Pointé du doigt par de nombreux Sahraouis, originaires des camps de Tindouf, pour violations des droits de l'Homme, le Polisario propose de «tourner la page en réparant les victimes», mais sans aborder le jugement des auteurs des exactions.
Alors qu’il est abolitionniste de fait depuis 1993, le Maroc peine à abolir la peine capitale, alors qu’institutions et ONG espèrent voir le royaume franchir ce dernier pas en votant notamment en faveur du «Moratoire sur l'application de la peine de mort» à l’Assemblée générale des Nations unies, en décembre prochain.
Des images insoutenables, une opinion publique choquée. La Corée du sud est secouée par une vidéo montrant la maltraitance subie par un migrant marocain.