Les chercheurs d’emploi MRE de France devraient avoir du souci à se faire, si on se réfère au dernier sondage de l’Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE). Il se trouve en effet que les fils d’immigrés maghrébins auraient plus de difficulté à trouver un emploi que les «Français de souche». La discrimination apparait comme principale cause de cet état de fait.
Si l’Allemagne ouvre ses portes à plus de 7 millions d’immigrés, elle ne leur laisse que peu de chances d’accéder à la fonction publique. Samedi dernier, la chancelière Angela Merkel a exprimé son intention de mettre fin à cette discrimination.
Dans les sociétés européennes, beaucoup de gens ont tendance à croire que la religion est la principale cause de certains comportements violents, notamment parmi les jeunes musulmans. Mais en vérité, tel n’est pas le cas. D’autres facteurs sociaux en sont les réelles causes. Eclairages.
Une enquête de l'Ined (Institut National d’Etudes Démographiques) et de l'Insee (Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques) vient de mettre en lumière d’importantes réalités sur les immigrés en France. Des réalités hélas ignorées par une bonne partie de la société française.
Mohamed Mazoir, Marocain vivant à Rousset, près d’Aix-en-Provence, aurait été victime du racisme d'un médecin, alors qu'il venait pour faire examiner sa fille. Mais selon lui, l'ophtalmologue, déjà en retard sur ses consultations, les aurait finalement mis à la porte. Motif rapporté, «je ne reçois pas les sales arabes». Mohamed a porté plainte, mais des doutes ont été émis sur
Mohamed Lamouri a porté plainte pour discrimination contre la société Maximo, l'entreprise de livraison d’alimentation à domicile, où il effectuait un stage. Raison invoquée, on lui aurait conseillé de choisir un «pseudo» pour son activité qui consistait à téléphoner des clients pour leur proposer des promotions. Pour un phénomène pourtant très courant, la presse crie au
11 pays ont été scrutés par les experts des droits humains de l'ONU, quant à la prévalence de discriminations raciales. Le Maroc, élève plutôt moyen, a certaines avancées importantes à son actif. Mais les rapporteurs ont critiqué la discrimination envers les populations amazigh et subsaharienne et restent préoccupés aussi par la question des «prénoms à caractère marocain».
La saison estivale est une période propice pour oublier son quotidien, se déconnecter, se détendre, s’aérer l’esprit, prendre du plaisir, se retrouver entre amis, en famille, pour partager des moments conviviaux, qui se traduisent, parfois, par des instants inoubliables. C’est en substance les «motivations» de celles et ceux qui ont décidé de mettre le cap sur le Maroc pour y passer leurs vacances.
Pour de nombreux jeunes Marocains, immigrer vers le pays de la corrida et des champions du monde de football est préférable à l'obtention d'un diplôme au Maroc. C'est le sociologue Mokhtar El Harras qui en fait le constat, à l'occasion d'un séminaire organisé à l'Université Pablo de Olavide (UPO) de Séville (sud de l'Espagne). Le sociologue rappelle au passage la réalité vécue par les immigrés dans
Il y a quelques jours, M. Besson tentait encore de redorer son image d'un défenseur des migrants en France, mais déjà, le ministre a du mal à garder ce cap. L'ange Besson trébuche sur la procédure de naturalisation. Le dernier rapport de la commission européenne contre le racisme et l'intolérance (ECRI) sur le racisme en France risque de mettre à mort l'image positive de Besson.