Une crise sociopolitique qui se déclenche dès mars 1965 provoque plusieurs émeutes entre Marocains et forces de l’ordre, faisant des centaines de morts. La situation poussera feu le roi Hassan II, monarque alaouite depuis à peine quatre ans, à décréter l'état d'exception le 7 juin 1965. Une première dans l’histoire du Maroc contemporain. Histoire.
Dans un nouvel épisode dans le conflit opposant la Lampe au Tracteur, Abdelali Hamidine a vivement critiqué, dimanche sur sa page Facebook, l'ancien secrétaire général du PAM, Mohamed Cheikh Biladillah. Ce dernier n’avait pas mâché ses mots, fustigeant dimanche les propos tenus par le PJDiste sur la monarchie.
414 élus épinglés par la Cour des comptes. Raison : les dépenses lors de leurs campagnes électorales lors du scrutin du 4 septembre 2015. Cette remise en cause des comptes de campagne concerne pratiquement la totalité du paysage politique marocain.
A une semaine de la rentrée parlementaire, les trois «grands» partis au Maroc s’enfoncent davantage dans la crise. L’Istiqlal, le PJD et le PAM sont au bord de l’implosion. La réconciliation des Marocains avec la participation politique est donc renvoyée à une date lointaine.
Le discours du roi Mohammed VI à l’occasion du 18e anniversaire de son accession au Trône continue de susciter plusieurs réactions. Si les partis les plus représentés au Parlement esquivent nos questions, d’autres formations politiques et mouvement ont réagi, pointant du doigt le rôle de l’Etat dans les maux mis en exergue par le souverain.
Le Hirak, sa naissance, ses origines, l’absence du drapeau marocain lors des manifestations ou encore l’approche sécuritaire et les responsables de la grogne sociale. Autant de sujets évoqués par El Mortada Iamrachen, la figure salafiste du Hirak du Rif, dans une interview avec Al 3omk diffusée mardi.
Sous la houlette du ministre de l’Intérieur, les six partis de la majorité ont joué hier soir une même partition contre les «dérives» de la vague de protestations qui secoue depuis des mois Al Hoceima. Aucune fausse note n’y a été relevée.
Le très attendu gouvernement El Othmani a été officiellement nommé mercredi à Rabat par le roi Mohammed VI. Après l’annonce de la liste officielle des nouveaux membres, le point sur la composition du nouvel exécutif en chiffres.
Alors que le secrétariat général du Parti de la justice et du développement (PJD) vient de publier un énième communiqué, laissant encore planer le suspense sur la participation du Parti de l’Istiqlal au prochain gouvernement, les négociations devront reprendre ce mercredi entre Abdelilah Benkirane et Aziz Akhannouch. Le prochain exécutif doit donc encore attendre quelques jours avant d'émerger. Qu’en pensent les
Le Maroc n’a toujours pas de gouvernement, plus de deux mois après la désignation, par le roi Mohammed VI, d’Abdelilah Benkirane, pour former un nouvel exécutif. Les négociations entre la formation politique du chef du gouvernement désigné et les autres partis sont toujours bloquées. Le Rassemblement national des indépendants (RNI) maintient sa condition relative à la mise à l'écart du Parti de