Docteure en aménagement à Paris I Sorbonne, chercheuse au laboratoire Architecture histoire technique territoire patrimoine (AHTTEP) et enseignante à l’Ecole nationale supérieure d’architecture (ENSA) de Paris-La Villette, Nadya Rouizem Labied a publié, le 4 avril, son ouvrage «Réinventer la terre crue. Expérimentations au Maroc depuis 1960» (éd. Recherches). Issu de sa thèse de doctorat, appuyé par la
Nous sommes en 1968. Le Maroc s’apprête à tenir son premier Festival du film méditerranéen. Si cet événement est soigneusement organisé, un élément essentiel échappe à l'attention des organisateurs. Le Maroc ne dispose pas d'un long-métrage entièrement marocain à projeter au cours de la cérémonie. Afin de remédier à la situation, une course effrénée
Le mouvement du féminisme marocain se structure intensément au cours des années 1940. Dans le contexte du Protectorat, l’émancipation est un double enjeu pour les femmes. Elles devaient s’affranchir de la domination coloniale, tout en bouleversant les fondements d’une société patriarcale.
De l’horloge à eau érigée à la porte de la Koutoubia sous les Almohades aux multiples horloges hydrauliques de Fès sous les Mérinides, le Maroc a connu une véritable course aux inventions, avant l’apparition des horloges mécaniques.
La catastrophe, qui fit plus de 15 000 morts en 1960, a réactivé le projet de créer une flotte de secours sous l’égide de l’ONU.
Après avoir été une plaque tournante des activité économiques et militaires, la Kasbah de Mssoun, située entre Guercif et Taza, résiste tant bien que mal à l’oubli et aux vicissitudes de la nature. La plupart de ses murs sont tombés en ruine et ses habitants l’ont abandonnée.
Un coloque international organisé par l’Académie du royaume du Maroc a porté sur la recherche dans l’Histoire du Maroc, pour en analyser le bilan et s’ouvrir sur des perspectives. Parmi les thématiques saillantes, celle de l’immigration a été abordée d’un point de vue culturel, voulu comme une porte d’entrée novatrice vers un récit migratoire historique plus élargi.
Épisode méconnu de l’histoire du Maroc, un mouvement inédit de traduction d’ouvrages scientifiques européens, principalement mathématiques, a traversé le royaume dès le règne de Moulay Abderrahmane en vue de combler son retard dans le domaine des sciences et techniques. Entretien avec Pierre Ageron, maître de conférences au Laboratoire de mathématiques Nicolas Oresme et à l’Institut de recherche