A travers la rénovation de son bateau Atlas, la compagnie italienne Grandi Navi Veloci (GNV) espère attirer les clients, notamment marocains, au départ de Sète et Barcelone. Le groupe a présenté son navire hier sur le port sétois et n’a pas lésiné sur les moyens pour proposer de nouveaux services à ses passagers. Un point mis en avant par Carole Montarsolo, responsable marketing pour les lignes du Maroc. Interview.
L’accident des spéléologues espagnoles au Maroc continue de faire parler en Espagne. Le seul rescapé Juan Bolivar est revenu sur le drame, non sans critiquer l’opération de sauvetage de la gendarmerie marocaine. Une nouvelle fois, Rabat se retrouve au banc des accusés.
La mort de deux spéléologues espagnols tombés au fond d’un ravin dans l’Atlas marocain fait réagir Juan Antonio Rengel, qui faisait partie du groupe de neuf personnes en mission dans cette zone montagneuse. Selon Rengel, qui s’est confié sur Telecinco, «le Maroc n’avait pas d’hélicoptère adéquat pour l’opération de sauvetage». Plusieurs autres spéléologues
Michal Marosi et Richard Gasperotti, deux légendes tchèques du VTT se sont rendus dans l’Atlas marocain pour explorer de nouvelles pistes de freeride. Après plusieurs jours passés dans un décor à couper le souffle, ils reviennent sur une aventure inoubliable en compagnie des habitants de cette région montagneuse.
Les fossiles retrouvés en terre marocaine échappent la plus part du temps aux scientifiques du pays. Ces objets à haute portée historique sont vendus par des «chercheurs de trésor» sans scrupule. S’ils ne se retrouvent pas exposés dans des musées étrangers, ils servent de décor et de façade aux villas de luxe au Maroc. Un paléontologue déplore aujourd’hui le manque de musée