Nouveau rebondissement dans l’affaire de harcèlement sexuel au lycée Victor Hugo, dénoncée par une lycéenne et ayant fait l’objet d’une manifestation la semaine dernière. Cette semaine, un parent d’élève a déposé une plainte contre le proviseur, qui dès l'annonce de sa suspension a préféré partir en France selon nos sources. Coulisse d’un scandale.
Dans un courrier adressé à l’ambassadeur de France au Maroc, cinq associations de parents d'élèves se prévalent notamment d’«[avoir] largement contribué au financement du réseau AEFE et au rayonnement de la langue française».
Des associations de parents d'élèves et fédérations syndicales font part de leurs craintes quant à la suppression annoncée de postes de professeurs et, globalement, l’organisation des écoles françaises au Maroc.
A deux mois de l’annonce d’une réforme des lycées français à l’étranger, la députée Samantha Cazebonne, ancienne chef d’établissement au Maroc et en Espagne, a remis un rapport au gouvernement, dans lequel elle préconise une réforme «en profondeur».
L’Agence pour l’enseignement français à l’étranger souffre d’une absence de stratégie de la part du gouvernement, d’après un rapport de la commission des Finances du Sénat. Ce dernier propose notamment de geler la participation des familles à hauteur de 60%.
Quatre associations ont envoyé un courrier au directeur de l’AEFE pour faire part des dysfonctionnements qui subsistent et proposer des solutions. Ils se plaignent des suppressions de postes et des recrutements caducs, entre autres.
Quatre associations appellent les parents d’élèves des établissements conventionnés avec l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger à battre le pavé pour dénoncer la restriction du budget alloué à cet établissement public.