Descartes s’est-il mis à jouer à la belotte ? La raison a-t-elle fini en zonzon ? L’intelligence a-t-elle fait allégeance à la bêtise ? Face à la succession des affaires saugrenues, aux arrestations arbitraires, au vide politique, à l’improvisation méthodique et préparée, il est permis d’affirmer que quelque chose ne tourne pas rond dans ce pays.
Antonio Lopez, camionneur espagnol de 56 ans, a retrouvé sa liberté le 28 mai dernier après avoir passé sept long mois en prison à Tanger. Il raconte le calvaire qu’il a vécu au Maroc et livre sa réalité de la corruption au sein des tribunaux et de la police marocaine. Détails.
Le Parti populaire espagnol a indiqué hier que le Maroc était entièrement responsable de la libération par «erreur» de Daniel Galvàn. La formation de droite estime que le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, José Manuel García-Margallo, et celui de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardón, n’ont pas à s’expliquer devant le Congrès sur cette
Suite à la grâce royale de Daniel Galvan, 10 Espagnols incarcérés à Tétouan avaient entamé une grève de la faim pour obtenir le transfert dans leur pays d’origine. Après que les autorités espagnoles aient pris contact avec leur famille, les prisonniers ont mis fin à leur grève, sans abandonner l’idée de reprendre leur action si aucune solution n’est trouvée.