Le ministère espagnol des Affaires étrangères a annoncé que le Conseil de sécurité pourrait recourir à une prorogation technique du mandat de la Minurso de deux mois supplémentaires. Ce ne serait pas une décision inédite puisque en 2003, les Quinze avaient déjà utilisé cette option.
Les problèmes rencontrés par les MRE sont aussi divers que les lieux où ils se sont installés. Pour tenter de les répertorier, le CCME a publié trois études sur la situation sociale des MRE d'Espagne et de France mais aussi des problèmes adminsitratifs qu'ils rencontrent. Résumé des études.
Les Espagnols d’origine marocaine vivant dans les enclaves de Ceuta et Melilla réclament la récupération de leurs noms de famille originels. Durant la vague de naturalisation menée dans les années 80 par le gouvernement Felipe Gonzalez, Madrid avait exigé des Marocains de se débarrasser de leurs noms de famille et de les remplacer par les prénoms du père et du grand père.
L’Espagne s’achemine vers un gouvernement de gauche, présidé par le secrétaire général du PSOE, Pedro Sanchez. Mais le premier rôle devrait être joué par Podemos. Une mauvaise nouvelle pour le Maroc ?
L’extrême gauche n’a pas totalement chamboulé le paysage politique espagnole après les élections législatives. Même s’il réalise une percée, Podemos a dû se contenter de la 3ièmeplace. Ce qui rassure le Maroc. Le PP est certain de continuer à gouverner le pays pendant les quatre prochaines années.
La carte politique espagnole est appelée à connaitre des changements au soir des élections législatives du 20 décembre. Le danger Podemos pour les intérêts du Maroc devrait être contenu. Une coalition de la droite et du centre-droit est pressentie pour diriger le pays durant les quatre prochaines années.