Ce n'est plus un secret, l'Algérie et le Maroc se livrent une véritable course à l’armement. De 2009 à 2013, les deux pays rivaux ont augmenté leurs acquisitions en armes de 36% pour Alger et 22% pour Rabat, selon un rapport du Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI).
En matière de recherche scientifique, le Maroc présente des ambitions claires : occuper dans les prochaines années la deuxième place, voire la première, en Afrique. Mais même si le royaume estime disposer des atouts lui permettant d’atteindre ces objectifs, certains éléments sont à considérer.
Après la banque, les télécoms, et l’immobilier, c’est le marché africain des assurances qui intéresse fortement les entreprises marocaines. Saham group a ouvert la porte de l’expansion africaine et les autres compagnies marocaines suivent une par une. Détails.
Abdelilah Benkirane vient de souffler sur les braises des tensions entre l’Algérie et le Maroc. Le secrétaire général du PJD estime que la proximité du Maroc avec l’Afrique dérange certaines parties, une allusion plus que transparente à l’Algérie. Sur ce registre, le chef du gouvernement n’est, d’ailleurs, pas à son premier coup d’essai.
Sur le marché des lignes aériennes entre l’Afrique et l’Europe, Royal Air Maroc s’est fait une place de choix, devançant de loin ses homologues maghrébins et affichant de meilleurs perspectives qu’Air France pour le mois prochain, avec qui la compagnie marocaine partage la tête du top 15 des opérateurs les plus importants sur ces liaisons.
Apparemment, la tension diplomatique entre le Maroc et la France ne résulterait pas simplement des plaintes contre le patron de la DGST, Abdellatif Hammouchi. Les propos du roi Mohammed VI, tenus hier à Abidjan, annonçant la fin des chasses gardées en Afrique laissent entendre que la crise entre Rabat et Paris serait beaucoup plus profonde.