Des Marocains se battent pour la sauvegarde des manuscrits de Tombouctou, considérés comme une richesse pour les peuples musulmans. Bien que l’achat de ces textes se fasse de manière informelle, un collectionneur estime que c'est la seule manière de les sauver et plaide pour l’ouverture d’un musée au Sahara.
Il y a un an, des informations annonçaient une probable visite du président Alassane Ouattara au Maroc. Finalement, elle n’a pas eu lieu mais sans avoir la moindre incidence sur le processus de normalisation des relations entre les deux pays. Sur le Sahara, le président ivoirien a révisé la position de son prédécesseur, favorable au Polisario. Politiquement, les relations s’améliorent. C’est dans ce contexte de
Choqués d’avoir été refoulés du Maroc, quatre eurodéputés auraient réclamé l’expulsion de deux ambassadeurs marocains en Europe et estimeraient leur réaction adéquate à l’action de Rabat. Mais, jusqu'à présent, aucune dcélaration officielle du gouvernement marocain n'a été communiquée à ce sujet.
Même si Rabat a expulsé, le 6 mars, quatre eurodéputés qui souhaitaient se rendre au Sahara, voilà que d’autres membres du parlement de Strasbourg caressent le même objectif.
Le 16 février 2012, la plénière du parlement européen adoptait l’élargissement de l’accord agricole avec le Maroc, signé en décembre 2010. Un an plus tard, le Polisario saisit la Cour de justice de l’UE.
Les chalutiers européens, en particulier espagnols, devront s’armer de patience. Leur retour dans les eaux atlantiques marocaines n’est pas pour demain. Les discussions entre le Maroc et l'Union européenne sont au point mort même si le volet technique a enregistré des progrès durant les cinq rounds de discussion.
Le Premier ministre marocain Abdelillah Benkirane a expliqué aux journalistes de l’émission «Internationales», sur TV5 Monde, aujourd’hui, que si la France est intervenue au Mali c’est parce que le Maroc et l’Algérie ne sont pas parvenus à s’entendre.
Le procès des 24 prévenus dans l’affaire du démantèlement du camps de Gdim Izik ayant entraîné la mort de 11 membres des forces de l’ordre marocaines et de 2 civils touche à sa fin. La prochaine audience sera celle du verdict. Elle mettra fin à un procès hautement politique.