Les journalistes marocains sont en colère. Pour l’inauguration du Morocco Mall, les journalistes de la presse ont reçu, le jour même, hier, le 1er décembre, une invitation pour couvrir l’évènement. Rassemblés sur le lieu du rendez-vous, ils ont appris qu'ils avaient reçu une invitation par erreur. Indignés, les journalistes publient un communiqué sur facebook.
Comme la politique se «peopolise» de plus en plus, Javier Bardem ne voulait pas être en reste. Le célèbre acteur espagnol a fait le déplacement aujourd’hui au siège de l’Organisation des Nations Unies (ONU) pour faire son plaidoyer pour l’auto-détermination des provinces du Sahara. Tracts distribués aux journalistes et documentaire en préparation, Javier Bardem a tout l’air d’avoir trouvé
Je n’ai jamais eu aussi honte de l’un de nos ministres qu’aujourd’hui en visionnant l’intervention de Nouzha Skalli sur France24. Pourtant Dieu sait qu’il y avait déjà matière à rougir avec certaines de nos têtes d’ampoules gouvernementales qui ne sont pas à la hauteur des défis que doit affronter le Maroc.
Les journalistes du monde entier se mobilisent ce mardi 3 mars 2011, à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse. Les manifestations prévues en cette journée mettent l’accent sur les enjeux des nouveaux médias. Au Maroc, la journée intervient alors que l’affaire Rachid Niny pousse (encore) à s’interroger sur l’état de la liberté de la presse dans le Royaume.
L’idée était là depuis plus de 5 ans, mais il fallait attendre le moment propice pour la concrétiser. Un Cercle des Journalistes Indépendants est fondé pour «réhabiliter» la profession journalistique au Maroc. Une entité qui se veut complémentaire, mais indépendante du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM).
A la veille des manifestations prévues dans diverses villes du Maroc ce dimanche 20 février 2011, les chaines marocaines semblent étrangement indifférentes aux évènements. Aucune allusion n’apparait dans les journaux télévisés, même aux heures de grande écoute. Les journalistes marocains semblent pourtant se mobiliser pour la libre circulation de l’information.
Depuis le 28 novembre, une vingtaine de journalistes espagnols ont été expulsés du Maroc. Officiellement, les autorités marocaines interdisent l’accès au territoire national à des hommes de médias espagnols parce que la presse ibérique est jugée en grande partie «anti-marocaine».
Le ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération, Taieb Fassi Fihri, a tenu un second point de presse (après celui sanctionnant les travaux de la 9e session du Conseil d'association Maroc-UE) lundi soir à Bruxelles. Cette rencontre avec la presse avait pour but de clarifier les faits, après des accusations de certains titres ibériques, de l’interdiction d’accès à la ville de Laâyoune et au camp de
Récemment, la RAM avait annulé les billets d’avion de journalistes, en majorité des Espagnols, qui voulaient se rendre à Laâyoune. Ce qui avait indigné la presse espagnole. Cette fois, c’est à la presse marocaine de s’indigner à son tour du refoulement par la Guardia civil espagnole de journalistes marocains à destination de Melilla.