A Ifrane, la secrétaire d’un juge a violenté et brûlé son enfant un an à peine après l’avoir adopté. Il est actuellement suivi par une équipe de psychologues.
Adopter au Maroc n’est pas une mince affaire. Cela est d’autant plus compliqué lorsque la maman est étrangère et qu’elle doit attendre de rassembler toutes les autorisations demandées. Récit de Jackie Spinner, pour le Washington Post.
Pour pouvoir accéder à la Kafala au Maroc, les couples étrangers doivent absolument être musulmans de confession. S’ils ne le sont pas de naissance, ils peuvent toujours se convertir. Une étape que des dizaines de couples espagnols n’hésitent pas à franchir, dans le seul but d’obtenir la tutelle d’un enfant.
Samedi 14 septembre, des milliers de personnes, en majorité musulmanes, ont battu le pavé à Montréal pour manifester contre le projet de «Charte des valeurs» du gouvernement du Parti québécois. Plusieurs voix se sont élevées contre cette charte jugée «discriminatoire», notamment le chef du Parti libéral québécois qui se dit «prêt à se faire passer sur le corps»
C’est une vraie bouffée d’air que le Maroc vient de donner aux familles kafiles en Espagne. Le gouvernement du royaume chérifien a octroyé, vendredi 13 septembre, les premiers passeports à près de trente enfants "adoptés" par des familles espagnoles dans le cadre du régime islamique de la Kafala. Quelques 36 demandes restent en suspens pour des raisons diverses. Explications.
A peine une semaine après le débat sur les studios de la Radio el Manar à Bruxelles, entre le ministre de la Justice et les associations de MRE, la situation de la kafala au Maroc a pris une nouvelle tournure.
C’est une véritable bouffée d’oxygène que les autorités marocaines viennent d’octroyer aux familles espagnoles bloquées dans leur procédure de kafala depuis l’an dernier. Une quinzaine d’entre elles viennent d’obtenir l’autorisation d’adopter et plusieurs autres devraient suivre. Entre temps, les MRE attendent encore.
L’apparition de fameuse circulaire de Mustapha Ramid, ministre de la Justice, en septembre 2012, complétant la loi de 2001 sur la kafala, a provoqué un imbroglio pour les Marocains résidant à l'étranger (MRE). Autour de cette circulaire se sont cristallisés les mécontentements de familles kafiles dont certaines se sont constituées en association ou en groupe d'action. Le GAK ou Groupe Action Kafala Belgique souhaite par cette