Certains fortunés marocains sont parmi les plus riches du continent. Ils sont 6 à figurer dans le Top 50 concocté par le magazine américain, Forbes. Si Othman Benjelloun, Miloud Chaabi, Anas Sefrioui, Moulay Hafid El Alami et Alamy Lazraq sont des habitués de la liste, le ministre de l’Agriculture, Aziz Akhannouch, les a rejoint, avec la manière, pour la première fois.
Le Maroc trône pour la deuxième fois consécutive en tête en termes de prospérité et de bien être au Maghreb, selon le rapport 2013 établi par le Legatum Institute de Londres. Sur le plan africain, le royaume chérifien est troisième, perdant tout de même une place par rapport à 2012, mais il n’est pas dans le «rouge» pour aucun des critères servant au classement.
En marge de l’Assemblée générale de l’ONU qui se tient à New York, le Maroc a organisé un débat sur «l’Afrique au-delà de 2015». Si l’on pourrait simplement voir en cet évènement une volonté du Maroc d’asseoir sa politique africaine, le politologue Mohamed Darif va plus loin, estimant que «Rabat cherche à recomposer l’axe fort de l’Afrique».
La conjoncture économique au Maroc semble patiner. Mais les entreprises marocaines ayant su profiter de la politique africaine du gouvernement arrivent à maintenir leurs activités et à limiter la baisse de leur chiffre d'affaire sur le marché national. Détails.
Le rapport global sur la compétitivité du World Economic Forum (Forum de Davos) vient d’être publié. Le Maroc qui a perdu sept places par rapport au dernier classement se retrouve à la 77ème position au niveau mondial et 5ème en Afrique. L’enseignement, la santé et les institutions, dans une moindre mesure, constituent les points noirs pour le Royaume.
Aujourd’hui, la blogueuse-chroniqueuse Yamna a choisi de rendre hommage aux immigrés subsahariens victimes de racisme au Maroc. Un texte cru plein de vérités qui retrace le parcours de milliers de ces immigrés ayant fuit leurs pays à la recherche d’une vie meilleure.
D’après un article publié par le Financial Times, le Maroc est le deuxième pays le plus attractif en termes d’investissements directs à l’étranger dans le continent après l’Afrique du Sud. Malgré une baisse de 17% de ses investissements directs étrangers, le Royaume s’est accaparé, en 2012, 8,3% du «gâteau africain».