Il y a dix jours le Maroc expulsait trois FEMEN. Hier, c’était au tour de deux membres d’Amnesty de subir le même sort alors que l’objet de leur visite est d’enquêter sur la situation des immigrés subsahariens vivant au royaume.
C’est une histoire pourtant courante, mais elle choque de plus en plus les défenseurs de la cause animale. Un chien dénommé Ray a subi plusieurs blessures graves sur le corps après une séance de torture. Un mouvement #JusticePourRay a été lancé sur les réseaux sociaux pour réclamer des sanctions contre les auteurs de torture sur les animaux.
L’ONG Amnesty International a publié mardi un rapport sur «l'impunité» et la «torture» au Maroc. Le document relève «173 cas de torture et autres mauvais traitements infligés à des hommes, des femmes et des mineurs par des policiers et des membres des forces de sécurité entre 2010 et 2014». L'ONG fustige une nouvelle fois la convention d'entraide judiciaire signée entre la France et le Maroc.
Des policiers allemands sont actuellement sous le coup d’une enquête pour torture sur deux refugiés, dont un marocain. Les faits se sont déroulés à Hanovre et selon les premiers éléments de l’enquête, le principal mis en cause a contraint le Marocain à manger de la viande de porc avariée.
Si certaines activités de l’AMDH sont interdites par le ministère de l’Intérieur, celles des mouvements salafistes n’ont pas du tout le même problème. Elles sont toutes autorisées qu’elles soient organisées dans les locaux d’associations ou dans la rue. Une tolérance qui intrigue.
Deux policiers ont été désarmés par le directeur général de la sûreté nationale. Ils sont soupçconnés d'avoir torturé une femme accusée de prostitution à Wlad Wjih.