Déboutés en appel par la justice néerlandaise, Marocains et Turcs des Pays-Bas gardent espoir de restaurer les cours de langue maternelle à l’école publique. Ils veulent rouvrir le débat au Parlement.
A Fréjus, l’enseignement de la langue arabe à titre facultatif fait polémique. Le Front National fustige cette initiative, qui s’inscrit dans le cadre du programme ELCO, et y voit «une complète contradiction avec la mission de l'école publique». La gauche locale dénonce les critiques du FN qui sont pour elle révélatrices de la «progression des idées racistes» du parti de Marine Le Pen.
A l’occasion du lancement de la collection «Atfalona» la maison d’édition Edisoft a abordé le sujet de la préscolarisation. Le constat est irrévocable, les enfants de 3 à 6 ans ont un enseignement traditionnel (religieux) et ne communiquent pourtant pas bien en arabe à l’âge adulte. Détail sur ce phénomène.
Les parlementaires du PJD ne se lassent pas de remettre au goût du jour la place de la langue française dans le secteur public. Il y a neuf mois, ils avaient déjà déposé une proposition de loi exigeant l'usage de l'arabe et sanctionnant les infractions par des amendes. Aujourd’hui, ils interpellent à nouveau le ministre délégué chargé de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration sur la
L’arabisation de la vie publique est le rêve des islamistes. A cet effet, ils viennent de déposer une proposition de loi, imposant l’usage de la langue arabe et sanctionnant les infractions par des amendes. Mais le gouvernement semble moins emballé par cette perspective. Détails.
Après quelques semaines durant lesquelles le dossier de l’intégration a été rangé dans les tiroirs, le voilà à nouveau porter sur le devant de la scène. Il franchira même un nouveau cap, ce 11 février, en marge d’une réunion organisée à Matignon. Jean Marc Ayrault et son équipe devront mettre en place un organisme public de l’intégration chargé de lutter contre les
La Darija serait-elle la solution à la crise de l’enseignement au Maroc ? Noureddine Ayouche en est convaincu. En revanche, des islamistes et des panarabistes y sont, vertement, hostiles. Le Chef du gouvernement et tout l’appareil du PJD font partie de cette dernière catégorie.