Une Marocaine résidant à Malaga a été arrêtée lundi, au port de Tarifa, pour trafic de drogue. Elle transportait sur elle 1,9 kg de haschich dissimulés à l'intérieur de ses sous-vêtements.
Les poursuites judiciaires entamées en Espagne contre le commandant de la Guardia Civil à Mellila ont révélé que l’accord de réadmission entre le Maroc et l’Espagne ratifié en 2012 n’a été utilisé que deux fois. Réticences du Maroc, complexité de la procédure, obligations légales de l’Espagne, l’accord est - et devrait rester - lettre morte.
L’expulsion des migrants de Melilla vers le Maroc pourrait faire tomber quelques têtes au sein de la Guardia Civil. Ambrosio Martín Villaseñor, un colonel de la GC, devra s’expliquer devant la justice sur le retour à chaud des migrants après des assauts de juin et août sur le préside. L’affaire risque d’atteindre des proportions inattendues puisque les forces de l’ordre dénoncent
Le ministre espagnol de l'Intérieur souhaitait une réunion secrète avec son homologue marocain pour clore définitivement la page de l'incident du yacht royal controlé par une patrouille de la Guardia civil. Seulement les choses ont pris une autre tournure.
Les relations maroco-espagnoles, même si elles traversent une période de calme et d'entente cordiale, n'échappent pas à des imprévus. Arraisonner le yacht du roi Mohammed VI ne participe pas à consolider les derniers rapporchements entre les deux pays. Détails.
Un juge espagnol va enquêter sur la collaboration des forces de sécurité marocaines avec la garde civile à Melilla pour contrer l’assaut des migrants survenu le 18 juin dernier. Réclamée par trois ONG qui ont remis une vidéo mettant en cause les agents marocains et espagnols, l’enquête pourrait déboucher sur des sanctions pour mauvais traitements des migrants.