Condamnée en première instance à verser 100 000 dirhams pour un ex-étudiant qui l’accuse de «publicité mensongère», l’Université International de Casablanca (UIC) doit désormais se défendre devant la Cour d'appel. Aujourd’hui, le plaignant veut impliquer d’autres parties, à l’instar du ministère de l’enseignement supérieur.