seulement, mais surtout «une contamination
Au quatrième jour de l’Aïd Al Adha célébré vendredi dernier au Maroc, la viande putrifiée découverte par certains Marocains après stockage par congélation continuent de susciter plusieurs réactions. Après les explications fournies par l’ONSSA, les plaintes des consommateurs affluent selon les associations. Détails.
Dans la matinée du 1er novembre 1973, coïncidant avec le jour de l’Aïd Al Adha au Maroc, le royaume exécutait par balle 16 opposants au régime de feu le roi Hassan II. L’exécution aura lieu à Kenitra, comme le rapporte l’ouvrage de Mohamed Louma publié en 2003 et intitulé Attaoura Al Maou’ouda (la Révolte avortée). Histoire.