La mosquée Abou Bakr Essedik de Montbéliard (à l'est de la France), a été le théâtre d’actes à caractère islamophobe, dans la nuit de dimanche à lundi dernier. Une camionnette se trouvant à proximité, a été incendiée et aurait pu réduire le lieu de culte en cendres, sans l’intervention des pompiers. Des tracts racistes ont été découverts sur le site.
Un politologue marocain et chercheur en islamologie appelle le gouvernement à interdire l’utilisation des haut-parleurs dans les mosquées du royaume. Pour Saïd Lakhal, cette pratique est non seulement source de nuisances sonores, mais sert surtout à la propagande d’idéaux politiques qui n’ont rien à voire avec la religion. Mais, la réponse de prédicateurs ne s’est pas faite attendre : «Saïd Lakhal
Les uns se disent en «pleurs» alors que les autres jubilent. Deux situations très contrastées pour les musulmans de Fives (Lille) et ceux du Calvados (Basse-Normandie) à la veille du ramadan. Dans le quartier lillois, les 300 fidèles qui fréquentaient la «mosquée de Fives» regrettent la fermeture, mardi dernier, de ce lieu de culte. Quant aux 15 000 musulmans du Calvados, ils s’apprêtent eux, à inaugurer
Pour mettre fin aux prières dans la rue, un hangar de 1500 m² devrait prochainement être mis à la disposition des musulmans dans le XVIIIème arrondissement de Paris. Seulement le financement des travaux d’aménagement reste encore une équation pour les autorités et pour les associations musulmanes qui vont louer ce local provisoirement, en attendant l’ouverture des nouveax batiments de l’Institut des Cultures d’Islam en
Un litige très complexe oppose les musulmans de Fives (un quartier de Lille) aux propriétaires et bailleurs d’un foyer pour immigrés qui comprend une «salle de prière». Cette salle de prière au départ, est communément appelée «mosquée de Fives» par les fidèles de la ville qui viennent y prier. Mais voilà que des travaux de rénovation du foyer sont prévus, et le bailleur
Des tags islamophobes et une tête de cochon ont été découverts sur le site d’une mosquée près de Nottingham, en Angleterre. Quatre personnes ont été interpellées, et l’une d’entre elle a reconnu être l’auteur des tags.