Condamnée en première instance à verser 100 000 dirhams pour un ex-étudiant qui l’accuse de «publicité mensongère», l’Université International de Casablanca (UIC) doit désormais se défendre devant la Cour d'appel. Aujourd’hui, le plaignant veut impliquer d’autres parties, à l’instar du ministère de l’enseignement supérieur.
La confusion règne ce lundi dans les rangs des parents d’élèves casablancais ayant opté pour le présentiel, qui doivent se contenter d’un enseignement à distance pendant au moins deux semaines. L’occasion pour leurs ONG de rappeler les appels au report de la rentrée scolaire, adressés au ministère mais restés lettres mortes.