Le coûteux TGV français n'est toujours pas rentable et la filière ferroviaire risque de perdre la moitié de ses effectifs d’ici trois ans, malgré les commandes de la SNCF ou celles venant d’autres pays comme le Maroc. Alstom, le principal fabriquant des TGV, devrait présenter une charge nulle en 2019.
La décision du conseil des prud’hommes dans l’affaire opposant les cheminots marocains à la SNCF est attendue pour ce lundi. Ces derniers, embauchés dans les années 70 au Maroc, accusent l’entreprise ferroviaire française de discrimination. Leur avocat demande 450 000 euros de réparation pour chacun d'entre eux. Explications.
Le procès intenté par quelques 850 cheminots marocains contre la SNCF pour discrimination n’est pas prêt de toucher à sa fin. Lundi, 22 d’entre eux étaient présents à l’audience des plaidoiries au tribunal des Prud’hommes de Paris.
La CGT dénonce la délocalisation au Maroc de la formation de la SNCF via un centre de formation dédié aux cheminots marocains et français dans le royaume chérifien. Le groupe français dément.
Le très attendu verdict des Prud’hommes dans le cadre du procès opposant 800 salariés et retraités marocains à leur employeur la SNCF, prévu mardi, n’est pas tombé. Après de nombreuses années de bataille, certains de ces vieux sont partagés entre désespoir, colère et optimisme.
La direction de la SNCF a annulé aujourd'hui le rendez vous prévu après demain entre le directeur national des ressources humaines de l'entreprise et le collectif «SNCF : Droit à la différence». Le collectif se dit prêt à tout pour obtenir réparatation pour les employés de la SNCF victimes de racisme.
744, ils sont 744 salariés marocains de la Société nationale des chemins de fer français [SNCF] qui se sont mobilisés contre leur employeur. Et pour cause : des discriminations dont ils ont fait l’objet pendant plus de 30 ans. Une série de procès aux prud’hommes a été lancée ce mercredi 2 mai. Les salariés marocains réclament la réparation des dommages causés et comptent aller le plus