En l’absence de pressions de la part des Sahraouis des camps et d’acteurs internationaux, la direction du Polisario est restée ferme sur ses positions.
Ce mardi à la Chambre des conseillers, le ministre d’Etat chargé des Droits de l’Homme a admis l’existence de «dépassements» mais s’est refusé de reconnaitre tout «recul» sur ce dossier.
Dans une note d’information publiée mercredi, Amnesty international rappelle à l’ONU et à sa mission au Sahara occidental son rôle dans l’observation de la situation des droits humains. Elle indique que les prérogatives des Nations unies doivent être également remplies dans les camps de Tindouf.