A la fin du XIXe et début du XXe siècle, des Marocains se déplaçaient régulièrement entre le royaume et les Etats-Unis, dans le cadre d’un projet culturel grâce à Sie Ali Hassan Ben Ali, un Marocain d’origine amazighe naturalisé Américain en 1891. Dans son sillage, plusieurs de ces artistes avaient été également naturalisés.
Un an après l'auto-proclamation par le Polisario d’une «république», un document du Département d’Etat américain a indiqué que les camps de Tindouf abritaient des «réfugiés» issus de régions extérieures du Sahara occidental. Selon la même source, l’Algérie a utilisé le Polisario contre la Mauritanie et pour en découdre avec le Maroc.
Dépêché par le sultan alaouite Mohammed III pour le représenter auprès du roi Carlos III d’Espagne, Mohamed Ben Othman Al Meknassi interviendra en pleine crise pour libérer un autre ambassadeur pris en otage à Malte. Histoire de l’un des ambassadeurs les plus célèbres dans l’histoire des relations hispano-marocaines.
Au XVIIe siècle, alors que le Maroc est divisé et le pouvoir saadien en place affaibli, un combattant de la tribu des Beni-Gorfet, de la région de Habt (Nord-Ouest du Maroc), mène alors une résistance acharnée contre les Portugais puis les Anglais. Mais la soif de Lakhdar Ghaïlan pour le pouvoir le pousse à combattre sur plusieurs fronts, avant d'être tué par Moulay Ismaïl.
En 1978, l’Algérie a proposé la création d’un «Etat sahraoui» sur le territoire d’Oued Ed-Dahab, contrôlé par la Mauritanie, pour laisser au Maroc la souveraineté sur Es-Sakia El Hamra. Selon des documents américains déclassifiés, cette option a été rejetée par Rabat.
En 1981, le roi Hassan II se rend dans la capitale kényane, Nairobi, pour prendre part au sommet de l'OUA et déclarer que le Maroc accepte l’option d’un référendum d’autodétermination au Sahara. Le 12 novembre 1984, l'organisation continentale acceptera la «RASD» comme membre, contraignant le Maroc à claquer la porte et s’opposer à tout rôle africain dans le règlement de ce conflit.
Imaginant au XIIe siècle une Terre ronde, Charif Al-Idrissi devint un savant en avance sur son temps. Il consacra son temps à dessiner le monde, traçant ainsi les contours de la cartographie moderne qui se développa grâce à son héritage. Ses descriptions furent compilées dans des ouvrages qui furent des références en géographie.
Grâce aux mémoires d’un journaliste marocain, l’opinion publique découvre pour la première fois des faces jusque là cachées, de l’exil égyptien d’El Khattabi. Détails.
En 1958, le Maroc a évité in extremis l’explosion d’une bombe à hydrogène américaine à Sidi Slimane. La base militaire de la ville a été évacuée, tandis que les membres du personnel ont fui vers le Sahara, avec leurs familles, laissant derrière eux les flammes dévastatrices de ce qui aurait pu devenir une déflagration géante. Par miracle, le pays nouvellement indépendant a
Du Maghreb central à Al-Andalus, la dynastie almoravide, qui a eu Marrakech pour capitale, a érigé des mosquées dans l’ensemble de ses zones de contrôle. Parmi ces lieux de culte, trois construits par le sultan Youssef Ibn Tachfin (1061 – 1106) se trouvent en Algérie actuelle et sont en fonction à ce jour.