Entre crimes contre l’humanité commis par le régime baathiste en Syrie et assassinat d’écoliers juifs en France, l’actualité au Maroc peut sembler anodine vu de l’extérieur. Les Marocains savent, eux, qu’il n’en est rien. Une économie menacée par la sécheresse – au pays de «gouverner, c’est pleuvoir» (formule du Maréchal Lyautey), chacun sait ce que cela signifie – et
Un regroupement d'associations marocaines lancent l'appel Stop TGV. Elles veulent rouvrir le débat concernant la construction d'une ligne de TGV entre Tanger et Casablanca. La rentabilité, la priorité donnée à un tel projet, le mode de signature de contrat ... tout pour ces associations est contestable.
L’autre soir je suis allé voir le dernier film de Nadine Labaki, cinéaste libanaise, metteuse en scène notamment de «Chocolat», que je n’ai pas vu en dépit des nombreux prix remportés à l’étranger. Ce film, «Wa halla’ la wayn ?» («Et maintenant où on va ?»), raconte l’histoire d’un village libanais à la Clochemerle ou à la Brescello (village où
Le TGV au Maroc n'en fini pas de faire couler de l'encre. Au delà des nombreux articles élogieux dans la presse nationale et étrangère, des blogs, des sites internet (dont Yabiladi.com), mais aussi depuis quelques jours les média "mainstream" ont pointé du doigt ce projet. En effet, un emballement médiatique est né mais qui va bien au delà du projet de ligne à grande vitesse. Mohamed Berrada, professeur à
Aujourd’hui, jeudi 29 septembre 2011, est un grand jour. En tant que franco-marocain, mes deux chefs d’Etat à savoir le président Nicolas Sarkozy pour lequel je n’ai pas voté en 2007, et le roi Mohammed VI pour lequel je n’ai pas non plus voté mais ça c’est une autre histoire, vont inaugurer le premier train à grande vitesse marocain. Si Nador a attendu plusieurs décennies pour avoir un modeste train, c’est
C’est demain jeudi que sera lancé officiellement le chantier de la ligne de Train Grande Vitesse (TGV) reliant Tanger à Casablanca. «Décroché» par Alstom, Nicolas Sarkozy fera même le déplacement au Maroc pour inaugurer ce projet, conjointement avec Mohamed VI. Mais la présence du président français n’arrive pas à dissiper la suspicion autour de l’utilité du lourd investissement du TGV, ni
Le président français Nicolas Sarkozy a fait savoir, ce matin, qu’il prévoyait de se rendre au royaume, fin septembre, pour inaugurer le chantier du TGV Casablanca-Tanger. Cette visite réaffirme l’importance de ce projet dont le coût d’investissement global du Maroc s’élève à 33 milliards de dirhams. Sa mise en service est prévue pour 2015.
Depuis le milieu des années 2000, la présence d’Alstom au Maroc s’intensifie. Contrats très médiatisés, le tramway de Casablanca et la ligne à grande vitesse (LGV) Tanger-Casablanca sont loin d’être ses seuls projets. L’entreprise française, plus discrète sur son volet énergétique, a aussi vendu plusieurs centrales au Royaume.
Le groupe industriel français Alstom s’est officiellement engagé à fournir 14 rames de train à très grande vitesse (TGV) à deux niveaux au Maroc. Un accord portant sur 400 millions d’euros a été signé dans ce sens ce vendredi à Tanger, entre les représentants des deux parties et en présence du roi Mohammed VI. Le projet TGV marocain, envisagé comme un mythe il y a encore quelque mois, prend
Le groupe industriel français Alstom, annonce ce jeudi, la signature d’un contrat avec Nareva Holding, filiale de l’ONA spécialisée dans les métiers de l’énergie et de l’environnement. Ce contrat porte sur la construction d’un parc éolien à Akhfenir, village situé à 400 km au sud d’Agadir.